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L’aspirine pourrait contrer les effets du vieillissement du cerveau

Les vertus de l’aspirine sont déjà bien connues des gens qui souffrent de maladies cardio-vasculaires, ou qui souhaitent simplement prévenir des problèmes cardiaques, comme un AVC.

Mais voilà qu’une nouvelle étude suédoise propose l’idée que l’aspirine pourrait également être bénéfique pour soutenir le cerveau lors du vieillissement, contrant ainsi certains effets dommageables.

C’est en tout cas ce que rapporte le site nim.nih.gov, qui parle de ces bienfaits lors d’une prise quotidienne, toujours selon l’étude. Cette dernière a par ailleurs été effectuée sur 700 femmes de 70 à 92 ans, dont la plupart étaient déjà traitées pour des problèmes cardiaques divers.

Celles qui ont absorbé de petites doses d’aspirine de façon quotidienne auraient démontré un déclin mental moins important que celles qui n’en prenaient pas, sur une période totale de cinq ans.

Des tests de mémoire, de capacité verbale, et autres défis ont été utilisés pour en venir à ces conclusions. Les résultats sont clairs : les femmes utilisant l’aspirine ont démontré moins de perte de capacité cérébrale, certaines voyant même leurs scores (aux tests) augmenter!

Le Dr. Richard Isaacson, auteur en chef de l’étude, déclare : « Ce qui est bon pour le cœur est souvent bon pour le cerveau. »

Crédit photo : www.FreeDigitalPhotos.net

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Aspirine : une alliée de choix pour les hommes avec le cancer de la prostate

Après une chirurgie et de la radiothérapie, la prise d’aspirine augmente le taux de survie des patients avec un cancer de la prostate. C’est ce que révèle une étude publiée dans le Journal of Clinical Oncology.
 
Déjà, l’aspirine était liée à un meilleur taux de survie du cancer du côlon. Pour certains scientifiques, la prise d’aspirine devrait être insérée dans les mesures de prévention du cancer puisque jusqu’à présent, on y trouve des bénéfices non négligeables.
 
6000 hommes avec un cancer de la prostate ont été suivis pour la présente recherche. Après dix ans, le taux de mortalité était beaucoup moins élevé chez ceux ayant pris l’aspirine, soit 3 % contre 8 % dans le groupe n’ayant pas eu l’aspirine.
 
Ce médicament aurait la faculté de prévenir la croissance tumorale. De fait, il réduit considérablement les risques de récidives et de métastases osseuses.
 
Plus d’études doivent maintenant être faites afin de trouver l’usage optimal qui devrait être recommandé éventuellement.
 
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Les analgésiques réduisent les risques de cancer de la peau

Selon la revue Cancer, des chercheurs ont découvert que l’aspirine et d’autres formes d’analgésiques pouvaient réduire jusqu’à 15 % les risques de cancer de la peau.

L’aspirine était déjà reconnue pour réduire les risques de développer certains cancers, mais cette fois, les chercheurs se sont concentrés sur les effets de ce type de médicaments sur trois cancers de la peau : le carcinome basocellulaire, le carcinome épidermoïde et le mélanome malin.

On a analysé les dossiers médicaux de 1974 cas de carcinomes épidermoïdes, de 13 316 carcinomes basocellulaires et de 3242 cas de mélanomes malins. On a aussi comparé les données avec celles de 178 655 personnes qui n’avaient pas eu de cancer.

Les patients ayant reçu deux prescriptions d’analgésiques ont vu les risques de carcinome épidermoïde être réduits de 15 %, et les risques de mélanomes malins chuter de 13 %. Pour le carcinome basocellualire, on ne note pas vraiment d’effet préventif.

Ces découvertes ouvrent la voie à de nouvelles recherches dans la lutte contre le cancer de la peau.

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L’aspirine efficace contre les récidives de thromboembolie veineuse

Une étude italienne effectuée auprès de 205 patients avec une maladie thromboembolique veineuse démontre l’efficacité de l’aspirine pour réduire les risques de récidive, rapporte le New England Journal of Medicine.
 
Habituellement, après une thromboembolie veineuse, les patients sont traités durant six à douze mois avec des anticoagulants oraux. Ensuite, il y a des risques élevés de récidive de la maladie. En fait, 20 % des patients feront une récidive.
 
En prolongeant les anticoagulants, cela réduirait les risques, mais ces médicaments sont liés à des saignements et des risques d’hémorragie.
 
Avec 100 mg d’aspirine par jour, on parvient à réduire de 40 % les risques de récidive, sans provoquer de saignements ou d’effets secondaires risqués.
 
On songe donc à donner de l’aspirine aux patients après le retrait des anticoagulants afin de réduire les possibilités de récidive qui pourraient s’avérer particulièrement dangereuses.
 
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L’aspirine et la warfarine ont des effets similaires contre l’insuffisance cardiaque

Selon le New England Journal of Medicine, les personnes qui souffrent d’insuffisance cardiaque sans arythmie ni risque élevé de caillot sanguin peuvent avoir autant d’avantages en utilisant l’aspirine que la warfarine, mais le choix doit être fait par le médecin au cas par cas.
 
Une équipe de l’Université Columbia a comparé l’efficacité et la sécurité des deux médicaments auprès de 2305 patients avant une insuffisance cardiaque, mais avec un rythme cardiaque normal.
 
On ne note pas de différence entre les deux médicaments, excepté dans les cas d’accident ischémique cérébral où la warfarine est plus efficace pour prévenir les accidents vasculaires cérébraux, mais cause aussi plus de saignements majeurs.
 
Soulignons que l’insuffisance cardiaque survient lorsque le cœur ne parvient plus à pomper assez de sang. Il en résulte alors de la fatigue, de l’essoufflement et de la rétention d’eau.
 
