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Potins

James Franco parlera d’art à la télévision américaine

Son émission James Franco Presents débutera en novembre sur Ovation TV, chaîne câblée spécialisée dans l’art, annonce l’acteur sur Twitter.

À ses talents de comédien, réalisateur et scénariste, James Franco ajoute celui de présentateur à la télévision. Chaque semaine, Ovation TV lui laissera une heure d’antenne pour évoquer l’art, une passion qu’il a développée pendant ses études au secondaire.

Les téléspectateurs découvriront ainsi ses œuvres d’art, des créations dont il possède des centaines d’heures de vidéos accumulées depuis ses jeunes années. L’acteur parlera également des tendances artistiques, parfois en compagnie d’autres artistes.

James Franco n’est pas l’unique star du grand écran à partager sa passion avec les téléspectateurs. Idris Elba, héros de la série Luther, prépare une série documentaire sur les courses de voitures baptisée King of Speed pour la BBC.

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Expo Kanako : quand l’art s’installe dans les rues de Paris

L’illustratrice japonaise Kanako se moque gentiment des Parisiens dans une série de 48 croquis qu’elle expose jusqu’au 28 août sur les Champs-Élysées, à Saint-Germain-des-Prés et à Barbès.

Demander à déjeuner à la terrasse d’un café en 17 minutes chrono. Râler parce qu’il lui faut attendre deux petites minutes le prochain métro. Voilà les quelques travers des Parisiens croqués, non sans humour, par l’illustratrice nippone Kanako.

L’artiste, qui vit à Paris depuis 2005 et officie sur le site My Little Paris depuis 2008, s’expose gratuitement dans la capitale du 7 au 28 août. Pour la première fois, ce sont mille panneaux du réseau d’affichage municipal qui ont été mis à contribution pour présenter les 48 saynètes de Kanako réalisées au pinceau et à l’encre japonaise.

L’exposition en plein air, bilingue (elle est également traduite en anglais) et gratuite, est visible dans trois quartiers de Paris : aux Champs-Élysées, à Saint-Germain-des-Prés ainsi qu’à Barbès. On peut penser qu’ils n’ont pas été choisis au hasard. En effet, il s’agit de sites assidûment fréquentés par les touristes.

Paname a l’habitude de donner des rendez-vous artistiques à ses citadins au détour des ruelles. En effet, à la place des Abbesses, sur la butte Montmartre, s’élève « Le mur des je t’aime » de Frédéric Baron et Claire Kito. Sur une surface de 40 m2, 311 « je t’aime » déclamés dans 250 langues s’affichent sur 612 carreaux en lave émaillée. Ou encore à deux pas du musée Beaubourg avec la fontaine Stravinsky de Jean Tinguely et Niki de Saint Phalle.

Prochainement, c’est avec l’exposition Lost in Paris que le public sera de nouveau interpellé. En effet, du 10 septembre 2013 au 11 janvier 2014, le styliste Maurizio Galante et le designer Tal Lancman prennent possession du Lieu du design pour présenter des dessins décalés mêlant design et tourisme. Plusieurs de leurs projets s’inscriront dans la réalité et iront à la rencontre des passants à Paris et sa région.

Un photomaton mobile, coréalisé avec La Poste dans le cadre du projet Moment souvenir, déambulera dans les rues. Les touristes pourront conserver des timbres-portrait sur lesquels devraient figurer en arrière-plan les monuments réellement photographiés.

Site : www.lesparisiens.paris.fr.

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Nouvelles quotidiennes

Le musée Würth d’Erstein, écrin d’une passion pour l’art

En pleine zone industrielle, au sud de Strasbourg, se dresse un musée d’art contemporain : l’un des quinze édifiés à travers l’Europe par l’entrepreneur allemand Reinhold Würth, surnommé le « roi de la vis », pour qui art et affaires vont de pair.

Le musée Würth d’Erstein est l’un des trois plus grands musées de son groupe, avec ceux de Schwäbisch Hall (Allemagne) et La Rioja (Espagne). Tous sont construits à proximité immédiate d’une filiale de cette multinationale spécialisée dans les vis, écrous et fixations en tous genres.

