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Importante découverte en matière de réanimation (RCR)

On croyait bien que les techniques de RCR (réanimation) étaient coulées dans le béton, c’est-à-dire qu’on ne pourrait pas vraiment les améliorer. Il semblait que la technique enseignée dans tous les cours de premiers soins prévaudrait.

Il semble toutefois que tout cela soit sur le point de changer, alors que plusieurs études viennent mettre en doute l’utilité du bouche-à-bouche lors des manœuvres de réanimation.

La plus récente en date est celle publiée dans la nouvelle édition du Journal of American College of Cardiology (JACC), rapportée par santelog.com, qui parle de taux de survie clairement plus élevé lorsque le RCR est pratiqué sans bouche-à-bouche.

On prône donc maintenant des manœuvres de compressions thoraciques uniquement, les spécialistes affirmant qu’ils sont en train de constater des hausses dans les taux de survie lorsque le bouche-à-bouche n’est plus dans le processus. On parle même de taux qui sont passés, dans certains cas, de 18 à 38 %!

On explique que dans les dix premières minutes d’un arrêt cardiaque, la compression thoracique permet d’imiter les battements du cœur et donc de maintenir le flux sanguin. L’aspect de l’aide respiratoire (bouche-à-bouche) ne serait pas prioritaire dans les tout premiers soins.

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La génétique influencerait la réponse des fumeurs aux campagnes anti-tabac

Cesser de fumer est complexe et demande un effort surhumain pour plusieurs personnes. Les campagnes anti-tabac se succèdent pourtant, et les effets néfastes du tabagisme sont bien connus, plus encore, placardés mur à mur à peu près partout.

Malgré tout, les statistiques recensant les fumeurs semblent stagner un peu partout, notamment aux États-Unis. www.nlm.nih.gov explique une partie de ce phénomène en rapportant une étude publiée par l’Université Yale, qui avance que certaines personnes ne seraient pas susceptibles de réagir aux nombreuses campagnes anti-tabac à cause de leur ADN.

Selon les chercheurs de Yale, certaines personnes sont portées vers la dépendance au tabac de par leur bagage génétique, ce qui leur rendrait la vie très difficile lorsqu’elles tentent de cesser.

« Nous avons découvert que pour les personnes qui sont génétiquement prédisposées à fumer, des mesures comme les hausses de taxes ne sont pas suffisantes pour les convaincre d’arrêter », explique Jason Fletcher, professeur associé à Yale et chercheur en chef de l’étude.

On remarque une baisse de 30 %, en moyenne, de la consommation des produits du tabac chez les sujets qui ne possèdent pas cette particularité génétique lorsque le gouvernement augmente les taxes sur les cigarettes.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la plus récente édition de la revue PLoS One.

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Un médicament à l’essai pour contrer la dépendance à l’alcool

Un médicament pour tenter de contrer la dépendance à l’alcool reprend la route des essais cliniques, annonce topsante.com.

C’est que ce n’est pas la première série de tests que connait ce médicament, appelé Bacoflène, celui-ci ayant été mis à l’essai pour la première fois en mai dernier.

On parle donc ici d’un essai complémentaire, dirigé par Michel Reynaud, en France.

Si ces tests s’avéraient concluants, on pourrait voir apparaitre sur le marché (en tout cas celui de l’Europe pour commencer) le fameux « remède » pour traiter l’alcoolisme.

Le Bacoflène est déjà utilisé comme relaxant musculaire en centre hospitalier. Cette fois, on vérifiera les effets du médicament sur 320 patients qui recevront des doses élevées. On pourra noter ses impacts selon la capacité des sujets à demeurer sobres.

On veut bien sûr également éviter les pires effets secondaires et vérifier le type de tolérance que le corps peut développer avec la présence du Bacoflène dans l’organisme.

M. Reynaud mentionne : « Le taux de réussite attendu est de 50 % concernant l’abstinence complète. Nous étudierons aussi la diminution de la consommation, mais ce n’est pas l’objectif principal de l’étude ».

Un peu d’espoir, donc, pour les gens qui ont tenté de se sortir de l’alcoolisme sans toutefois y parvenir.

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La FDA suggère de voir un médecin avant de consommer des boissons énergisantes

Les boissons énergisantes se retrouvent encore pointées du doigt pour certains cas de décès et de maladies, entre autres aux États-Unis.

