Catégories
Uncategorized

Plus de risques de haute pression pour les faibles salariés

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui suggère une hausse des risques de haute pression chez les gens qui ont un salaire moins élevé que les autres.

Ce serait d’autant plus vrai chez les personnes âgées de 25 à 44 ans, selon l’étude, période où l’humain moyen ressentirait le plus de pression professionnelle et de performance.

Ainsi, les plus faibles salariés seraient plus enclins à faire de la haute pression à tout âge, ce qui surprend les principaux acteurs impliqués dans l’étude.

L’auteur principal, J. Paul Leigh, lance : « Nous avons été surpris de constater que des salaires plus faibles pouvaient s’avérer un facteur de risque très fort pour des tranches de population qui ne sont pas normalement associées à des problèmes de haute pression. Le phénomène de haute pression frappe généralement les hommes plus âgés. Cette fois, on constate que même les femmes et les jeunes sont touchés par ce problème ».

L’étude a été publiée dans l’édition de décembre de l’European Journal of Public Health et révèle que des risques d’hypertension sont aussi présents chez les faibles salariés.

Catégories
Uncategorized

Pour votre propre santé, évitez le stress des fêtes

www.nlm.nih.gov rapporte les propos d’experts qui suggèrent habilement à la population de se faire le plus beau des cadeaux dans le temps des fêtes : éviter le stress.

On parle beaucoup de nutrition et d’une panoplie de facteurs pouvant mener à des problèmes de santé, mais il ne faut jamais oublier que le stress est probablement le pire d’entre tous.

À l’approche des fêtes, qui se veulent pourtant une période de célébration, d’introspection et d’amour fraternel, il semble que nous oublions tous de ralentir et laissons le stress nous envahir.

« Le stress et ses nombreuses formes (physique, financière, émotionnelle) peuvent mettre beaucoup de pression sur votre cœur durant une période qui devrait pourtant être joyeuse et légère. Les gens ne comprennent pas que le stress peut se cacher dans à peu près tout ce que vous faites », lance le Dr Nasser Lakkis, chef du département de cardiologie de l’hôpital Ben Taub à Houston, au Texas.

On suggère donc d’éviter de vous mettre de la pression et de relaxer le plus possible. Essayez de passer du temps en famille, faire des activités qui vous passionnent ou même faire du bénévolat, mais surtout de dire « non » aux choses qui ne vous tentent pas vraiment ou pour lesquelles vous n’avez tout simplement plus de temps!

Catégories
Uncategorized

Le stress et la pauvreté réduiraient l’espérance de vie

www.nlm.nih.gov rapporte une étude fascinante (et désolante à la fois) qui révèle que dans des conditions de stress similaires, les gens plus aisés vivraient plus longtemps que ceux qui sont moins fortunés.

L’étude britannique laisse croire que la pauvreté et le stress forment une combinaison mortelle, une véritable « bombe à retardement ».

Le Dr Antonio Ivan Lazzarino, de l’Université London, y croit mordicus : « Ces gens ont réellement un taux de mortalité plus élevé. Bien plus que l’on pourrait imaginer en associant simplement ces deux facteurs (pauvreté et stress) ».

Ainsi, les gens qui sont à l’aise financièrement échapperaient à cette combinaison mortelle. Si l’on ne peut affirmer que l’argent fait le bonheur, on peut probablement conclure que celui-ci aide cependant à faire passer la pilule du stress.

L’étude a été publiée dans la plus récente édition en ligne des Archives of Internal Medicine et compare les données de plus de 65 00 personnes de 35 ans et plus durant une période de dix ans (1994 à 2004).

Pour les chercheurs à la tête de l’étude, les résultats sont clairs. La pauvreté et le stress forment une dangereuse combinaison.

Catégories
Uncategorized

L’aspect financier, important pour arrêter de fumer

Il semble que l’aspect financier soit un incitatif qui fonctionne pour les gens qui tentent d’arrêter de fumer, rapporte nlm.nih.gov.

Outre le coût des cigarettes, il semble que lorsque le gouvernement participe et débourse les frais médicaux divers liés à l’arrêt du tabagisme, les chances de succès augmentent.

C’est ce que rapporte une étude hollandaise, alors que le gouvernement en place a décidé de défrayer les coûts des thérapies et produits que les fumeurs utilisent pour arrêter cette habitude.

Durant une année, donc, la Hollande y est allée d’une grande campagne contre le tabagisme, mettant en place plusieurs plans d’action, dont une ligne téléphonique de soutien sans frais.

Après 12 mois, les résultats sont concluants : on constate une hausse radicale des personnes qui ont arrêté de fumer. Il semble donc facile de dresser le portrait de la situation.