Le résultat est pour le moins surprenant : le siège administratif de Würth France et son centre logistique côtoient ainsi un parallélépipède de béton brut et de verre, aux éclairages savamment étudiés pour mettre au mieux en valeur sculptures et toiles des plus grands noms de l’art contemporain.

Entre le flanc gauche du musée et le siège administratif un jardin paysager de cinq hectares et son étang où évoluent des carpes ajoutent une touche de nature à l’ensemble.

Ouvert en 2008, le musée d’Erstein a battu cette année ses records de fréquentation avec 42 000 visiteurs à ce jour pour son exposition L’appel de la Forêt, qui présente pêle-mêle un arbre emballé de Christo et des œuvres graphiques du Britannique David Hockney, de l’expressionniste Max Beckmann et du surréaliste Max Ernst, exclusivement tirées de la collection Würth.

Celle-ci compte aujourd’hui 16 000 œuvres de quelque 2500 artistes, dont une importante concentration d’œuvres d’Anselm Kiefer, Beckmann, Ernst et Christo, qui tournent dans les différents musées du groupe. S’y ajoutent depuis peu des peintures de maîtres anciens, comme la Madonne de Darmstadt, de Hans Holbein le jeune (1526/1528).

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Musique

Concert-bénéfice pour Mégantic : les détails sont dévoilés

On sait maintenant qui fera partie de la programmation du concert du 13 août au Centre Bell. Ce spectacle sera, rappelons-nous, au profit des victimes et des proches des disparus de Mégantic à la suite de la terrible catastrophe ferroviaire.

Le triste événement, qui a touché le cœur des gens de partout dans le monde, est une plaie béante encore bien vive pour le Québec et risque de le demeurer très longtemps.

Deux artistes originaires de la région de Mégantic, Peter MacLeod et Gino Chouinard, ont donc décidé de collaborer et ont mis sur pied ce spectacle qui accueillera plusieurs musiciens et artistes.

Du nombre, on confirme Garou, Louis-José Houde, Isabelle Boulay, Marie-Lise Pilote, Cœur de pirate, Rachid Badouri, P-A Méthot, Jean-Marc Couture, François Morency, ainsi que Jonas & The Massive Attraction.

Les billets pour le spectacle, qui devient l’événement-bénéfice officiel de la tragédie, seront offerts dès aujourd’hui (19 juillet) à midi. Il est possible de s’en procurer au www.evenko.ca, ou encore à la billetterie du Centre Bell.

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À Souillac, l’art qui imite la vie

Le Tout-Paris se pressait jadis devant les grands magasins pour admirer les vitrines animées par des automates, mais aujourd’hui, pour voir la grosse dame tenter d’empêcher un poisson de gober son frêle mari, il faut chercher longtemps.

Le musée de l’automate de Souillac présente au public une collection originale de jouets mécaniques et d’automates datant de la fin du XIXe siècle et de la première moitié du XXe. « Unique en Europe » par sa taille, l’endroit est « représentatif de la grande épopée » de ces objets animés très en vogue à l’heure où le cinéma existait à peine et la télévision encore moins, explique Klaus Lorenz, le conservateur et restaurateur de la collection.

La plupart des centaines d’objets exposés ont été fabriqués à Paris par la famille Roullet-Decamps, dont les ateliers ont fini par fermer leurs portes en 1995, victimes de la concurrence des jouets « made in China ».

Depuis l’Antiquité, « les hommes cherchent à imiter la vie », dit Klaus Lorenz. Mais au XIXe siècle, l’évolution des procédés de fabrication a permis la production en série des automates, qui ont cessé d’être des objets de luxe uniquement destinés à égayer les cours royales et se sont ouverts à un public « plus classe moyenne ».

Outre les jouets, les ateliers se sont mis à produire des automates publicitaires à l’image de la « laveuse » au baquet qui vante le nettoyage du bébé au savon d’une marque aujourd’hui défunte. Des « chorégraphies » entières ont aussi été inventées pour les vitrines de grands magasins parisiens, mais aussi de la Belgique et de l’Angleterre, ajoute le conservateur.

Jazz band et pêche sous-marine

À Paris, ces scènes animées par des automates électriques installés dans les vitrines de Noël drainaient des milliers de personnes. Beaucoup ont disparu, à l’instar du tableau dépeignant en 1909 « l’arrivée de l’amiral Peary au Pôle Nord ».