Cette fois, l’Agence fédérale américaine de l’alimentation et des médicaments, la FDA (www.fda.gov) , n’hésite pas à lancer une alerte ainsi qu’une série de recommandations.

L’une d’entre elles est de carrément consulter son médecin de famille avant de se lancer dans la consommation de ces produits dits énergisants.

Tout ceci fait suite aux récents scandales qui ont éclaboussé la marque de boissons Monster, à qui l’on attribue la faute pour certains décès qui se sont produits récemment.

Cette fois, c’est la boisson 5-Hour Energy qui se retrouve au banc des accusés, alors que cette dernière serait responsable de certains cas de maladies et de morts subites. Plusieurs autres cas d’hospitalisation en lien avec ce produit ont été recensés au fil des dernières années, dans plus de 92 rapports.

Si l’effet de causalité de ces produits n’est pas démontré entièrement, les spécialistes avisent les consommateurs de ne pas prendre ces recommandations (ainsi que l’impact de ces boissons énergisantes) à la légère.

On recommande donc de se tourner vers son médecin et d’essayer de minimiser au maximum l’absorption de ces boissons.

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Plus de chance de survivre à un arrêt cardiaque à l’hôpital maintenant qu’avant

Les patients qui subissent un arrêt cardiaque et qui sont déjà dans un centre hospitalier ont beaucoup plus de chances de survivre à l’incident qu’avant, rapporte www.nlm.nih.gov.

C’est ce que révèle une nouvelle étude sur le sujet, qui analyse les données recueillies en centre hospitalier depuis le tournant des années 2000.

Les chercheurs constatent une forte amélioration du taux de survie suivant un arrêt cardiaque, la courbe entre 2000 et 2009 affichant une progression constante (pour le mieux). On parle maintenant de 22 % de chances de survie après un arrêt cardiaque, contre 14 % seulement il y a dix ans.

Également, encore au chapitre des bonnes nouvelles, il semble que les séquelles et conséquences après un arrêt cardiaque à l’hôpital soient aussi moins fréquentes que jadis.

Dr Saket Girotra, de la division des maladies cardiovasculaires de l’University of Iowa Hospitals and Clinics, explique : « Nous observons que les chances de survie dans de tels cas se sont améliorées, et ce, pour deux raisons. D’abord, les praticiens font un meilleur travail en réanimation, et ils deviennent aussi meilleurs quand vient le temps de prodiguer les soins urgents à la suite d’une réanimation ».

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Une nouvelle génération de pacemakers prometteuse

La technologie avance à pas de géant chaque année et permet d’améliorer le sort de millions de patients dans le monde. C’est peut-être au tour des gens qui ont besoin d’un pacemaker, cet outil qui permet de régulariser le rythme cardiaque.

Ce dernier en a d’ailleurs sauvé plus d’un, rappelle www.nlm.nih.gov, au fil des 50 dernières années, mais un seul problème a toujours subsisté : il faut changer les piles.

Voilà qu’un nouveau prototype pourrait voir le jour. Les chercheurs sont en tout cas très optimistes dans ce dossier. Sans pile, le pacemaker du futur fonctionne en se régénérant directement par le cœur du patient.

L’appareil utilise des aimants et des vibrations de la cavité thoracique afin de créer une énergie, suffisante au bon fonctionnement de l’appareil.

C’est ce qu’explique David Inman, du département d’aérospatiale du Michigan : « En ce moment, remplacer la pile d’un pacemaker nécessite une chirurgie majeure, et ça doit se passer tous les sept ans, environ. Pour un bambin qui se fait greffer à deux ans, ce qui est commun, cela veut dire dix opérations à cœur ouvert au fil de sa vie ».

On comprend mieux pourquoi les chercheurs veulent enrayer ce problème à tout prix, et ils sont peut-être sur le point de réussir.

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Un vaccin contre la grippe qui prévient aussi les problèmes cardiaques

La polémique entourant les vaccins contre la grippe fait rage depuis le début de leur existence. Le débat est encore à son paroxysme aujourd’hui, mais voilà qu’une étude canadienne donne des armes au camp pro-vaccins.

C’est que ces chercheurs canadiens affirment que le vaccin moyen antigrippal administré à la population avant l’hiver protègerait non seulement de l’influenza, mais aussi des risques d’une attaque cardiaque.