« Les gens apprécient le remboursement des différentes méthodes pour arrêter de fumer. », affirme l’auteur en chef de l’étude, Marc Willemsen, chercheur et professeur à l’Université Maastricht.

Il ajoute qu’en démontrant qu’ils prennent le problème au sérieux et en enlevant la barrière financière, les gouvernements peuvent agir directement sur le problème.

Catégories
Uncategorized

Les unités d’observation des hôpitaux pourraient épargner des milliards

Selon une étude récente, rapportée par nlm.nih.gov, les centres d’observation des hôpitaux pourraient faire épargner des milliards de dollars au système de santé.

Une unité d’observation est un lieu situé tout près des urgences, où l’on surveille les gens qui ne sont pas officiellement admis comme patients ou ceux qui sont sur le point de sortir, pour une période de 24 heures. On réduit ainsi les risques de complications ou de mauvaises surprises.

On rapporte que seulement le tiers des hôpitaux aux États-Unis possèdent ce genre de centre, et qu’il serait grandement bénéfique pour les autres de se doter d’un tel système.

Les chercheurs du Brigham and Women’s Hospital de Boston analysent les données et publient les résultats sous forme de coûts moyens épargnés par les hôpitaux qui utilisent une unité d’observation.

Ainsi, ils concluent qu’en moyenne, 1572 $ par patient (par visite) seraient épargnés lorsqu’on place celui-ci en observation. Un hôpital réduirait donc ses coûts de 4,6 millions par année, et le système de santé gagnerait 3,1 milliards par an.

Il s’agit de chiffres astronomiques, mais réalistes quand on considère les hôpitaux qui reçoivent 50 000 visites et plus par année dans leurs urgences.

Catégories
Uncategorized

Le respect des autres est la clé du bonheur

Des chercheurs en psychologie sociale de l’Université de Berkeley se sont penchés sur le statut économique et sociométrique des gens.
 
Après avoir mené des expériences, on constate que ce n’est pas l’argent qui procure un bonheur durable, mais bien le statut sociométrique, c’est-à-dire la place que nous occupons, l’image que nous avons, mais surtout le respect que nous suscitons dans notre entourage, qui a le plus d’impact sur la satisfaction personnelle, rapporte Le Figaro.
 
Le fait que l’on se sent admiré ou respecté dans notre entourage, que ce soit par nos amis, collègues ou même voisins, procure un sentiment de bien-être plus grand et durable que d’avoir plus d’argent. C’est la conclusion que tirent les chercheurs après leur recherche.
 
« Toutes ces recherches démontrent aujourd’hui l’importance du statut local pour être heureux. Le respect qu’une personne fait naître au niveau local détermine comment elle se sent globalement dans sa vie », indiquent les chercheurs.
 
D’autres études seront effectuées sur le sujet pour découvrir en quoi exactement le statut sociométrique procure une plus grande satisfaction.
 
Catégories
Uncategorized

Perdre de l’argent peut affecter notre perception de la réalité

Le Journal of Neuroscience dévoile une étude sur le lien entre une perte d’argent et la perception de la réalité.
 
Selon les chercheurs, les situations financières stressantes affectent notre perception au même titre que les situations qui mettent notre vie en danger ou qui nous conduisent à adopter des comportements totalement irrationnels.
 
Les chercheurs de l’Institut Weizmann ont effectué quelques tests, et après avoir soumis les participants à des conditionnements impliquant de l’argent, tous devaient écouter trois notes différentes.
 
La première indiquait qu’ils avaient gagné une certaine somme d’argent, la seconde qu’ils avaient subi une petite perte, et la troisième que la perte était demeurée la même.
 
C’est seulement avec la première note que les participants avaient une meilleure distinction du son, comparativement aux deux autres notes liées à une perte d’argent.
 
Avec l’imagerie cérébrale, on a pu voir l’activité dans l’amygdale, la zone du cerveau liée aux émotions et à la récompense, ainsi que dans le cortex frontal, lié à la régulation de la réaction émotionnelle.
 
Les personnes qui avaient le plus d’activité dans ces zones demeuraient plus aptes à distinguer les notes que les autres.
 
Cette découverte permet de mieux comprendre le mécanisme neurologique sous-jacent du syndrome de stress post-traumatique, mais également notre simple réflexe de fuite devant des situations plus difficiles de la vie courante, où l’on en vient à manquer de discernement.

Catégories
Uncategorized

Nutrition au Québec : une étude inquiétante au sujet des familles

5,3 sur 10, voilà la note qui pourrait refléter les données recueillies et les constats établis par 107 pédiatres de l’Hôpital Sainte-Justine de Montréal.

