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Art de vivre

Une exposition réalisée par des élèves au Musée des beaux-arts de Montréal

Le Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) organise souvent des projets avec les différentes écoles ou commissions scolaires et s’implique énormément dans la communauté. À travers l’art, le MBAM raconte des histoires et crée des liens entre différentes générations et cultures. C’est d’ailleurs ce qui s’est passé avec leur plus récent projet, fait avec la méthode ÉducArt. https://educart.ca/fr/a-propos/

ÉducArt, c’est un outil qui a été développé par le MBAM pour parrainer des projets dans les écoles selon différentes thématiques. Une association avec la Commission scolaire de Laval a permis de créer une nouvelle exposition qui sera présentée du 30 octobre au 1er décembre.  Cette exposition présente une série de portraits qui racontent la rencontre entre des élèves du primaire et du secondaire et des adultes du Centre communautaire Petit Espoir. Cette rencontre a donné lieu à de super échanges entre des personnes de cultures et d’âges différents.

Le MBAM et la Commission scolaire ont d’ailleurs créé une touchante vidéo pour expliquer l’exposition.

C’est donc un rendez-vous au MBAM jusqu’en décembre pour découvrir ce magnifique projet!

L’accès est complètement gratuit.

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Potins

10 artistes revisitent les grandes figures du Québec

C’est à compter de ce soir, 22h, qu’Historia diffusera sa toute nouvelle production originale, Dans les pas de. Le concept sympathique, qui marque un retour aux productions originales pour la chaîne, fait appel à 10 artistes, qui animent chacun un épisode pour revisiter de grandes figures de l’histoire du Québec. De La Poune à Joseph-Armand Bombardier, l’émission fait la lumière sur les personnalités publiques, mais aussi l’humain derrière en révélant des pans moins connus de ces personnages historiques. Une belle façon de faire vivre la nostalgie et de permettre aux générations plus jeunes de mieux découvrir des bâtisseurs de notre culture.

Ainsi, Réal Béland part sur les traces de Maurice « Mad Dog » VachonPaul Houde, qui en connaît long sur le lutteur, l’épaule dans son exploration et explique l’enfance de cette figure emblématique, née en pleine crise économique à la fin des années 20, à Ville-Émard, à une époque où les tensions entre les francophones de son quartier et les anglophones de Verdun étaient à leur comble. De la naissance du personnage à la fin de sa carrière, en passant par la courte aventure de la chaîne Mad Dog Burger (!!!), on souligne la bête de scène qu’il était et on énumère ses blessures, comme son larynx fracturé qui lui a donné cette voix si unique.

Parlant de bête de scène, Yves P. Pelletier, de son côté, revisite la vie de Rose Ouellette, dite La Poune. Ici aussi, on redécouvre l’humoriste via des extraits de sketchs ou encore une entrevue avec Louis Armel, son faire-valoir sur les planches. Mais c’est surtout la vie de la comédienne qui nous est exposée, de son enfance dans le très pauvre Faubourg à m’lasse à ses débuts au National, alors qu’elle gagnait un maigre trois dollars par semaine pour performer et diriger une troupe de théâtre burlesque qui est rapidement devenue très populaire. Francine Grimaldi, qui l’a connue, se remémore de son tempérament, tandis que la petite-fille de Rose Ouellette agrémente la discussion entre autres avec de petits faits anecdotiques. Surtout, elle confirme ce dont plusieurs se doutent depuis longtemps : sa grand-mère a partagé sa vie pendant des décennies avec sa compagne Gertrude, qu’elle présentait au public comme son assistante ou sa collaboratrice, alors qu’elle et son mari n’étaient que de bons amis.

Laura Dexet (Corus Média Inc.)

Mais ce ne sont pas que les artistes qui sont revisités ici. Pierre-Yves Lord retrace l’existence de René Lévesque et, encore là, on réussit à nous sortir des éléments méconnus du personnage pourtant si célèbre, comme ses dîners composés entre autres de toasts brûlées au poivre et d’un verre de lait. Fun fact : l’ancien premier ministre du Québec et l’animateur ont tous les deux été expulsés du même collège, où l’ex-journaliste a reçu des notes pitoyables en mathématiques et en argumentation.