C’est ce que rapporte topsante.com, qui ajoute que l’étude s’est effectuée en analysant les cas de 3227 patients, dont la moitié étaient déjà suivis pour des troubles cardiaques.

Bien sûr, certains ont alors reçu le vaccin véritable, alors que les autres se sont vus offrir un placebo. Étaient analysés ensuite les accidents et activités cardiovasculaires vécus par les patients durant l’année suivante, ce qui a permis aux chercheurs d’en arriver à de telles conclusions.

Ils avancent même le chiffre de 50 %, en parlant de la réduction des risques. Plus étonnant, ils affirment que sur 34 personnes vaccinées contre la grippe, l’une d’entre elles sera sauvée d’un infarctus.

Voilà qui va donner de quoi discuter dans les chaumières cet hiver. Les pro-vaccins se sentiront donc doublement en sécurité, mais parions que les sceptiques ne seront pas si faciles à convaincre.

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Plus de chances de survivre à un arrêt cardiaque selon la classe sociale

Même s’il semble discriminatoire de tenir de tels propos, www.nlm.nih.gov avance une étude qui prétend que les chances de survie lors d’un arrêt cardiaque peuvent varier selon l’endroit où vous vous trouvez et votre classe sociale.

En fait, il semble que les gens issus ou résidants d’un milieu plus aisé soient plus enclins à tenter des manœuvres de réanimation (RCR) sur une victime que les autres.

La Dre Comila Sasson, de l’école de médecine de l’Université du Colorado, résume : « L’endroit où vous aurez une crise cardiaque aura un impact sur vos chances de survie, et celles-ci peuvent même varier selon le côté de la rue où vous vous trouvez. Il s’agit d’un phénomène psychosocial et économique réel ».

Chaque année en Amérique, plus de 300 000 personnes sont victimes d’un arrêt cardiaque, et l’endroit où la crise se produit influence les chances de voir un pur étranger leur venir en aide.

Plus de 14 225 de ces cas ont été étudiés, tous en milieux urbains, et la moyenne statistique des chances qu’un inconnu tente des manœuvres de réanimation seraient de 29 %. Celles-ci passeraient à 55 % dans les quartiers les plus favorisés, un écart très significatif.

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L’aspect financier, important pour arrêter de fumer

Il semble que l’aspect financier soit un incitatif qui fonctionne pour les gens qui tentent d’arrêter de fumer, rapporte nlm.nih.gov.

Outre le coût des cigarettes, il semble que lorsque le gouvernement participe et débourse les frais médicaux divers liés à l’arrêt du tabagisme, les chances de succès augmentent.

C’est ce que rapporte une étude hollandaise, alors que le gouvernement en place a décidé de défrayer les coûts des thérapies et produits que les fumeurs utilisent pour arrêter cette habitude.

Durant une année, donc, la Hollande y est allée d’une grande campagne contre le tabagisme, mettant en place plusieurs plans d’action, dont une ligne téléphonique de soutien sans frais.

Après 12 mois, les résultats sont concluants : on constate une hausse radicale des personnes qui ont arrêté de fumer. Il semble donc facile de dresser le portrait de la situation.

« Les gens apprécient le remboursement des différentes méthodes pour arrêter de fumer. », affirme l’auteur en chef de l’étude, Marc Willemsen, chercheur et professeur à l’Université Maastricht.

Il ajoute qu’en démontrant qu’ils prennent le problème au sérieux et en enlevant la barrière financière, les gouvernements peuvent agir directement sur le problème.

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Un gène détermine la facilité à arrêter de fumer

Selon des chercheurs de l’Université McGill, un gène déterminerait notre réaction au tabagisme.
 
En fait, les personnes ayant un métabolisme nicotique rapide voient leur cerveau réagir plus aux stimuli du tabagisme, comme voir une cigarette ou un fumeur.
 
De cette façon, le taux de succès à l’arrêt du tabac est plutôt restreint, car les rechutes sont plus fréquentes.
 
« Les personnes au métabolisme nicotinique rapide auraient une réaction cérébrale plus importante à la vue de stimuli au tabagisme, à cause du lien étroit dans la vie quotidienne entre l’exposition aux cigarettes et les poussées de concentration de nicotine dans le sang », mentionne le chercheur Alain Daguer.
 
Cette découverte pourrait mener à une modification des programmes pour arrêter de fumer afin qu’ils soient basés sur la génétique de chaque personne.