« Il y a plus d’enfants avec surpoids (près d’un quart des 2-17 ans), manger est moins un plaisir qu’avant. On mange pour vivre, rapidement, avec des plats préparés », affirme un pédiatre à la nutritionniste Maryse Lefebvre dans un article de La Presse.

Il est ressorti de son étude que faute de temps et d’argent, la majorité des parents se tournent vers le plat congelé au lieu du bon plat mijoté rempli de légumineuses. « Les habiletés culinaires se perdent de génération en génération. Je pense que c’est un gros problème de société », a déclaré Mme Lefebvre.

L’accès facile et rapide à la malbouffe et aux machines distributrices fait en sorte que les familles québécoises mangent moins ensemble et consomment plus de collations dans une journée que de repas sains et diversifiés.

Selon la spécialiste, qui présentera au congrès de l’Association francophone pour le savoir (ACFAS) les conclusions de son étude, il est important de savoir si les médecins ont à cœur l’alimentation, car ce sont eux qui servent de référence et qui influencent le plus souvent les parents.

Parmi les pédiatres interrogés, il n’y a que 43,9 % des pédiatres qui croient que les familles mettent la saine alimentation dans leurs priorités, et il n’y en a que 24 % qui estiment que les parents d’enfants de moins de 13 ans qu’ils rencontrent « ont les habiletés culinaires suffisantes pour manger sainement ».

Sur une note plus positive, 74 % des médecins de famille sont conscients qu’ils ont un rôle important à jouer pour transmettre des informations et connaissances pertinentes aux parents en matière de nutrition.

« Il peut y avoir des choses à faire, comme apprendre aux parents à manger pas cher sainement. Mais ça demande un suivi plus complet, pas 10 minutes de consultation », lance Mme Lefebvre.

Catégories
Uncategorized

Allaiter coûte cher aux mamans

Souvent contraintes d’arrêter de travailler pour pouvoir allaiter aisément, les femmes se condamnent à gagner moins d’argent ou tout simplement à dépendre de leur conjoint, car elles demeurent à la maison plus longtemps.

Alors qu’aux États-Unis, le congé de maternité n’est pas aussi long qu’au Québec, des débats sont en cours et la réforme Obama tente de faire reconnaître les droits que peuvent avoir ces mères.

Des lois qui autorisent les mères à allaiter dans tous les endroits publics, à avoir des salles réservées et des pauses pour tirer leur lait au boulot et du temps pour retourner à la garderie ou à la maison pour allaiter leur petit sont maintenant considérées.

Selon The American Academy of Pediatrics, il serait préférable de donner le sein jusqu’à ce que l’enfant ait atteint l’âge d’un an. Chez nos voisins du sud, seulement 23,8 % des mamans suivent cette recommandation, indiquent des données gouvernementales.

L’étude américaine, qui a été réalisée par des sociologues qui se sont fiées à leurs propres expériences d’allaitement et de maternité, a été effectuée auprès de 1313 mères.

Les participantes qui ont donné le sein durant une longue période ont remarqué une diminution plus importante de leurs revenus au cours des cinq années qui ont suivi la naissance de leur poupon, comparativement à celles qui n’ont pas allaité ou qui l’ont fait seulement pendant six mois.

Catégories
Uncategorized

Quel est l’âge parfait pour devenir parent?

Du moins, c’est ce que pensent les 170 personnes qui ont été interrogées par un sondage de l’Université de Californie, aux États-Unis.
 
Pour la plupart des participants (80 % des femmes et 70 % des hommes), 30 ans serait l’âge idéal pour mettre un enfant au monde.
 
« Une majorité d’hommes et de femmes interrogés estime qu’être parents autour de 30 ans a des avantages pour eux-mêmes et pour leur famille », ont affirmé en février dernier les chercheurs dans la revue Human Reproduction.
 
Selon les répondants, à cet âge, la santé et l’énergie des gens sont à leur apogée, tandis que la situation financière est plus stable. Contrairement à la vingtaine, où les gens confirment que l’argent et l’immaturité peuvent être des problèmes pour le rôle de parent, ou à la quarantaine, où le manque d’énergie commence à se faire sentir, les participants croient vraiment que le début de la trentaine est le moment parfait pour éduquer un petit.

D’ailleurs, il semblerait que la majorité des gens qui ont fait un enfant après 40 ans disent que cela n’a pas été un choix, mais plutôt le résultat de troubles d’infertilité. Autrement, ils auraient préféré avoir un bébé avant.