Laura Dexet (Corus Média Inc.)

Dans les pas de nous fait également revoir la vie du Frère Marie-Victorin (présenté par Marie-Thérèse Fortin), de Jacques Normand (présenté par Sébastien Benoit), du Père Emmett Johns « Pops » (présenté par Jean-Marie Lapointe), d’Alphonse et Dorimène Desjardins (présentés par Vincent Graton), de Jehane Benoît (présentée par Christian Bégin) de Joseph-Armand Bombardier (présenté par Marie-Claude Savard) et d’Irma LeVasseur (présentée par Pascale Montpetit). C’est à voir les vendredis à 22h à compter du 1er novembre, sur Historia.

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Art de vivre

Un musée montréalais offre un espace de création 100% gratuit pour les jeunes

Le Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) inaugurait officiellement un nouveau studio de création, conçu par et pour les jeunes! Nommé l’ATLR 15-20, ce nouvel espace entièrement destiné aux ados et jeunes adultes leur permettra d’explorer leur créativité et de faire des rencontres inspirantes.

Le plus cool dans tout ça, c’est que l’accès au studio est 100% gratuit et tout plein de matériel artistique et informatique est disponible sur place pour que les jeunes puissent essayer toutes sortes de médiums créatifs. De la peinture, des feutres, de l’argile, différents supports (papier, toiles, etc.), des appareils photo, des ordinateurs, des fonds verts, etc. sont à disposition afin que chacun.e puisse créer comme bon lui semble! Aucune expérience artistique n’est requise et des artistes émergents seront parfois sur place pour donner des conseils et montrer certaines techniques.

L’ATLR 15-20 est une initiative du comité Jeunesse du MBAM, et plusieurs activités seront offertes tout au long de l’année, comme des ateliers-rencontres! Les jeunes de 15 à 20 ans pourront aussi profiter d’un espace lounge, d’une bibliothèque et de surfaces d’exposition pour toutes sortes de créations.

Quelle belle idée pour initier les jeunes aux arts et leur donner un espace pour exprimer leur créativité!

L’ATLR 15-20 est accessible au 2200 rue Crescent et est ouvert le mercredi de 15h à 20h et le dimanche de 13h à 16h.

La salle est aussi disponible gratuitement hors des heures d’ouverture, sur réservation, pour les organismes sociocommunautaires.

Plus d’informations ici.

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Ton petit look

Le Square Dorchester se transforme en immense galerie d’art en plein air!

Du 12 au 15 septembre prochains, 23 artistes contemporains de la relève québécoise exposeront leurs créations dans le somptueux décor du Square Dorchester. Vous pourrez venir admirer plus d’une centaine d’?uvres, en plus de pouvoir assister à des performances artistiques, ainsi qu’à des ateliers d’initiation pour tous!

« Artch est une merveilleuse plateforme pour faciliter l’éclosion de nos talents les plus prometteurs. C’est un rendez-vous pour mieux comprendre l’art contemporain, découvrir des artistes d’exception et les rencontrer », a indiqué dans un communiqué Frédéric Loury, cofondateur et directeur général de Art Souterrain, cofondateur de Artch. « Il est important de préciser que 98% des profits générés par la vente des ?uvres lors de l’exposition seront remis à l’artiste », de renchérir Martin Choquette, directeur général du CJE Montréal Centre-Ville et aussi cofondateur de Artch.

