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5 faits qu’apprennent les parents lorsque leur enfant est asthmatique

Comme l’indique Empowher, il n’est pas de tout repos d’apprendre que son enfant est atteint d’asthme, puisqu’il se peut qu’il soit obligé de composer avec cette maladie toute sa vie.

1. Il est difficile d’établir un diagnostic en bas âge

Les enfants de moins de 6 ans sont rarement diagnostiqués de l’asthme, mais il se peut qu’ils aient des symptômes depuis longtemps.

2. Asthme et allergies

La maladie s’accompagne souvent d’allergies, notamment d’eczéma. Il n’est pas rare que ces deux conditions se présentent en même temps.

3. Le sifflement n’est pas le seul symptôme

Un enfant dont la respiration est sifflante n’est pas nécessairement asthmatique, surtout lorsque cela se produit pendant une infection respiratoire. Par contre, une toux persistante sans rhume ou grippe peut s’avérer un facteur de l’asthme.

4. Il faut traiter l’asthme

La maladie peut être minimisée et bien contrôlée à l’aide de la médication, mais aussi en modifiant les habitudes de vie de manière à prévenir les crises.

5. Exercice et sport

L’asthme n’empêche pas les enfants de bouger. Il faut être plus attentif aux symptômes de l’asthme, mais plusieurs sportifs sont asthmatiques.

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Fumée secondaire, responsable de ré-admission à l’urgence des enfants asthmatiques

Les chercheurs du Cincinnati Children’s Hospital Medical Center en Ohio, de concert avec l’équipe de chercheurs de la Penn State Milton S. Hershey Children’s Hospital de Pennsylvanie, ont passé en revue l’historique de 600 enfants asthmatiques âgés d’un an à 16 ans.

Ces enfants ont été suivis pendant 12 mois, et les parents ont rempli un questionnaire relatif, entre autres, à la fumée secondaire. Ensuite, on mesurait la cotinine – une substance produite quand le corps est exposé à la nicotine – à l’aide d’échantillons de salive et de sang pour chaque enfant.

Le Dr Robert Kahn, qui a dirigé l’étude, explique l’objectif : « La capacité à mesurer le niveau de cotinine dans la salive et le sang permet l’obtention d’une mesure objective lors de l’admission d’un enfant à l’urgence, et peut être utilisée pour prédire la récurrence future de l’hospitalisation ».

De la totalité des enfants participants, 17 % ont été admis à nouveau à l’urgence à l’intérieur des 12 mois.

Les scientifiques ont réalisé, selon medicalnewstoday.com, que 35 % des parents avaient mentionné une exposition à la fumée secondaire. Pourtant, les résultats du sang et de la salive avaient conclu tout autrement. 56,1 % des résultats sanguins indiquaient une exposition à la fumée secondaire, un total s’élevant à 79,6 % avec l’échantillon de salive.

Donc, chers parents, inutile de mentir, la science détecte désormais si votre enfant a été ou non exposé à la fumée de cigarette.

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L’asthme peut allonger le délai de conception d’un enfant

Comme le mentionne Top Santé, l’asthme est une cause que les femmes sont loin d’envisager lorsqu’elles essaient depuis des mois de tomber enceintes, sans succès.

Les chercheurs de l’hôpital de Copenhague, dirigés par le Dr Avner Hershlag, ont fait participer 15 000 femmes pour en arriver à cette conclusion. Sur ce nombre, on a repéré les femmes asthmatiques et divisé le groupe selon qu’elles étaient traitées ou non pour leurs symptômes.

Comparativement aux femmes non asthmatiques, celles faisant de l’asthme étaient 26 % à avoir attendu plus d’un an avant de voir leur rêve de grossesse se réaliser, alors que les autres se chiffraient à 21 %.

D’autre part, l’asthme non traité augmentait encore la période de conception.

Le Dr Hershlag affirme que les femmes asthmatiques sont simplement « préoccupées » par leur santé, ce qui mine leurs chances de conception rapide. Il ne voit pas de marqueur d’infertilité à cette maladie.

Cependant, d’autres chercheurs croient au contraire que l’asthme pourrait créer une inflammation de l’utérus, et donc troubler l’environnement de nidification.

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Les enfants asthmatiques sont toujours aussi exposés à la fumée secondaire

Tant que les scientifiques n’auront pas établi avec certitude que la cigarette est directement responsable de l’asthme chez l’enfant, il semble que les études continueront à pleuvoir de toutes parts.

Récemment, on a tenté d’établir s’il y avait eu une diminution du niveau d’exposition à la fumée secondaire des enfants asthmatiques entre 2007 et 2010. Or, les résultats de la recherche des Centers for Disease Control and Prevention sont peu encourageants.

En fait, LiveScience mentionne que 54 % des enfants de 3 à 19 ans, aux États-Unis, sont encore exposés régulièrement à la fumée secondaire. Cette statistique demeure pratiquement inchangée dans la dernière décennie.

Conclusion? Même les chercheurs n’arrivent pas à déterminer si ces résultats ont un impact sur l’asthme infantile, rapporte Kenneth Quinto, chercheur au National Center for Health Statistics. Ils ont établi sans équivoque que l’exposition à la fumée secondaire aggrave les symptômes de l’asthme, mais pas qu’il s’agit d’un facteur « responsable ».

Même la fameuse cotinine, ingrédient présent dans la fumée secondaire, n’était pas plus élevée dans les échantillons sanguins des enfants asthmatiques que chez ceux en bonne santé.

