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L’Aspirine durant une grossesse peut prévenir une prééclampsie

Une prééclampsie durant une grossesse augmente la pression artérielle de la future maman, mettant ainsi en danger la vie de la mère et celle de son enfant. Elle peut aussi causer des naissances prématurées, un bébé mort-né ou un bébé plus petit que la moyenne.
 
Le Daily Mail rapporte toutefois qu’il existerait un moyen simple de diminuer les risques de prééclampsie. Il suffirait de prendre une faible dose quotidienne (75 mg) d’Aspirine, et ce, dès la douzième semaine de grossesse.
 
Par contre, les femmes enceintes devraient toujours consulter leur médecin au préalable et ne pas opter pour l’automédication, car elles s’exposeraient à des risques importants.
 
Une femme sur vingt en moyenne développe une prééclampsie, surtout lors d’une première grossesse. On estime que cela cause 20 décès de mères par année et 600 mortalités de bébés également.
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L’aspirine n’est pas vraiment efficace pour maintenir une santé cardiaque

Une nouvelle étude effectuée en Colombie-Britannique et rapportée par le B.C. Medical Journal remet en question une vieille croyance.

Depuis des années, les médecins recommandent à leurs patients âgés ou d’âge moyen de prendre de l’aspirine tous les jours à titre préventif, pour tenir la crise cardiaque à distance, surtout pour ceux qui sont diabétiques.

La nouvelle étude dévoile que les avantages sont réellement minimes, et s’annulent presque avec une augmentation des risques d’ulcères et saignements gastro-intestinaux que peut provoquer le médicament.

En fait, le risque d’une première crise cardiaque, d’un accident vasculaire cérébral ou d’un décès des suites d’une maladie vasculaire est réduit de 0,06 % par année avec de l’aspirine. Par contre, pour ceux qui ont des antécédents de crise cardiaque, les risques d’en avoir une nouvelle sont diminués de 20 %.

De plus, les hommes tirent plus de bénéfices de l’aspirine, et l’on ignore pourquoi.

Pour conserver une bonne santé cardiaque, il serait plutôt préférable de diminuer sa tension artérielle, de ne pas fumer, de bien manger et de faire de l’exercice.

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L’aspirine réduit les risques de décès reliés au cancer du sein

Les femmes qui prennent régulièrement de l’aspirine auraient 50 % moins de risques de mourir du cancer du sein et 50 % moins de chances de voir la maladie se propager.
 
Selon le Daily Mail Online, une étude faite sur plus de 4 000 infirmières ayant pris de l’aspirine démontrerait clairement ces résultats augmentant les chances de survie des femmes ayant été traitées pour un cancer du sein à un stade précoce.
 
On mentionne que la prise d’aspirine de deux à cinq jours par semaine aurait ces effets. Par contre, on souhaite plutôt approfondir les recherches avant d’en tirer des conclusions définitives. Si le tout se confirme, cela pourrait devenir une alternative simple, peu coûteuse et relativement sûre pour aider les femmes.
 
Toutefois, on rappelle que la prise régulière d’aspirine devrait toujours être supervisée par un médecin. Certaines personnes en prennent sous la recommandation de leur spécialiste de la santé pour prévenir les maladies cardiovasculaires.
 
Il est à noter que l’aspirine ne doit pas être prise durant des traitements de radiothérapie et de chimiothérapie en raison des effets secondaires encourus.
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L’aspirine pourrait être nocive pour les personnes en bonne santé

Une étude britannique démontre que les gens en bonne santé qui prennent de l’aspirine tous les jours à titre préventif sont plus susceptibles d’avoir une hémorragie interne.

De plus, l’aspirine serait à peine aussi efficace qu’un placebo pour prévenir les troubles cardiaques.

Les chercheurs ont suivi 3 350 personnes âgées de 50 à 75 ans pendant huit ans. Ces personnes avaient une pression artérielle systolique élevée. La moitié des sujets a reçu 100 mg par jour d’aspirine et l’autre moitié, un placebo.

2 % des personnes du premier groupe ont dû être hospitalisées pour une hémorragie, contre seulement 1,2 % dans l’autre groupe.

Il semble que les preuves sont encore insuffisantes en ce qui concerne l’efficacité de l’aspirine à titre préventif. Toutefois, l’étude ne remet pas en cause son efficacité à prévenir les complications cardiovasculaires chez les personnes qui sont déjà malades.

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De l’aspirine contre le cancer colorectal

Une recherche, dont les résultats complets sont publiés dans le Journal of the American Medical Association, prétend que les vertus de l’aspirine sont nombreuses en matière de cancer colorectal.

Non seulement sa consommation fait chuter le risque de souffrir de la maladie, mais les cancéreux ont aussi 29 % moins de risques d’en décéder lorsqu’ils prennent de l’aspirine.
 
