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Hollywood PQ

Combien vaut Normand Brathwaite?

Normand Brathwaite était de passage à l’émission La Tour, en compagnie d’Alexandre Barrette, où il se confiait sur un fait étonnant, soit la fortune qu’il possède.

Si vous vous demandiez combien l’animateur de Piment fort avait d’argent en banque et bien, il semblerait que ce soit un mystère… même pour lui!

En effet, lors de cette présence à l’émission, Normand Brathwaite révélait ne pas connaître l’étendue de son compte en banque.

«Tu as travaillé comme un fou et je t’ai souvent entendu dire ça, que tu as travaillé (et) que (…) tu étais sur le party. C’est pour combler de quoi? Une tristesse, une solitude, un malheur, ou tu es juste quelqu’un qui aime travailler?», demande Alexandre.

«J’aime travailler. Mon père a travaillé plus fort que moi. La vérité, c’est qu’au niveau monétaire, je ne sais pas combien j’ai en banque! Je ne l’ai jamais su», lui répond avec franchise Normand!

«J’en ai beaucoup moins que toi, peut-être plus facile à savoir j’en ai combien. Mais, j’ai de la misère à croire que tu as un lâcher-prise, une insouciance, et que tu ne le sais pas combien tu vaux!», ajoute l’animateur, visiblement un peu incrédule face à cette confidence.

«Je ne le sais pas pantoute. J’ai une idée ball park, avec les maisons, j’ai une belle maison ici et j’ai une maison en Gaspésie, je roule pas mal, je dépense. Ça coûte de l’argent faire de l’argent! Puis, quand je faisais des commerciaux, c’était trop des gros montants pour moi (…) Une vingtaine d’années d’affilée, un million, un million deux (…) Moi, ça a duré 22 ans avec Réno-Dépôt», répond un Normand un brin plus transparent, mais qui en laisse encore pour l’imagination.

Il termine en précisant qu’il n’a jamais été au courant, puisqu’il ne voulait pas savoir s’il en avait fait trop… ou pas assez!

«Probablement que si je le savais exactement (…) Là, en ce moment, peut-être que je trouverais que ce n’est pas assez avec tout ce que mon corps a subi. Mais il y a une couple d’années, j’aurais trouvé que c’est trop!», termine-t-il.

La misère des riches, réelle nonchalance ou cachotteries de la part de Normand, selon vous?

Connaissez-vous l’état de votre compte en banque?

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Trucs et Bricolages

Une fillette de 11 ans a décidé de prendre sa « retraite »

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À 11 ans, Pixie Curtis est millionnaire. Elle gagne 110 000 £ (soit plus de 183 000 CAD) par mois grâce à ses jouets. Mais voilà qu’elle songe à prendre sa retraite! En effet, elle veut se concentrer sur ses études.

Pixie est née en Australie et est la fille d’Oliver Curtis et du gourou des relations publiques Roxy Jacenko. C’est alors qu’elle était encore un nouveau-né que la mère de la fillette a créé une boutique en ligne portant le nom de sa fille, Pixie’s Pix. On y  propose des nœuds et toutes sortes d’accessoires pour cheveux pour enfants sous la marque Pixie’s Bows. 

Vivre dans une famille d’entrepreneurs a influencé la petite fille, qui a fondé, il y a trois ans, sa propre marque. Pixie’s Fidgets. Elle a lancé sa production de spinners, pop its et autres jouets populaires auprès des enfants et des adolescents.

Les jouets de Pixie sont devenus incroyablement populaires. Après que la jeune fille ait mis environ trois jours pour créer la nouvelle entreprise avec sa mère, ses produits se sont vendus en seulement 48 heures. L’entreprise a connu un tel succès qu’en 2022, Roxy a annoncé l’intention de sa fille de prendre sa retraite à l’âge de 15 ans. Cependant, Pixie a rapidement commencé à réaliser un bénéfice de 110 000 £ par mois et est devenue millionnaire à l’âge de 11 ans. Sa famille a décidé qu’elle pouvait facilement quitter l’entreprise quatre ans plus tôt que prévu.

roxyjacenko / Instagram

Malgré son énorme succès, Pixie a décidé de quitter l’entreprise, du moins pour le moment. Elle prévoit de se concentrer sur ses études, car elle est sur le point de commencer l’école secondaire. 

