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Emirates Airline assure ses passagers contre la COVID

La compagnie aérienne prend les grands moyens pour convaincre les voyageurs à réserver un vol en ces temps de pandémie.

Pour de nombreux touristes, voyager à l’étranger n’est simplement pas une option puisque la plupart des compagnies d’assurance refusent de les indemniser s’ils contractent le virus en voyage. Un séjour à l’hôpital de quelques jours ou semaines pourrait entrainer des conséquences financières désastreuses.

Le transporteur basé à Dubaï, Emirates Airlines, annonce qu’il offre à tous ses passagers une assurance qui les protège en cas de quarantaines, traitements médicaux, ou décès.

Les montants de la couverture d’assurance varient. Pour une quarantaine, l’assurance paiera 157 $ par jour d’inactivité. Les frais d’hospitalisation seront remboursés jusqu’à 235 000 $. En cas de décès à la suite de la maladie, Emirates Airline paiera 2350 $ pour les funérailles.

Emirates Airline souligne que son assurance COVID est valide pour une période de 31 jours à partir du début du voyage. Cette offre est valide, pour le moment, jusqu’à la fin octobre.

L’industrie aérienne est l’une des plus touchées depuis le début de la pandémie. Le 10 juillet dernier, Emirates Airline annonçait la suppression de 9000 emplois.

Photo : Emirates Airline

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La fidélité coûte cher pour les consommateurs

Une étude britannique révèle que la fidélité à un prix. L’étude provient peut-être d’outre-mer, il y a fort à parier que les habitudes de consommation des Anglais ne diffèrent guère de celles des Canadiens.

Selon le National Audit Office (NAO) d’Angleterre, les consommateurs qui ne magasinent pas chaque année les prix pour des services qu’ils utilisent couramment laissent des centaines de dollars dans les mains des compagnies auxquelles ils sont fidèles. 

L’organisme va même jusqu’à qualifier de « pénalité à la fidélité » les contrats qui sont automatiquement renouvelés chaque année. Pour un ménage moyen, le coût de cette inertie s’élève à 877 livres sterling par année, soit plus de 1500 $ canadiens.

Les secteurs d’activités où les clients auraient intérêt à revoir chaque année leur entente avec leurs fournisseurs que sont la téléphonie cellulaire, l’accès Internet, les assurances, les hypothèques ou les services bancaires.

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Le NAO affirme que 4 consommateurs sur 5 paient « un prix significativement trop élevé » pour ces services. La proportion est encore plus élevée si les clients ont des problèmes de santé mentale.

Photo : Facebook

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Wilfred Le Bouthillier en colère

C’est une histoire bien étonnante que rapporte le vainqueur de la première édition de la Star Académie au Québec, Wilfred Le Bouthillier.

Comme un citoyen lambda, le chanteur rapporte sur sa page Facebook qu’il a voulu souscrire à une assurance dans une compagnie appelée L’Unique Assurances Générales. Problème : il est célèbre et la compagnie refuse d’être affiliée avec des célébrités locales par peur de représailles publiques en cas de pépin. 

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« Je n’en reviens tout simplement pas, mon courtier d’assurance vient de me téléphoner pour m’apprendre que je viens de me faire refuser par une compagnie d’assurance L’Unique Assurances Générales ils ont donné comme seule raison que je suis une personnalité connue et si jamais j’ai un démêlé avec eux je pourrais me servir de mes réseaux sociaux pour leurs faire du tord. Ce n’est pas un brin discriminatoire ? », explique le chanteur.

Et à juste titre, l’explication ne tient pas la route, ce que s’est empressé d’expliquer Wilfred Le Bouthillier sur Facebook. Tel est pris qui croyait prendre, la compagnie d’assurance, affichée sur les réseaux sociaux, a dû présenter des excuses au chanteur. 

« Monsieur le vice-président de la compagnie d’assurance m’a contacté par téléphone pour me présenter des excuses sincères. J’accepte les excuses et je tourne la page », écrit Le Bouthillier en guise de conclusion. 

Une nouvelle ? : scoop@buminteractif.com

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Quand dommages dans la maison riment avec vacances d’été

Qui a dessiné sur la tapisserie du salon? Qui a arraché le tapis dans l’entrée? Qui a renversé du jus sur le cadre fraîchement acheté d’un artiste émergent? Qui a arraché les fleurs du jardin? Même s’il sera le roi en matière d’excuses, vous savez bien que c’est lui le coupable : votre enfant.

