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Kiehl’s relooke le flacon de son soin iconique en soutien à l’association d’Alicia Keys

La marque de cosmétiques lancera, en janvier prochain, une édition limitée de son soin régénérant Midnight Recovery Concentrate. Les bénéfices de la vente seront reversés à l’association de la chanteuse Alicia Keys, Keep a Child Alive.

Cofondée par Alicia Keys et Leigh Blake, Keep a Child Alive oeuvre pour permettre aux enfants et aux familles touchés par le VIH/sida d’accéder à des soins et à des traitements.

La marque américaine Kiehl’s se mobilise pour l’association, en lançant une version inédite de son soin emblématique. Le flacon de cet élixir botanique, formulé à partir de 99,8 % d’ingrédients d’origine naturelle, est transformé pour l’occasion aux couleurs de Keep a Child Alive.

La bouteille reprend le logo et la signature de l’association, avec la mention Join our movement!. Elle sera mise en vente à compter du 15 janvier prochain.

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Apple et son iOS 7 donnent-ils la nausée?

Étonnant phénomène que celui rapporté par Top Santé, alors que la célèbre compagnie Apple reçoit plusieurs plaintes hors du commun en lien avec son nouveau système d’exploitation iOS 7, destiné au iPhone.

C’est que plusieurs utilisateurs du iPhone et du système iOS 7 seraient plus sensibles aux animations abondantes et seraient victimes de nausées et d’étourdissements. On pointe notamment di doigt les zooms fréquents, la résolution, l’éclairage et les animations, des facteurs qui s’avèrent pourtant des points positifs qui contribuent au succès du produit.

Sauf que pour les gens plus sensibles et vulnérables, dont ceux victimes du syndrome vestibulaire, l’utilisation du système peut s’avérer dommageable et difficile.

La Vestibular Disorders Association (VEDA) y va donc d’une recommandation importante pour aider les personnes aux prises avec ce genre de problèmes. La VEDA fait remarquer qu’il existe un moyen de changer les options du iPhone et de son système, et d’ainsi réduire le mouvement observable sur l’appareil.

Les gens qui souhaitent le faire peuvent se rendre dans le menu du iPhone, puis dans « Réglages », « Général », puis « Accessibilité » et « Désactiver les animations ».

La VEDA souhaite maintenant voir les compagnies de technologies comme Apple créer de nouvelles options qui permettraient aux clients de choisir une interface plus statique, et ainsi venir en aide aux patients souffrant de problèmes comme le syndrome vestibulaire ou encore l’épilepsie.

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On envisage un classement des résidences pour personnes âgées

Les histoires d’abus, de problèmes de salubrité et bien d’autres dans les résidences pour personnes âgées sont de plus en plus communes et il faut réagir, s’accorde pour dire une majorité de citoyens.

Le Devoir rapporte que des pistes de solution sont envisagées, notamment par le Regroupement québécois des résidences pour aînés (RQRA) et la Corporation de l’industrie touristique du Québec (CITQ).

Ces associations aimeraient bien voir l’implantation d’un système de classification des établissements qui accueillent les aînés au Québec.

Ainsi, à l’image des complexes hôteliers, chaque établissement recevrait une note, un nombre d’étoiles, ce qui permettrait aux consommateurs et à la population de connaître la qualité et la progression de ces différents endroits.

Outre la qualité du service, les gens seraient ainsi informés des commodités et activités offertes, de la qualité des repas et d’autres caractéristiques.

Au final, on souhaite voir les établissements prendre leur vocation plus au sérieux, et un système compétitif comme celui-ci pourrait pousser plusieurs centres à améliorer les services offerts.

L’idée est pour l’instant bien reçue par le public en général, mais il faudra préciser le concept avant de l’implanter officiellement.

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Réduction du sel dans votre alimentation : le défi est lancé!

L’American Heart Association/American Stroke Association lance un défi aux Nord-Américains qui aimeraient tenter de réduire leur consommation de sel quotidienne.

On en parlait récemment, les études alarmistes concernant les quantités astronomiques de sel dans notre alimentation déferlent et nous lancent des signaux inquiétants.

Au lieu de poursuivre dans la même veine et de s’en tenir aux études et sermons, l’association américaine décide d’emprunter la voie de la proactivité, rapporte www.nlm.nih.gov.

Ainsi, elle lance le défi Sodium Swap Challenge, qui invite depuis hier (7 janvier) les Nord-Américains à traquer les aliments qui contiennent le plus de sel, ce que l’association appelle The Salty Six (Les Six Salés).

Ce dangereux sextuor comprend notamment les charcuteries, les pains, les pizzas, les frites et les aliments fabriqués en usine.

Le défi est simple : réduire à 1500 milligrammes maximum votre consommation de sel par jour. L’événement dure trois semaines, et il est possible d’échanger sur le Web vos impressions et anecdotes avec les autres participants au défi.

Le sel est défini comme l’un des principaux ennemis de la santé en Amérique, et les autorités en la matière urgent les citoyens à prendre des actions au quotidien.

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Une association plaide pour des tests de dépistage du VIH systématiques

Un influent panel américain, qui regroupe plusieurs professionnels de la santé, fait l’apologie des tests de dépistage du VIH systématiques et aimerait voir ce système être intégré aux façons de faire en santé.

D’abord, l’association croit que de faire du dépistage systématique chez les gens âgés de 15 à 65 ans permettrait d’éliminer la notion de « gêne » que les gens peuvent ressentir lorsqu’ils demandent à passer des tests de dépistage pour cette terrible maladie (virus).