Atteindre ce niveau de succès si rapidement a pris beaucoup de temps à la jeune fille, alors elle a hâte de se concentrer sur elle-même.

« Pixie a décidé de suspendre les ventes de son magasin de jouets en ligne pour se concentrer sur son entrée imminente au lycée. Bref, au cours des derniers mois, nous avons discuté des plans d’affaires à venir en famille et avons décidé que […] il était temps de se recentrer avec le lycée qui approche à grands pas », a expliqué sa mère.

roxyjacenko / Instagram

Même si elle a travaillé dur, Pixie s’est aussi autorisée à passer du bon temps. Sa somptueuse fête d’anniversaire est devenue le sujet de conversation sur le Web, car elle a coûté plus de 22 000 £ (36 000 CAD).

La fête a eu lieu au luxueux complexe La Porte Space à Alexandrie. Il y avait un photomaton, un coiffeur, une grande pizzeria, des boules disco, d’innombrables desserts, un DJ, deux zèbres et des feux d’artifice.

Certains parents ont commenté les publications de Roxy sur les réseaux sociaux, craignant que sa fille soit trop jeune pour mener ce genre de vie, même si elle peut se le permettre. Peut-être que ces réactions ont également influencé la décision de Pixie de se concentrer sur ses études.

La famille continuera à gérer la boutique en ligne Pixie’s Pix.

« Bien que la boutique en ligne Pixie’s Pix restera, elle reviendra à ses débuts en 2011 – en tant que meilleure destination pour les accessoires pour cheveux Pixie’s – quelque chose que nous continuerons à gérer ensemble mais avec beaucoup moins temps/pression pour Pixie », a déclaré la mère de la fille. 

Utilisant toute son expérience dans l’industrie des relations publiques, Roxy a nourri l’esprit d’entreprise de sa fille et l’a aidée à remporter son premier succès avec Pixie’s Fidgets. La très jeune femme d’affaires connaîtra incontestablement d’autres succès dans l’avenir.

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Deux jumelles influenceuses québécoises populaires sur Onlyfans rattrapées par l’impôt

@twinsjess0 Tik Tok

Les jumelles Sarah et Jessica Massie, deux influenceuses québécoises actives sur OnlyFans, sont dans de beaux draps alors que l’impôt est actuellement sur leurs cas. En entrevue avec TVA Nouvelles, elles ont accepté de raconter leur histoire. 

Triste nouvelle pour les jumelles Sarah et Jessica Massie alors qu’elles doivent maintenant composer avec la réalité des travailleurs autonomes. Actives particulièrement sur OnlyFans, elles ignoraient qu’elles devraient payer de l’impôt à la fin de l’année en lien avec leurs gains. 


Jessica Massie a appris une bien mauvaise nouvelle que son compte bancaire a été saisi, tout comme sa sœur Sarah. 

Comme elles ne s’attendaient pas à payer de l’impôt, les jeunes créatrices de contenu ont fait faire des rénovations dans leur résidence.

En prenant connaissance du montant qu’elles devaient à Revenu Canada par la suite, les deux influenceuses n’avaient malheureusement pas suffisamment d’argent pour payer leurs dettes. 


Elles affirment que Revenu Canada a même menacé de leur saisir leur compte OnlyFans. 

Jessica a répondu que s’ils faisaient une telle chose, ils allaient lui voler son travail et ruiner sa vie.

Voyez les publications plus bas : 

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Walmart dit faire moins de profit avec l’épicerie!

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Lors de son témoignage devant le Comité permanent de l’agriculture et de l’agroalimentaire, Gonzalo Gebara, président et chef de la direction de Walmart Canada, a affirmé que son entreprise a subi une baisse de marge de profit dans sa section épicerie l’année dernière en raison de l’inflation qui a fait grimper le prix des aliments.

Il a déclaré que les détaillants doivent composer avec l’inflation tout comme les consommateurs qui remplissent leur panier d’épicerie chaque semaine.

M. Gebara a souligné que Walmart Canada n’essaie pas de tirer profit des conditions inflationnistes et que la marge brute de l’entreprise dans le secteur alimentaire a diminué l’année dernière.

Bien que Walmart Canada ait vu ses ventes d’aliments augmenter l’année dernière par rapport à l’année précédente, sa marge brute sur ces ventes était plus faible.