Mais le public peut encore en admirer certaines à Souillac (d’autres sont exposées au musée des automates de Falaise, dans le Calvados), telle la scène du quai de métro présentant des oies échappées d’un panier de paysannes qui provoquent l’affolement général.

Le jazz band a aussi beaucoup de succès auprès des visiteurs, de même que la « pêche sous-marine », qui vient tout juste de sortir des réserves pour être restaurée. Créée pour les vitrines des Galeries Lafayette en 1948 d’après une œuvre du dessinateur humoristique Albert Dubout, la scène a pour personnages centraux une dame bien en chair qui tente de sauver son minuscule époux de la gueule grande ouverte d’un poisson.

Aujourd’hui, les automates des grands magasins ont quasiment disparu, cédant la place à des marionnettes animées à l’aide de fils.

Si ces scènes animées sont très complexes, la conception des automates, qu’ils soient mécaniques ou électriques, est elle aussi « très élaborée », souligne Klaus Lorenz. Des leviers responsables « d’un seul mouvement » sont actionnés par des roues dentées. « Les créateurs devaient avoir une pensée trois dimensionnelle ».

Le musée a été inauguré en 1988. La maison Roullet-Decamps avait l’habitude d’organiser des expositions temporaires de ses pièces et était venue plusieurs fois à Souillac. De son côté, la commune ne savait que faire du vaste bâtiment laissé en friche par la Seita jouxtant sa très belle abbatiale. L’État a fait le reste en rachetant les pièces, se rappelle Corine Ayat, adjointe à la Culture de cette commune de 4 000 habitants.

L’endroit attire 22 000 visiteurs par an, dont certains viennent de très loin. Mais madame Ayat aimerait faire venir plus de monde dans le petit musée insolite (www.musee-automate.fr). « La région est très attirante pour le tourisme culturel », mais le musée, « ça change des vieilles pierres », dit-elle.

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L’art au service du développement de l’enfant

Sur le site de MedicalXpress, on peut lire les conclusions de la recherche conduite par les spécialistes de l’université d’Oxford et The Open.

Un impact fort significatif a été observé sur le niveau de bonheur et de développement des enfants âgés de 2 à 3 ans. Les activités sociales et artistiques citées étaient la peinture, le magasinage, la lecture, se faire raconter des contes, chanter et le bricolage.

D’une autre part, les activités passives comme regarder la télévision ou des livres d’images n’ont démontré aucune amélioration à ce niveau. En fait, la télévision aurait même un impact significativement négatif sur le bonheur.

En plus de les rendre plus heureux, les enfants pratiquant des activités artistiques voient une amélioration de leurs habiletés sociales, de mouvements et de parole.

Le Dr Laurence Roope, du Centre de recherche en économie de la santé à l’Université d’Oxford, dit : « Bien entendu, les parents ne peuvent pas engager de telles activités chaque heure de chaque jour avec leurs enfants. Mais il est encourageant d’avoir la certitude que le temps passé avec eux à faire de la peinture, à leur lire des histoires et même chanter avec eux aide à leur offrir un bon développement ».

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La 45e édition d’Art Basel ouvre ses portes

Art Basel, reconnue comme la plus grande foire internationale d’art moderne et contemporain, se déroule du 13 au 16 juin à Bâle. Elle accueille des œuvres de milliers d’artistes et les collections de centaines de galeries d’art de tous les continents.

Ce temps fort du calendrier artistique, dont la première édition date de 1970, devrait recevoir cette année plus de 65 000 visiteurs internationaux.

En 2013, l’extension du hall principal est l’œuvre des architectes locaux Herzog & de Meuron.

Toutes les disciplines seront représentées, du dessin à la peinture, en passant par la photographie, la vidéo et les installations, sous forme d’expositions et de projets ciblés. Un espace sera même dédié aux magazines d’art.

La déclinaison américaine de cet événement, Art Basel Miami Beach, se tient chaque année aux alentours de mars, et s’est aussi rapidement imposée sur le plan international.

La foire a par ailleurs inauguré sa première version asiatique de l’événement, à Hong Kong, en mai dernier.