Au cours des travaux menés par le Dr Andrew Chan, professeur adjoint à la Faculté de médecine de l’Université Harvard, on a observé que 88 % des patients consommant de l’aspirine avaient survécu cinq ans après le premier diagnostic de cancer, tandis que le taux de survie s’établissait à 83 % chez les malades à qui l’on avait donné un placebo.
 
Ce phénomène est attribué à l’effet inhibiteur de l’aspirine sur l’enzyme cyclo-oxygénase, qui contribue à l’inflammation et à la prolifération des cellules humaines.
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Des analgésiques contre le cancer de la prostate

Selon la Dre Jennifer St. Sauver, qui oeuvre pour la Clinique Mayo au Minnesota, des analgésiques comme l’aspirine et l’ibuprofène protègent les hommes contre un éventuel cancer de la prostate.

Malgré ces résultats, la chercheuse met en garde les hommes de ne pas consommer ce type de médicaments au-delà des recommandations, en raison des effets secondaires, notamment sur le système digestif.

« Nos résultats démontrent que si les hommes prennent ce type de médicaments, cela peut prévenir contre des maladies urologiques », a fait savoir la Dre St. Sauver qui précise que ces antidouleurs diminuent de 50 % le risque d’hypertrophie bénigne de la prostate.

De plus, ce type de médicaments représente un résultat inférieur de 10 % au test PSA utilisé pour détecter le cancer de la prostate.

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Aspirine et hémorragies cérébrales

Une étude publiée dans le site Web d’Archives of Neurology nous apprend que l’aspirine pourrait être à l’origine de micro-hémorragies cérébrales.

Des examens d’imagerie par résonance magnétique cérébrale, menés sur 1 062 sujets, ont permis de conclure que l’incidence d’hémorragies cérébrales augmente de 70 % lorsque les participants consommaient de l’aspirine régulièrement, comparativement à ceux qui prenaient des médicaments anticoagulants.

Soulignons que la consommation d’aspirine est souvent recommandée par les médecins afin de réduire le risque de crise cardiaque et d’accident vasculaire cérébral. L’aspirine réduit la formation de caillots en agissant sur les plaquettes qui forment les caillots.

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L’acupuncture, plus efficace que l’aspirine

Une recherche, menée auprès de 4 000 participants par une équipe de chercheurs de l’Université Duke aux États-Unis, nous apprend que l’acupuncture est plus efficace que l’aspirine pour réduire la sévérité et la fréquence des migraines chroniques.

62 % des sujets ayant été traités par cette méthode traditionnelle chinoise ont mentionné aux scientifiques une amélioration de leur condition, comparativement à 45 % des participants qui ont avoué être soulagés en prenant de l’aspirine.

« L’acupuncture devient une option intéressante pour plusieurs problèmes de santé, que ce soit pour mousser la fertilité ou réduire la douleur postopératoire. Les patients ressentent moins d’effets secondaires et c’est relativement moins coûteux », a souligné l’auteur de cette étude, le Dr Tong Joo Gan.

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L’aspirine ne protège pas contre un AVC

Contrairement à la croyance populaire, l’aspirine ne réduit pas l’incidence de crise cardiaque et d’accident cardiovasculaire (AVC) chez les diabétiques.

Pour l’auteure principale de cette recherche, la Dre Jill Belch, de l’Université de Dundde en Écosse, l’aspirine n’est efficace que lorsque le patient a déjà fait un AVC ou un infarctus.

La Dre Belch a observé 1 276 adultes ayant souffert de ces deux conditions pour arriver à cette conclusion. Selon elle, l’aspirine consommée quotidiennement ne réduit pas davantage l’incidence d’AVC et de crise cardiaque que les placebos pris par les sujets.

Cette découverte va donc à l’encontre des recommandations de l’American Heart Association et du gouvernement américain, qui prônent l’aspirine pour les personnes à risque de maladies cardiovasculaires.

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L’ibuprofène et l’aspirine, des anticancers?

Une étude récemment publiée dans le Journal of the National Cancer Institute démontre que l’aspirine et l’ibuprofène ont des propriétés anticancer du sein.

Le Dr Bahi Takkouche et son équipe de l’Université Santiago de Compostela, en Espagne, ont analysé 38 autres recherches indépendantes sur le sujet, portant sur les données médicales de 2,7 millions de femmes.

Ils en ont conclu que l’aspirine faisait chuter de 13 % l’incidence du cancer du sein. Quant à l’ibuprofène, le risque baisse de 21 %.

Malgré ces données encourageantes, le Dr Takkouche n’encourage pas les femmes à consommer de manière irresponsable ces deux analgésiques. « Je ne recommande pas aux femmes de prendre ces médicaments afin de prévenir le cancer du sein à cause de leurs effets secondaires. »

Parmi ceux-ci, on note une augmentation des maladies cardiaques et les saignements digestifs.