Le dirigeant a également expliqué que l’inflation alimentaire est le résultat d’une « tempête parfaite de facteurs externes qui ont fait grimper le prix des aliments » et que les consommateurs ne voient que le prix final sur les tablettes, sans savoir que l’inflation a eu un impact à plusieurs niveaux le long de la chaîne.

Gebara a suivi les traces de ses rivaux canadiens Loblaw, Metro et Empire Foods, dont les dirigeants ont également témoigné devant le comité en assurant qu’ils ne cherchaient pas à profiter de l’inflation pour augmenter leurs marges de profit.

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Ottawa prévoit aider Hydro-Québec à augmenter leur marge de profit

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La ministre des Finances, Chrystia Freeland, a dévoilé les mesures de son budget qui comprendront des crédits d’impôt pour les infrastructures vertes, permettant ainsi à Hydro-Québec d’augmenter sa production d’électricité verte.

Lors d’une interview pour l’émission « Le Bilan », Mme Freeland a affirmé que cette initiative serait bénéfique pour le Québec, une province qui produit déjà beaucoup d’électricité verte mais qui doit en produire davantage pour répondre à la demande croissante des entreprises vertes.

La ministre des Finances a exprimé ses préoccupations quant à la capacité d’Hydro-Québec à fournir à la fois les consommateurs et les industries vertes, et a déclaré que le plan gouvernemental résoudra ce problème.

Elle a souligné que les crédits d’impôt pour les infrastructures vertes ne s’appliquaient auparavant qu’au secteur privé, mais que le gouvernement avait compris l’importance d’étendre cette mesure aux sociétés d’État comme Hydro-Québec.

Pour simplifié le tout, un crédit d’impôt accordé à Hydro-Québec aurait pour effet d’augmenter considérablement ses marges de profits. Cette mesure pourrait permettre à l’entreprise d’investir davantage dans de nouveaux projets afin d’augmenter sa production d’énergie verte.

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Les prix chez Dollarama pourraient augmenter bientôt

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Dollarama, la chaîne de magasins à bas prix, a annoncé une prévision de hausse des coûts plus rapide pour cette année, principalement en raison de l’inflation des salaires. Malgré cela, la société de Montréal prévoit d’attirer un large éventail de clients alors que les ménages cherchent à faire face à l’inflation. Pour l’exercice 2024 qui se terminera à la fin janvier 2024, Dollarama prévoit que ses frais généraux représenteront entre 14,7 % et 15,2 % de ses ventes, comparé à un ratio de 14,3 % pour l’exercice précédent. Selon Neil Rossy, président et chef de la direction de Dollarama, la majorité de cette hausse est attribuable au marché du travail toujours très serré.

Lors d’une conférence téléphonique pour discuter des résultats du quatrième trimestre et des prévisions pour le prochain exercice, M. Rossy a souligné que malgré les pressions inflationnistes sur les salaires, Dollarama met l’accent sur le climat de travail avant les salaires dans ses efforts de rétention des employés. Il a déclaré : «C’est une priorité pour l’entreprise que, malgré la paie, nos employés apprécient leur expérience et que nous donnons un environnement de travail adéquat. »

Dollarama : malgré un taux de roulement élevé, l’entreprise maintient un environnement de travail sécuritaire et positif

Dans un contexte de marché du travail serré, le président de Dollarama, M. Neil Rossy, a jugé normal d’être confronté à un certain taux de roulement. Cependant, pour l’entreprise, il est primordial que le milieu de travail soit sécuritaire, positif et offre des occasions de promotion, surtout pour les employés qui s’engagent dans leur premier emploi. Bien que le salaire ne soit pas élevé, l’employeur affirme que les travailleurs apprécient leur travail.

Ces déclarations interviennent alors que Dollarama a été la cible de critiques de la part de groupes communautaires et syndicaux au cours des dernières années. Ces derniers ont dénoncé les conditions de travail, y compris le faible salaire, le recours à des agences de placement et les allégations de non-respect des règles sanitaires pendant la pandémie. Cependant, l’entreprise a toujours nié ces accusations, qualifiées de mensongères, et affirmé respecter les lois du travail.