Parfois, on prescrit des anticoagulants comme l’aspirine ou la warfarine aux personnes ayant un risque de caillot sanguin, afin d’éviter qu’un caillot ne bloque les vaisseaux sanguins.
 
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L’aspirine active des enzymes

Les études sur les effets de l’aspirine se poursuivent, et encore une fois, on y voit une nouvelle utilité.
 
En fait, des chercheurs ont découvert que l’aspirine pouvait activer des enzymes qui ont un effet sur le métabolisme des cellules, les réserves d’énergie et la croissance cellulaire.
 
La revue Science rapporte que les travaux de l’Université McMaster, en Ontario, confirment des résultats voulant que l’aspirine soit bien plus qu’un médicament analgésique.
 
Nous savions déjà qu’elle avait des effets contre le cancer, et la découverte de ce mécanisme pourrait expliquer, en partie, pourquoi.
 
À faible dose, on mentionnait que l’aspirine pouvait réduire de 25 % les risques de cancer chez la femme et de 23 % chez l’homme.
 
Par contre, il faut demeurer prudent, car il y a des effets secondaires graves avec l’usage de l’aspirine, notamment des saignements à l’estomac. Il vaut mieux consulter son médecin avant de prendre ce médicament.
 
Des recherches plus approfondies seront faites sur cette nouvelle découverte.
 
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L’aspirine devrait être reconnue dans la prévention du cancer

L’American Cancer Society recommande de reconnaître officiellement l’apport bénéfique de l’aspirine dans la prévention du cancer, tous types confondus.
 
Selon une étude parue dans le Nature Reviews Clinical Oncology, d’autres preuves ont été apportées concernant l’effet bénéfique de l’aspirine contre le cancer.
 
Jusqu’à présent, elle était reconnue pour protéger des maladies cardiovasculaires, toutefois, les risques d’hémorragie jouaient contre ce médicament courant.
 
Pourtant, les nouvelles données confirment que la prise quotidienne d’aspirine, même à petites doses, pouvait réduire l’incidence de tous les cancers.
 
Une baisse de 10 % de la prévalence de cancer dans les dix premières années de traitement pourrait faire pencher la balance quant à l’usage de ce médicament dans la prévention de la maladie.
 
« Les données accumulées à partir des essais cliniques aléatoires apportent une excellente occasion de réexaminer le rôle potentiel de l’aspirine dans la prévention du cancer. Elles devraient permettre une réévaluation de son usage, par la FDA et l’Agence européenne du médicament, pour la prévention des cancers, au moins sur certains groupes cibles de la population », expliquent les auteurs des travaux.
 
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L’aspirine contre le cancer?

The Lancet publie deux nouvelles études concernant l’efficacité de l’aspirine pour prévenir le cancer et réduire sa progression.
 
La première étude mentionne qu’une dose d’aspirine quotidienne avait réduit de 25 % les risques de développer un cancer après trois ans. De même, les risques de décès pour les personnes déjà atteintes avaient chuté de 15 %.
 
Après cinq ans, les risques de mortalité des suites du cancer étaient réduits de 37 % avec une prise quotidienne d’aspirine.
 
La seconde étude, toujours publiée dans The Lancet,affirme que prendre de l’aspirine tous les jours pendant 6 ans et demi réduirait de 50 % les risques de propagation du cancer, en freinant la croissance des cellules cancéreuses.
 
Toutefois, les recherches doivent être encore approfondies avant de suggérer ce moyen thérapeutique contre la maladie, d’autant plus que l’on insiste pour dire que la prise quotidienne d’aspirine n’est pas indiquée pour tout le monde.
 
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L’aspirine dommageable pour les personnes en santé

L’effet bénéfique d’une faible dose quotidienne d’aspirine pour les personnes ayant eu une attaque ou un accident vasculaire cérébral n’est aucunement contesté.
 
Toutefois, prendre de faibles doses comme moyen de prévention serait plutôt dommageable pour les personnes en santé.
 
Selon les Archives of Internal Medicine, les risques pour la santé dépassent les bénéfices supposés pour la prévention des accidents cardiaques.
 
Les chercheurs ont analysé les données des dossiers de 100 000 personnes. En effet, les risques de maladies cardiovasculaires sont réduits de 10 %, mais on ne note aucune baisse importante du nombre de décès.
 
Pour une personne en santé, sans antécédent, la prise quotidienne d’une faible dose d’aspirine augmente de 30 % les risques de saignements internes. À long terme, on parle de saignements de type ulcère et de saignements oculaires également.
 
« Les bénéfices pour des personnes qui n’ont pas ces problèmes sont beaucoup plus modestes qu’on le croyait, et un traitement à l’aspirine peut entraîner potentiellement des dégâts majeurs consécutifs à des saignements », précise le Dr Rao Sehasal.
 
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Nouvelle vertu de l’aspirine

Des chercheurs de l’Université Thomas Jefferson et du UC Davis Medical Center publient les résultats de leurs travaux dans le journal Annals of Surgery.

Selon leurs recherches, la prise d’aspirine dans les cinq jours précédents une opération cardiaque diminue significativement les risques de complications majeures postopératoires.

Selon les auteurs, l’étude est importante, puisque malgré les progrès remarquables en chirurgie cardiaque, le nombre de complications majeures survenant après une intervention demeure élevé.

Cette récente étude s’est penchée sur le cas de 4256 patients de 2001 à 2009. Parmi les patients qui ont pris de l’aspirine avant leur opération, le taux de mortalité à la suite d’une complication a significativement diminué dans les 30 jours suivants l’opération. Les séjours aux soins intensifs ont aussi été moins longs.