Dans le Journal de Montréal, on apprend que Patrick Norman attendait son opération avec impatience. S’il était resté chez lui, l’attente aurait pu s’étendre sur 6 mois. Il a choisi de demeurer à l’hôpital, ce qui lui a valu deux semaines au lit.
Néanmoins, il a été confirmé par son gérant que la sortie aurait lieu à la fin de l’été.
Des chercheurs viennent de publier des résultats alarmants dans l’American Journal of Clinical Nutrition.
Selon leurs recherches, il ne suffirait que de 30 minutes pour qu’un repas salé cause des dommages aux artères principales du corps. Le flux sanguin en serait considérablement réduit.
Pour leur étude, ils ont demandé à 16 personnes en bonne santé de manger un repas riche en sel comme on en retrouve couramment, soit avec 4 g de sel. Plus tard, elles ont consommé un repas faible en sodium, avec seulement 0,3 g.
Les résultats montrent clairement que 30 minutes après le repas salé, le flux sanguin est réduit de façon importante.
Cela peut donc être un signe précoce de futures maladies cardiaques, si notre alimentation est trop riche en sel.
La consommation élevée de sel est également associée aux accidents vasculaires cérébraux, à l’insuffisance rénale, à l’ostéoporose et au cancer de l’estomac.
Prenez garde au régime végétalien
Les gras trans seraient fatals?
Les femmes ayant des problèmes cardiaques ont plus de risques de mourir subitement d’un arrêt cardiaque en mangeant des gras trans, rapporte l’American Heart Journal.
On retrouve surtout les gras trans dans les aliments transformés, cuits et frits tels que les frites, les croustilles, etc. Ils font augmenter le mauvais cholestérol et affectent la santé du cœur.
Ces matières grasses sont grandement associées aux maladies cardiaques, car elles provoquent des dépôts de gras dans les artères, ce qui peut entraîner un blocage et éventuellement une crise cardiaque.
Toutefois, une crise cardiaque subite était plutôt associée à un trouble au niveau du rythme des chambres supérieures du cœur, celui-ci n’arrivant donc plus à pomper le sang pour le reste du corps. Or, cette fois, on associe les gras trans à cette anomalie. Par contre, les études sont encore floues et rien n’est grandement prouvé.
De récentes recherches auprès de 87 000 femmes suivies pendant 26 ans ne confirment aucun lien entre les risques de mort subite d’origine cardiaque et les gras trans. Par contre, on a noté un risque accru chez les femmes qui avaient déjà des problèmes cardiaques.
On recommande de ne pas dépasser le 1 % des calories quotidiennes en gras trans, soit environ deux grammes de gras trans par jour.