Malgré ces critiques, Dollarama a publié des résultats supérieurs aux attentes des analystes ce mercredi. En effet, en cette période d’inflation, les ménages cherchent des options moins coûteuses, ce qui pourrait expliquer l’attrait de la clientèle pour les produits bon marché offerts par Dollarama.

Dollarama affiche une forte croissance de ses ventes au quatrième trimestre 2023

Avec une augmentation de 20,3% pour s’établir à 1,47 milliard $. Le nombre de transactions a également augmenté de 14,1% dans les magasins ouverts l’an dernier. Les ventes des magasins comparables ont progressé de 15,9%. Dollarama a enregistré un bénéfice net de 261,3 millions $, soit une augmentation significative par rapport aux 220 millions $ de la même période l’année dernière, tandis que le bénéfice dilué par action a été de 91 cents.

Le président de Dollarama, M. Neil Rossy, souligne que la popularité de l’entreprise est généralisée, avec des clients qui fréquentent les magasins autant à pied qu’en voiture de luxe. Cette croissance anormale est en partie due au fait que le variant Omicron était à son apogée à la même période l’an dernier.

Les analystes prévoyaient un bénéfice dilué par action de 85 cents et des revenus de 1,39 milliard $, mais les résultats ont dépassé les attentes. Pour l’exercice 2024, Dollarama prévoit une croissance de ses ventes comparables entre 5% et 6%. Les actions de Dollarama ont augmenté de 2,36 % pour atteindre 80,35 $ à la Bourse de Toronto en milieu d’après-midi.

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TENSION BANCAIRE : La Banque du Canada reste prudente

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La Banque du Canada est actuellement en train de surveiller attentivement les tensions sur le système bancaire mondial en vue de sa prochaine décision sur les taux d’intérêt et la publication de son rapport sur la politique monétaire, qui doit intervenir en avril.

Dans un discours prononcé lors de la Conférence sur les services financiers de la Banque Nationale, Toni Gravelle, sous-gouverneur de la Banque du Canada, a affirmé que la banque centrale était en alerte maximale quant à tout effet potentiel de débordement sur l’économie réelle, suite aux récents problèmes bancaires aux États-Unis et en Europe.

Toni Gravelle a souligné que la Banque du Canada allait examiner les conséquences macroéconomiques de cette situation en constante évolution, en portant une attention particulière aux effets de débordement possibles sur l’économie réelle, dans un contexte où les conditions financières se resserrent et où la confiance est plus généralement affectée.

La Banque du Canada garde un œil sur les banques mondiales en vue de sa prochaine décision sur les taux d’intérêt et la publication de son rapport sur la politique monétaire en avril, selon Toni Gravelle, sous-gouverneur de la Banque du Canada.

Il a précisé que la banque centrale surveillait tout effet potentiel des récents problèmes bancaires aux États-Unis et en Europe sur l’économie réelle et serait attentive aux effets de débordement possibles dans l’économie réelle si les conditions financières se resserrent et qu’il y a des effets plus généraux sur la confiance.

Cependant, Gravelle a souligné que les banques mondiales étaient plus résilientes qu’il y a 15 ans et que les réformes mises en place depuis la crise financière mondiale les ont obligées à augmenter considérablement leurs réserves de fonds propres et de liquidités. Bien que le secteur bancaire canadien ait une réputation de stabilité, il n’est pas à l’abri des événements qui se produisent ailleurs, a noté Gravelle.

La prochaine décision sur les taux d’intérêt et le prochain rapport sur la politique monétaire de la Banque du Canada sont prévus pour le 12 avril. Lors de sa décision sur les taux d’intérêt du 8 mars, la Banque du Canada avait maintenu son taux directeur inchangé à 4,50 % pour la première fois depuis qu’elle avait commencé à les relever en mars 2022 dans le but de ralentir l’inflation.

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On peut s’attendre à quoi comme augmentation de salaire pour 2023?

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Le salaire horaire moyen des travailleurs québécois a connu une augmentation exceptionnelle de 6,9% en 2022, selon des données récentes.

Cette hausse remarquable survient alors que de nombreux employés s’apprêtent à négocier leur salaire avec les entreprises, qui marquent le début de leur nouvelle année fiscale au printemps.

Selon Annie Boilard, présidente de Réseau Annie RH, les prévisions pour les augmentations salariales se situent entre 4 et 4,4%. Toutefois, en janvier 2023, une augmentation de seulement 4,4% était prévue en raison de la baisse de l’inflation.