Crédit: Alexanne Dunn

Artistes qui seront sur place:

Alex Coma, peinture

Alexanne Dunn, peinture

Alexia McKindsey, peinture

Camille Lescarbeau, dessin

Clara Couzino, objet

Colas Eko, objet

Diyar Mayil, performance

Elyse Lewis, photographie

Emily Spooner, peinture

Florence Giroux Gravel, objet

Geneviève Cadieux-Langlois, performance

Janna Yotte, art d’impression

Jérémie St-Pierre, peinture

Juliette Blouin, peinture

Kassandra Graham, objet

Laurence Dauphinais, photographie

Mariane Stratis, art d’impression

Marion Paquette, photographie

Marko Tonich, objet

Michaëlle Sergile, photographie

Myriam Simard-Parent, photographie

Rihab Essayh, objet

Saba Heravi, objet

Puisque Artch parraine des artistes âgés de 35 ans et moins afin de les soutenir dans leurs projets artistiques, chacun des 23 artistes participant à Artch se mérita une bourse d’une valeur de 1 000 $ grâce à Loto Québec, l’UQAM et l’Université Concordia ainsi qu’une formation de 52 heures en entrepreneuriat artistique.

Pour la bonne cause, alliez l’utile à l’agréable en passant y faire un petit tour!

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Nightlife.ca

Gab Bois, ou l’art minimaliste qui fait réfléchir

J’ai clairement dû passer une trentaine de minutes sur la page Instagram de Gab Bois @gabbois à regarder, re-regarder et doublement re-regarder chacun de ses posts. C’est absolument incroyable.

Gab Bois, comme elle l’explique dans la vidéo youtube suivante, nous dit qu’elle est simplement elle-même, et que selon elle, ce qu’elle produit et partage sur sa page instagram n’est pas de l’art.

Excusez pardon, mais je crois sincèrement le contraire. Ça fait longtemps que je n’ai pas passé plus qu’une minute sur une page instagram. Elle a quand même 296k d’abonnés sur Insta, ce n’est pas rien!

C’est, sans hésiter, mon coup de coeur de la semaine, probablement du mois. Elle est incroyable et absolument fascinante.

Elle produit, avec des objets de tous les jours, des images qui nous forcent à nous questionner sur certains aspects des objets, des images, et de nos relations avec celle-ci. Parfois dérangent, drôle, bizarre, mais toujours fascinant et contemporain, les projets de Gab Bois méritent qu’on s’y attarde.

Si vous voulez en apprendre davantage, voici une vidéo plus en détail sur cette merveilleuse artiste.

Je vous invite à visiter son Instagram pour voir en détail ce qu’elle fait.

Dites-moi ce que vous pensez de cette artiste montréalaise! Vous pouvez aussi visiter son site internet. 

Allons lui donner du love!

Voir cette publication sur Instagram

lens on lens

Une publication partagée par Gab Bois (@gabbois) le 5 Sept. 2019 à 8 :53 PDT

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Nightlife.ca

Mural s’exporte à Toronto et le Block Party s’annonce incroyable!

Du 30 août au 1er septembre, Toronto accueillera le premier événement de Mural à l’extérieur de l’île et c’est au stackt Market qu’il aura lieu.

Pendant ces 3 jours, différentes activités sont à l’horaire.  Évidemment, plusieurs muralistes transformeront l’espace du stackt Market, soit sur un mur et des containers.

On retrouvera donc les artistes Maser (Irlande), Laurence Vallières (Montréal), Peru (Toronto), Le Bonar (Montréal), Ness Lee (Toronto) et Bacon (Toronto).

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That’s a wrap for LA. Pyjamas top on and ready for bed – I feel completely exhausted, but its a rewarding feeling. It reassures me I gave it everything. Mentally drained because I used this as an opportunity to brain dumb all the things I currently love, sympathise with, admire and frustrate me. Physically exhausted because of the scale, heat and long days of consecutive painting. I’m proud of the final piece and to watch people engage with the art, both in production and on opening night. That engagement is a key element in this arts purpose and success. But most proud of the opportunity, that I’m originally a graffiti writer from Dublin with no formal art training, representing Ireland with a monster piece in LA! (Box ticked ??) Big love to the Contemporary Irish Arts Center @ciac.la , thank you for your patience and hard work to get this shared vision complete. The Mirror Door installation is open to the public for the next month ?? ????????