Site officiel : artbasel.com.
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Cinéma

Georges St-Pierre prête sa voix à Monsters University

Walt Disney Films Québec annonce que Georges St-Pierre prêtera sa voix au personnage d’Art dans la version québécoise de Monsters University.

Art est un monstre mystérieux au passé trouble. Il est le monstre le plus étrange de la fraternité Oozma Kappa de l’université des monstres.

Rappelons que les événements de Monsters University se déroulent avant Monsters inc.

D’aussi loin qu’il se souvienne, le studieux Mike Wazowski a toujours rêvé de devenir le plus effrayant des monstres. Lors de son premier trimestre à l’université des monstres, ses plans sont mis à l’épreuve alors qu’il fait la rencontre de James P. Sullivan, alias Sulley, un monstre vaniteux pour qui la frousse n’a pas de secret.

Les deux aspirants monstres se feront mettre hors du programme élite de peur de l’université à cause de leur esprit compétitif incontrôlable. En plus, ils devront apprendre à travailler ensemble, en compagnie d’une bande de monstres mésadaptés, s’ils souhaitent un jour se joindre à l’élite des monstres.

Réalisé par Dan Scanlon, Monsters University prendra l’affiche le 21 juin prochain.

Par ailleurs, St-Pierre s’est aussi vu offrir le rôle du super vilain Batroc the Leaper dans la production Captain America: Winter Soldier, attendue en salles le 4 avril 2014.

Entretemps, les fans de George St-Pierre peuvent lire ses mémoires avec George St-Pierre : Le sens du combat, et le voir au coeur du documentaire L’ADN de GSP, attendu cet automne.

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Musique

The-Dream et Jay-Z proposent High Art

The-Dream est un artiste et producteur qui prend de plus en plus de place dans la colonie artistique musicale américaine, et il proposera d’ici quelques semaines un nouvel album qui devrait attirer bien des regards.

Pour marquer le coup, The-Dream lance High Art, une pièce qui met également en vedette Jay-Z, rapporte Billboard

« High Art est une p**** de chanson énergique pour l’été!! », lance avec grand enthousiasme la nouvelle sensation.

La pièce accroche dès les premiers instants par sa réalisation puissante, son rythme lent et lourd et les effets vocaux réussis.

On sent le talent convaincant de The-Dream sur cette chanson, qui n’est pas sans rappeler certains efforts de Lil Wayne.

S’il s’agit du premier extrait de l’album à paraître IV Play, ce dernier comprendra également des collaborations de Beyoncé, 2 Chainz, Big Sean, Pusha T, Mary J. Blige et Kelly Rowland, rien de moins.

Il pourrait s’agir de l’album qui fera exploser sa carrière aux yeux du public, lui qui entame bientôt une tournée américaine qui durera tout l’été.

Découvrez The-Dream avec High Art (avec Jay-Z).

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Nouvelles quotidiennes

De l’art à voile dans les eaux londoniennes

Il semble que « l’art mobile » soit une idée populaire en ce début d’année, puisque plusieurs reportages parlent de certains concepts qui cherchent à transporter l’art et à le rendre plus accessible. On parlait notamment, il y a à peine quelques jours, de cette initiative de Virginqui lance des expositions aériennes à bord de certains de ces appareils.

C’est cette fois dans l’eau, à Londres, que l’on se transporte pour faire la découverte de l’art à voile.

En effet, edition.cnn.com rapporte cette course professionnelle de voiliers absolument unique et originale, les bateaux arborant tous des œuvres d’art sur leurs majestueuses voiles.

Les spectateurs présents peuvent donc admirer différentes peintures et œuvres, tout en appréciant le bonheur d’une bonne vieille course endiablée.

Pour l’édition 2013, dix voiliers se sont qualifiés pour la course, cette dernière s’étalant sur trois jours d’activités.

Pour les organisateurs, il s’agit d’un concept innovateur qui devrait marquer le début d’un courant. Ils le souhaitent, et promettent de répéter l’expérience.

Le fondateur de Fine Art Sails, Michael Ross, commente avec enthousiasme : « C’est la première fois que quiconque tente réellement ce genre d’expérience, et la réaction a été vraiment incroyable ».

La course se déroule sur la rivière Thames à Londres, en Angleterre.