Il convient de noter que ces prévisions ne s’appliquent pas aux travailleurs couverts par une convention collective, qui peuvent généralement s’attendre à une augmentation annuelle comprise entre 2 et 3%.

La question a posée est : est-ce que les salaires vont suivre le pouvoir d’achat pour 2023? 


L’augmentation fulgurante des salaires dans l’après-guerre n’est pas un mystère, elle était due à une croissance économique rapide et à une productivité en constante augmentation, permettant aux entreprises d’offrir des augmentations salariales supérieures à l’inflation d’environ 3% par an. Le militantisme syndical était également à son apogée, et les fortes augmentations salariales dans l’industrie de la construction et le secteur public ont eu un effet d’entraînement important sur les salaires dans le secteur privé.

Cependant, cet âge d’or a pris fin brutalement au milieu des années 1970, lorsque la crise pétrolière a frappé l’économie mondiale et que la productivité a ralenti en Amérique du Nord. Le gouvernement fédéral a imposé un contrôle des salaires, le chômage a augmenté, le Québec a gelé le salaire minimum et a strictement encadré le droit de grève dans les services publics. De plus, les travailleurs syndiqués ont commencé à privilégier la sécurité de l’emploi plutôt que les revenus maximums.

Les travailleurs au bas de l’échelle salariale ont subi la concurrence croissante des travailleurs des pays émergents avec la délocalisation. Pendant 25 ans, le salaire hebdomadaire moyen n’a même pas suivi l’inflation et a diminué en termes réels, passant de 926 $ en 1977 à 845 $ en 2001 (en dollars de 2020). Les travailleurs hautement rémunérés ont toutefois continué à bénéficier d’importantes augmentations salariales.

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Voici comment travailler 4 jours semaine

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Alexandra Lamoureux, associée et directrice de l’impact social de la Boîte Pac, affirme que la solution à la réduction du temps de travail ne consiste pas à perdre un cinquième de son revenu en travaillant 32 heures par semaine, mais plutôt à augmenter les taux horaires.

Cependant, cette proposition est souvent mal reçue par les cabinets d’avocats et les agences lorsqu’elle leur suggère de réduire le temps de travail tout en conservant le même montant de facturation. Selon elle, il est justifié d’augmenter les tarifs si la transition vers une semaine de quatre jours est réussie, car cela permet aux employés d’être plus efficaces en accomplissant leurs tâches en moins d’heures qu’auparavant.

Cela constitue le dilemme le plus épineux auquel elle doit faire face depuis que sa firme a commencé à accompagner les organisations dans leur transition vers une semaine de quatre jours il y a un an.

Faire passer le message 

Selon Alexandra Lamoureux, experte en semaine de quatre jours, les entreprises qu’elle accompagne dans leur transition vers cette formule peuvent craindre d’annoncer une augmentation des tarifs et une réduction du temps de travail à leur clientèle. Pourtant, elle recommande la transparence et la démonstration de l’optimisation des façons de faire.

Elle assure que le client n’y perdra pas, car sa facture restera identique et il bénéficiera d’un travail plus créatif. Même les entreprises qui doivent fournir un service sept jours sur sept peuvent passer à une semaine de 32 heures, selon la consultante. La formule n’est pas figée, car certaines entreprises peuvent fermer complètement le lundi ou le vendredi, tandis que d’autres peuvent opter pour une rotation.

Elle propose par exemple que chaque membre d’une équipe de 20 personnes assure une veille tous les 20 vendredis pour surveiller les courriers électroniques en cas d’urgence.

Revoir ses priorités

La directrice de l’impact social reconnaît que, dans certains cas, la semaine de travail de quatre jours peut ne pas répondre aux besoins des clients. Elle donne en exemple une entreprise qui a mis fin à un contrat de 300 000 $ car elle estimait que cela demandait trop d’efforts à son équipe, même le week-end.

La direction a créé un nouveau test pour évaluer si un contrat respecte son engagement envers l’amélioration de l’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. C’est ainsi qu’elle a déterminé que le contrat en question ne respectait plus ces normes.