Une récente étude britannique révèle que durant les vacances d’été, c’est un enfant sur sept qui cause des dommages dans sa maison ou sur le terrain. En moyenne, les catastrophes signées par les enfants sont évaluées un peu plus de 5500 $. Ce sont plus de 500 familles qui auraient été touchées par la « folie passagère » de bambins au cours de la dernière année. Pour plusieurs d’entre eux, le retour en classe est plus qu’espéré…

Un parent sur cinq ne serait pas au courant si ses assurances habitation couvrent ce genre de méfaits et si certains frais peuvent être remboursés pour remplacer les pots cassés.

Adam Powell, expert en polices d’assurance explique avec une touche d’humour au site Female First que s’assurer pour les dommages accidentels est une chose très simple à ajouter à votre police. « Ça vous donne la tranquillité d’esprit, en fait la seule paix que vous obtiendrez cet été. »

Les bris de vaisselle, de plomberie, d’électricité, de miroirs et de meubles font partie du palmarès des objets les plus abîmés par les enfants et s’ajoutent à la liste des méfaits dans le jardin, l’artisanat sur les murs de maison et la « destruction » de meubles.

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Santé : Les assurances privées laissent les consommateurs sur leur faim

Plusieurs consommateurs et clients qui souscrivent à des régimes d’assurances privés en santé, que ce soit de façon personnelle ou via l’employeur, commencent à décrier le faible rapport qualité-prix observable depuis un bon moment.

Plus chères et moins généreuses, plusieurs polices d’assurance laissent les consommateurs sur leur faim, alors que ceux-ci découvrent souvent sur le tard qu’ils ne sont pas couverts pour un traitement ou besoin spécifique.

À quoi bon souscrire et payer des sommes respectables mensuellement si on ne gagne pas de tranquillité d’esprit au final? Voilà la question qui se pose.

C’est Le Devoir qui lance le débat, en rapportant l’étude et l’analyse d’un chercheur de l’Université de Colombie-Britannique, Michael Law. Ce dernier a calculé la différence observable entre les cotisations moyennes et le retour sur l’investissement d’un consommateur en soins de santé, et ce, au cours des 20 dernières années.

En 1994, le client moyen voyait sa police d’assurance privée lui remettre 92 % de ses cotisations sous forme de couverture et de soins de santé, alors que la moyenne actuelle ne se situerait qu’autour de 74 %.

« Imaginez si seulement 74 % de l’argent du ministère de la Santé servait à donner des soins de santé. Les gens descendraient dans la rue pour protester », croit Michael Law.

On estime à 4,4 milliards de dollars l’argent investi par les Canadiens dans des régimes d’assurance maladie privés sans aucun retour sous forme de soins.

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Obamacare reprend du poil de la bête

C’est un deuxième essai qui semble en voie de se solder par un succès, peu importe nos idéaux et philosophies politiques, pour le président Barack Obama et son nouveau système de santé surnommé « Obamacare », après un faux départ et des mois de polémique.

C’est qu’en plus d’être décrié par une partie de la population et vilipendé par les républicains, bien entendu, Obamacare a connu des ratés techniques dès le départ, en plus de semer la confusion au sein de la population.

On connaît maintenant beaucoup mieux les tenants et aboutissants du système implanté par Barack Obama, notamment ces obligations des compagnies d’assurance à couvrir les soins de base et d’hospitalisation de leurs clients, l’obligation d’accepter les patients mêmes jugés fragiles ou « coûteux », et l’interdiction de plafonner les remboursements annuellement, notamment.

Des mesures qui protègent donc le patient et la population, mais qui inversent complètement le processus déjà en place et qui feront monter les coûts d’assurances pour l’ensemble de la population… qui sera néanmoins mieux protégée globalement, à condition que tout le monde y adhère.

La bonne nouvelle à ce stade, rapporte notamment La-Croix, c’est que les inscriptions à Obamacare sont en hausse, et on prédit que le premier objectif de sept millions de nouveaux assurés d’ici la fin mars 2014 pourrait être atteint. On en est à 2,1 millions, sur les 50 millions qui n’avaient tout bonnement pas de possibilité ou de désir d’assurance maladie avant l’instauration d’Obamacare, un système qui compte justement sur l’inscription de tout le monde afin d’être pleinement fonctionnel et justifiable.