En intégrant ces tests dans les examens de routine chez le médecin, plus besoin d’être embarrassé, puisque ce serait la norme.

De plus, il s’agit de contrer la prolifération du VIH par des gens qui ignorent qu’ils en sont atteints. On recense 1,2 million de personnes atteintes du VIH aux États-Unis, dont 20 à 25 % ne seraient pas au courant. Voilà en effet une statistique alarmante.

La requête est maintenant appuyée par le gouvernement. Le Dr Douglas Owens, de l’Université Stanford, précise : « La première recommandation concernait les adultes à haut risque et les adolescents, mais cette fois on aimerait cibler carrément tout le monde. ».

Des tests pourraient aussi être implantés systématiquement pour les femmes enceintes.

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Parlez normalement à votre bébé

Il semble que les nourrissons peuvent apprendre des mots et assimiler un vocabulaire bien avant de pouvoir pointer ou marcher, soit dès l’âge de six mois. Cela s’expliquerait par leur exposition fréquente aux conversations des membres de leur famille et la manière dont ils parlent.

Les psychologues Elika Bergelson et Daniel Swingley, dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences, expliquent que leurs tests ont révélé que lorsque des mots ou une courte phrase étaient répétés soigneusement, les yeux de l’enfant se dirigeaient vers l’objet en question sur un écran d’ordinateur, et ce, même si plusieurs et diverses images se retrouvaient à l’écran. Ce comportement indiquerait que le petit a compris à quelle image pouvait être associé un mot.

À 14 mois, les performances étaient encore plus spectaculaires, ce qui laisse penser qu’une meilleure catégorisation du signal de la parole ou une meilleure compréhension de la syntaxe, dès les premiers mois de vie, influencerait et favoriserait une meilleure compréhension à court terme.

Outre les mots à caractère « émotionnel » comme papa et maman, cette étude est la première à démontrer la compréhension hâtive de mots de type « générique » se référant à des catégories.

Les chercheurs encouragent donc les parents à parler normalement à leurs bébés. « Vos petits ne vous répondront pas, cependant, ils vont comprendre certains mots et ces connaissances les suivront toute leur vie », affirment les spécialistes.

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Dès l’âge de 4 mois, le bébé distingue le concept abstrait du langage

Une toute nouvelle étude révolutionne la compréhension du moteur qui déclenche l’apprentissage de la parole chez l’enfant. C’est à l’École internationale d’études supérieures de Trieste, en Italie, en collaboration avec l’Université catholique du Chili, que les chercheurs ont procédé à la recherche.

Les responsables, Marcela Pena, Jacques Mehler et Marina Nespor, ont travaillé ensemble à l’étude de 28 nourrissons âgés de 4 mois. Pour la première fois dans l’histoire, ils sont à même de démontrer que le son des mots n’est pas le seul facteur auditif retenu pour l’apprentissage du langage. La dimension abstraite doit être tenue en compte.

Alors que les adultes qui apprennent une nouvelle langue associent les voyelles I et E à de plus petits objets et les voyelles A et O à de plus grands éléments, dans presque 100 % des cas, les jeunes candidats de 4 mois effectuaient la même association. Ils fixaient leur regard sur les petites formes en entendant les voyelles associées et faisaient le même exercice en observant la grande forme au son du A et du O.

Selon Medical News Today, les résultats de cette recherche seront publiés dans la prochaine édition du journal Psychological Science. Marcela Pena est emballée de l’issue de l’étude. « Nous ne savons pas si nous naissons simplement ainsi ou si nous développons cette association, mais elle se présente très tôt dans l’évolution de l’enfant ».

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Nouvelle approche quant au langage

On croit généralement que le langage se développe par la répétition de mots. Or, une recherche de l’Université de la Pennsylvanie suggère plutôt qu’un nouveau mot est compris lors d’un moment de réflexion.

En fait, selon ces nouvelles théories présentées dans Proceedings of the National Academy of Sciences, les mots ne seraient pas appris à la suite d’associations de référents, car cette répétition ne serait tout simplement pas possible pour la mémoire humaine.
 
À la suite de plusieurs expérimentations avec des enfants d’âge préscolaire, lors desquelles on leur montrait des mots étiquettes, on a pu remarquer que la mémoire et la répétition ne jouaient pas un rôle prédominant dans l’apprentissage de nouveaux mots.

Il semble au contraire que la connaissance d’un nouveau mot survient lors d’un moment de réflexion. Finalement, définir un mot, même s’il est fréquemment employé, demeure difficile s’il est sorti de son contexte.

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Les personnes qui souffrent de démence ne peuvent reconnaitre les saveurs

La revue Cortex publie une étude de l’Université de Washington, aux États-Unis, et de la City University de Londres, en Grande-Bretagne, qui affirme que les personnes démentes ne peuvent plus identifier correctement les saveurs.
 
Les chercheurs ont analysé le goût de personnes ayant la maladie de Pick, une maladie neurologique qui résulte d’une démence sémantique. Tous les participants étaient en bonne santé, mais avaient une démence sémantique.
 
On leur a demandé de goûter une panoplie de bonbons en leur demandant d’identifier les saveurs en plus de juger de la validité de certaines associations de goût.
 
Bien que tous les participants aient pu dire s’ils aimaient les saveurs, aucun n’a pu les reconnaître et aucun n’a pu dire si les associations étaient appropriées ou non, par exemple la vanille et le cornichon.
 
Cette découverte montre clairement que le cerveau joue un rôle important dans les préférences alimentaires. De plus, on comprend un peu mieux comment fonctionne le mécanisme du goût, qui est également relié aux fonctions du cerveau.