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Une découverte archéologique dévoile d’anciennes pratiques en médecine

C’est toute une découverte qu’ont faite des chercheurs alors qu’ils fouillaient les ruines d’un ancien navire, rapporte www.nlm.nih.gov.

Les archéologues présents lors de l’expédition ont en effet déniché ce qui serait une bouteille de médicaments qui daterait de près de 140 ans avant Jésus-Christ!

La bouteille, bien scellée, renfermait des pilules de couleur gris-vert dans lesquelles on a décelé des traces d’oxyde de carbone, de cire d’abeille, de résidus de pin et de graisses animales. On a également relevé la présence de résidus de légumes.

« La recherche souligne la continuité de l’Homme à vouloir traiter des problèmes et des symptômes à l’aide de traitements et de substances. Elle démontre également le soin que ces gens prenaient dans le choix des substances qui allaient composer ces mixtures, afin d’obtenir les effets thérapeutiques désirés et d’aider à l’application de la médecine », s’étonne la chimiste et archéologue Gianna Giachi, de Toscane, en Italie.

C’est d’ailleurs là que cette découverte a été effectuée, dans le cadre d’une fouille d’un ancien vaisseau qui avait sombré depuis des lunes.

Les chercheurs ont fait d’autres découvertes lors de cette fouille, mais aucune aussi importante que celle-ci. La trouvaille pourra sans doute permettre de mieux comprendre comment la médecine était appliquée dans ces temps anciens.

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Les sites archéologiques d’Asie son menacés par l’affluence du tourisme

Le Routard rapporte que plus d’un million de visiteurs ont foulé le sol du Cambodge pour admirer Angkor Wat en 2010. Cela représente une augmentation de 25 % par rapport à l’année précédente.

Les organismes de protection de ces sites historiques, tels que le Global Heritage Fund et l’UNESCO, s’entendent sur la fragilité des lieux et demandent une sécurité renforcée.

Il s’agit d’un objectif réalisable, si l’on considère la préservation du site de Borobudur, temple bouddhiste du IXe siècle, situé en Indonésie. Malgré ses 2 millions de touristes annuellement, les règles à respecter y sont plus strictes, notamment l’interdiction de porter des chaussures à semelle dure.

La dégradation d’Angkor n’est pas un cas isolé. William Lindesay, citoyen britannique, a tenté pendant 25 ans de protéger l’état de la Grande Muraille de Chine. Avec 10 millions de visiteurs chaque année et la pollution environnante, moins de 10 % des 8 800 km sont en bon état. Certaines parties sont même recouvertes de graffitis.

Les touristes ne sont pas tous insensibles à la conservation de ces lieux patrimoniaux. Rona Soranno et son compagnon Marcus Welsh, de la Californie, en faisaient la remarque à l’AFP : « C’est extraordinaire d’être proche de tant d’histoire… mais on se demande à quoi ça ressemblera dans quelques années ».