A post shared by M A S E R (@maserart) on Jul 28, 2019 at 6:25am PDT

Mural, c’est aussi une programmation musicale de feu.

Le 31 août prochain, entre 16h et 23h, les invités auront la chance de danser sur les rythmes du collectif Moonshine, reconnu pour son afro électro festif et décalé.

(Pssst! Vous pourrez le retrouver à Montréal à la fin septembre!)

Les soirées se termineront à l’App.200 de Toronto (oui, oui, il y en a un aussi à Toronto!)

Toute la programmation extérieure est gratuite!

Ça donne envie de s’organiser un p’tit roadtrip à Toronto!

MURAL Block Party @stackt Toronto

Du 30 août 17h au 1 sept. 17h
Au stacktm 28 Bathurst Street, Toronto M5V 0R4

Photo de couverture : Paméla Lajeunesse pour Nightlife.ca

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Ton petit look

Une oeuvre artistique originale à découvrir

Depuis la semaine dernière, une oeuvre engagée a fait son apparition au Green Haüs, l’espace extérieur conçu par l’équipe d’Aire Commune.

Mesurant plus de sept pieds de haut, l’oeuvre interactive intitulée « Le monde ou rien » sensibilise sur les impacts environnementaux de l’industrie de la mode.

La structure en forme de globe terrestre est composée de bois recyclé et de vêtements récupérés. Elle vise à faire réaliser aux gens que l’industrie de la mode est la 2e industrie la plus polluante après celle du pétrole…

L’installation propose un aspect immersif et interactif via une application. Les visiteurs peuvent balayer le globe avec leur téléphone intelligent et obtenir des faits et de l’info sur l’industrie textile dans différents pays.

Les différentes capsules abordent des sujets comme l’industrie du coton en Inde, le textile à base d’ananas au Brésil et les enjeux d’exportation en Afrique de l’Ouest.

C’est le collectif créatif montréalais Once Again, en partenariat avec Moment Factory qui a élaboré le projet artistique. La structure sera installée au Green Haüs jusqu’au 21 septembre.

On trouve l’idée vraiment géniale, car même si on est tous conscients que l’industrie de la mode est loin d’être la plus environnementale, on n’a pas toujours les résultats concrets sous les yeux et « Le monde ou rien » permet de sensibiliser via l’art et la technologie de la meilleure manière possible!

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Art de vivre

Le camp de jour du Musée des beaux-arts : parfait pour les petits artistes!

Cette année est ma première en tant que maman qui doit trouver des camps de jour. Si l’affaire a été compliquée au début avec le choix de dates de mes vacances, les goûts de ma fille, le coût et la disponibilité. Vraiment excitée et un peu naïve de mon budget total pour envoyer Dolores au camp, j’ai décidé de commencer en gros avec deux semaines du Camp de jour du Musée des beaux-arts de Montréal. Outre le fait que c’est un peu cher comme place, voici ce que j’ai aimé et ce qui est ressorti de l’expérience: 

La place est trop belle! 

Mon doux qu’on réalise pas que l’architecture de l’espace où on vit et s’occupe est importante pour se sentir bien avant d’aller dans une place trop belle. Ma fille adorait tellement être dans un espace qui permet la créativité, mais qui est aussi pensé pour se sentir bien. En plus d’avoir le plus grand des espaces sous terre (dans le sous-sol) et c’est donc assez frais, même si l’endroit est aussi au centre-ville. Comme c’est dans un peu le coin « ilot de chaleur », ça fait pas de tort d’avoir ce genre de set up la! 

Les enfants apprennent pleins de choses! 

