Selon ce que rapporte PerezHilton.com, Liz Hurley et son époux, Arun Nayar, ne versaient qu’un maigre 2 $/heure à Violet D’Souza, leur bonne originaire de l’Inde. Ce montant est bien en dessous du salaire minimum au Royaume-Uni qui est de 8,17 $/heure.
D’Souza, 31 ans, devait également travailler près de 70 heures par semaine, commençant ses journées à 7 h 30 pour les étirer parfois jusqu’à 3 h le lendemain matin.
La bonne exploitée devait faire entendre sa cause à un tribunal du travail. Elle aurait cependant obtenu une compensation financière, pour éviter un procès à Liz Hurley, dont la fortune est évaluée à 20 millions $.
Selon les documents déposés en Cour, D’Souza accusait ses anciens patrons « de ne pas avoir respecté les clauses du contrat d’embauche, de discrimination raciale et de congédiement abusif ». Elle réclamait également des montants qui ne lui avaient pas été versés.