Bien que sa cliente ait perdu une source de revenus, selon Alexandra Lamoureux, elle s’ouvre également à de nouvelles opportunités qui permettront à ses employés et à l’organisation de profiter des avantages de la semaine de quatre jours. Si l’ajout d’un nouvel employé est nécessaire pour garantir le succès de cette initiative, la consultante recommande de le faire sans hésitation.

Elle considère cela comme un investissement qui, à long terme, se traduira par des économies en réduisant le taux de rotation du personnel. De plus, si l’entreprise doit recruter de nouveaux employés, elle aura déjà une pile de CV de travailleurs qualifiés.

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Un concours offre un gros lot de 1M$ aux Québécois vaccinés!

Christian Dubé - Député de La Prairie via Facebook et Tima Miroshnichenko via Pexels à titre indicatif seulement

Qui aurait cru que de recevoir ses deux doses de vaccins pourrait rendre riche un Québécois?! Eh oui, le ministre de la Santé et des Services sociaux, Christian Dubé, accompagné d’Eric Girard, le ministre des Finances, a annoncé un peu plus tôt aujourd’hui tous les détails du fameux concours « Gagner à être vacciné »!

On a donc appris que les Québécois.es vacciné.e.s auront la chance de remporter plusieurs lots importants qui totalisent un montant de 2 millions de dollars! Le premier concours en partenariat avec Loto-Québec permettra aux adultes de se remplir les poches, tandis que le deuxième concours visera les jeunes âgés entre 12 et 17 ans.

Calendrier

Crédit: @christian.dube.sante via Instagram

Voici les prix pour les adultes:

  • Chaque semaine entre le 1er août et le 27 août aura lieu un tirage de lots de 150 000$ en argent parmi ceux qui ont reçu leur première dose de vaccin
  • Le 3 septembre, un gros lot de 1 million $ en argent sera tiré parmi ceux qui auront reçu leur première dose avant le 3 août et leur deuxième dose avant le 31 août inclusivement

Voici les prix pour les plus jeunes:

  • Chaque semaine entre le 1er août et le 27 août aura lieu un tirage de deux bourses d’études de 10 000$ chacune parmi les jeunes qui auront reçu leur première dose
  • Le 3 septembre, un grand tirage de 16 bourses d’études de 20 000$ chacune sera tiré parmi les jeunes qui auront reçu leur première dose avant le 3 août et leur deuxième dose avant le 31 août inclusivement

« Depuis le début de cette campagne de vaccination, les équipes redoublent de créativité. Le concours vaccinal est une initiative qui permettra, d’une part, de maximiser le taux de vaccination au Québec dans toutes les catégories d’âge et, d’autre part, de favoriser l’administration de la deuxième dose avant le 31 août. Il est essentiel d’aller chercher sa deuxième dose d’ici le 31 août en devançant son rendez-vous pour profiter d’une protection optimale à plus long terme, notamment contre les variants, » explique Christian Dubé, ministre de la Santé et des Services sociaux.

« Depuis le début de la campagne de vaccination, le gouvernement a fait de nombreux efforts pour joindre les Québécois et les sensibiliser à l’importance de se faire vacciner et de recevoir rapidement les deux doses nécessaires à une protection adéquate. Nous ajoutons aujourd’hui un outil supplémentaire pour stimuler certaines personnes un peu plus hésitantes à se faire vacciner, » explique Eric Girard, ministre des Finances

Infos importantes :

  • Les règlements détaillés seront diffusés dans les journées précédant le début des inscriptions, prévu le 25 juillet prochain.
  • Pour participer aux tirages du concours vaccinal, les personnes devront s’inscrire en visitant le portail de preuve vaccinale.
  • Pour être valide, l’inscription doit être faite au plus tard à 23 h 59 la journée précédant le tirage. Notons toutefois que pour le dernier tirage, le 3 septembre, les personnes devront obligatoirement avoir reçu leur deuxième dose de vaccin ET avoir procédé à leur inscription avant le 31 août à 23 h 59.
  • Toutes les personnes inscrites seront éligibles à tous les tirages, et ce, selon les conditions du concours. Les personnes éligibles sont celles qui :
    • ont reçu le vaccin au Québec;
    • ont eu un diagnostic confirmé de la COVID 19 et reçu une dose de vaccin;
    • ont reçu un vaccin reconnu par Santé Canada à l’extérieur du Québec et fait reconnaître l’administration de ce vaccin.

Bonne chance!!!

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