J’adorais que Dolores me raconte ses journées pour me dire qu’elle avait vu les oeuvres de Mugler et qu’elle avait ensuite eu à faire des vêtements pour une poupée. C’était top de voir comment on peut apprendre plein de choses avec ses mains, avec ses yeux et avec le coeur grâce aux animateurs.trices . Les activités sont adaptées pour le groupe d’âge aussi et il y a une petite exposition à la fin, donc c’est une belle façon de motiver les enfants à s’appliquer et aussi à apprendre en mode soft

Les groupes sont bilingues 

Ma fille était trop contente de côtoyer des personnes qui parlent plusieurs langues. Pour elle, c’était un autre moyen d’apprendre des choses et de casser des barrières de langue qui arrivent un peu naturellement dans nos quartiers et établissements! Elle a pu apprendre à communiquer par dessins ou par gestes, ce qui lui sera précieux pour encore longtemps. Parole de maman qui voyage pas tout le temps dans des pays où on la comprend! 

Les côtés négatifs

J’ai payé les deux semaines de camp avec mes sous alors je dois avouer que c’est pas vraiment le genre de camp qui est accessible pour toutes les bourses. C’est vraiment un peu cher si je compare à des camps dans le genre, mais en même temps, la place, la qualité des projets et le nombre d’enfants par groupe justifient les prix. Aussi, perso, c’était un peu loin pour aller porter et chercher ma fille chaque matin et soir par rapport à la maison et le bureau, mais comme tout l’été, c’est la même semaine qui se répète, le but c’est d’y envoyer son enfant qu’une semaine, donc le sacrifice du 30 minutes dans le trafic peut se gérer facilement pendant ces quelques jours. 

Est-ce que vos enfants aiment leur camp de jour?

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Potins

Fort McMurray : des réactions de tous les milieux

Le vaste incendie qui fait actuellement rage dans la région de Fort McMurray, en Alberta, est d’une ampleur quasi indescriptible.

Depuis plusieurs heures, les réactions déferlent sur les réseaux sociaux. Des gens et personnalités de tous les milieux offrent leur support à la communauté de Fort McMurray, et invitent les gens à effectuer des dons.

« Mes pensées vont aux gens affectés par le feu de Fort McMurray », écrit Justin Trudeau.

« Fort McMurray je suis loin de vous et de l’Alberta ce soir, mais je suis assis ici et je pense à vous. Je ne peux pas croire à ce qui se passe », lance le musicien Johnny Reid.

« J’envoie ma force et mes prières aux courageux premiers répondants et pompiers, et aux braves gens de l’Alberta », ajoute Bif Naked.

« Nos pensées sont avec tout le monde qui subissent l’impact des feux de Fort McMurray, et à tous ceux qui tentent d’évacuer », écrit le duo Tegan and Sara.

Plusieurs équipes de hockey professionnelles se sentent interpelées également, notamment les Oilers d’Edmonton, les Sénateurs d’Ottawa et les Flames de Calgary, qui ont tous publié des messages émotifs sur leurs comptes Twitter respectifs.

Les Sénateurs d’Ottawa envoient une pensée spéciale à la famille de leur vétéran Chris Phillips, alors que les Flames de Calgary (comme plusieurs autres), invitent les partisans à donner à la Croix-Rouge canadienne pour venir en aide aux évacués de Fort McMurray.

On rapporte actuellement que les 80 000 habitants de Fort McMurray doivent être évacués, alors que plusieurs des résidences de la région sont rasées par les flammes ou en voie de l’être.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Musique

Nouveau Radiohead : une oeuvre d’art inachevée

Le nouvel album de Radiohead est probablement l’un des efforts studio les plus attendus cette année, et le directeur artistique embauché par la troupe de Thom Yorke ne tarit pas d’éloges à son égard.

Bien qu’inachevée, il s’agit selon Stanley Donwood d’une véritable « œuvre d’art ».

« Non, il n’est pas encore terminé. J’ai encore pas mal de travail de mon côté encore. C’est une œuvre d’art », explique notamment en peu de mots Donwood à DIY Mag.

Parions que les fans de Radiohead sont prêts à faire preuve de patience si le nouvel album de la formation s’avère à la hauteur des attentes.

Il s’agira d’un neuvième album en carrière pour Radiohead.

Il fera suite à King of Limbs, lancé en février 2011.

Radiohead reprend la route pour quelques concerts en Europe à compter du mois de mai prochain.