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Les enfants asthmatiques sont vulnérables

Des chercheurs des universités Yale et Brown ont conclu, après avoir suivi 430 enfants asthmatiques de 4 à 12 ans, que le plus faible taux de pollen dans l’air pouvaient les atteindre.

Durant cinq ans, on a analysé les taux quotidiens de pollen près de la maison des sujets. Il en est ressorti que ces enfants sont très vulnérables. Au plus faible taux de pollen, ils étaient enclins à présenter des symptômes de l’asthme.

Même s’ils prenaient des médicaments, ces enfants étaient 37 % plus à risque de présenter des difficultés respiratoires et de devoir bénéficier d’un traitement supplémentaire. On parle ici d’un taux de 6 à 7 grains de pollen par mètre cube, ce qui est minime.

D’autre part, les chercheurs ont remarqué avec surprise que ces enfants présentaient moins de symptômes de l’asthme lorsque les taux de pollen étaient élevés. On peut toutefois expliquer ce contraste par le fait que les parents d’enfants asthmatiques suivent les bulletins sur les taux de pollen et agissent en conséquence.

Par exemple, lorsque le taux de pollen est élevé, on gardera simplement un enfant asthmatique à l’intérieur, à l’air conditionné.

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Clinique mobile pour jeunes asthmatiques

On lit dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology qu’un programme de traitement de l’asthme, une clinique mobile, aurait donné des résultats moyennement encourageants.

Les services de la Breathmobile combinés à une intervention familiale se sont conclus par une augmentation de 1,7 jour sans symptômes de l’asthme, après une période d’expérimentation de 6 mois. Toutefois, après un an, l’amélioration s’est avérée nulle.

L’un des points forts de la Breathmobile est que les enfants asthmatiques issus d’une famille à faible revenu se retrouvent avec de plus grands risques de problèmes de santé et de mort. Ces plus hauts risques sont reliés en grande partie à une moins bonne accessibilité aux soins.

On tentait donc, en utilisant la Breathmobile, de passer outre les embûches du transport, de l’accès aux soins et à la qualité du service d’assurance maladie des enfants.

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Les stéroïdes seraient inefficaces contre l’asthme

Le traitement de l’asthme chez les enfants par l’inhalation de stéroïdes est des plus communs. Or, il ne serait pas aussi efficace que l’on pense, selon une étude de la Washington University School of Medicine of St. Louis.

Des chercheurs ont remarqué que l’inhalation quotidienne de stéroïdes n’apportait pas des résultats si différents lorsque des doses plus élevées étaient données à des enfants pour réduire la respiration sifflante, et ce, dès la première apparition des symptômes de l’asthme.

De plus, le traitement quotidien ressemblait beaucoup à un autre administré par intermittence, quant à la diminution de la gravité des symptômes de cette maladie des voies respiratoires.

Pour en arriver à ces conclusions, on a suivi environ 300 enfants d’âge préscolaire qui avaient une respiration sifflante sur une base continue et qui présentaient de hauts risques d’asthme.

Les résultats complets de cette recherche sont parus dernièrement dans le New England Journal of Medicine.

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L’acétaminophène, à éviter pour les asthmatiques

D’ici à ce que les risques présumés de l’acétaminophène soient éliminés, on conseille fortement d’éviter d’en donner à des enfants asthmatiques. Une association cause à effet vient d’être établie entre le médicament et la maladie respiratoire.

En effet, on lit dans Pediatrics qu’un récent rapport fait état d’une augmentation de la prévalence de l’asthme causée par l’administration d’acétaminophène chez l’enfant.

La relation ici présentée a été remarquée malgré l’âge des enfants, leur situation géographique et leur culture, notamment.

Il existerait un lien quant à la dose donnée et ladite prévalence, car le développement de l’asthme a souvent coïncidé avec le début de la prise d’acétaminophène. Le mécanise biologique d’une enzyme (glutathion) des voies aériennes muqueuses pourrait être en cause.

Jusqu’à nouvel ordre, on évite donc de donner de l’ibuprofène et de l’acétaminophène à un enfant asthmatique.

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Asthme et allergies alimentaires

Après avoir analysé les tests sanguins de 8 023 personnes, des chercheurs américains ont découvert que les asthmatiques étaient 2 fois plus souvent allergiques à certains aliments.

Les participants de cette recherche étaient âgés de 1 à 60 ans.

En effet, comme on peut le lire dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology, ces personnes sont beaucoup plus sujettes à développer des allergies aux arachides, au lait, aux oeufs et aux crevettes.

Leurs chances de développer l’une de ces allergies sont encore plus grandes si leur asthme est sévère.

De plus, les chercheurs ont pu cibler certains groupes plus susceptibles que d’autres à devoir vivre avec certaines restrictions alimentaires. Les enfants et les hommes sont donc plus à risque d’être allergiques que le reste de la population.

Finalement, on a pu constater que l’allergie la plus fréquente est bel et bien celle aux arachides, et ce, particulièrement chez les enfants et les adolescents.

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Asthme et allergies alimentaires

Après avoir analysé les tests sanguins de 8 023 personnes, des chercheurs américains ont découvert que les asthmatiques étaient 2 fois plus souvent allergiques à certains aliments.

Les participants de cette recherche étaient âgés de 1 à 60 ans.

En effet, comme on peut le lire dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology, ces personnes sont beaucoup plus sujettes à développer des allergies aux arachides, au lait, aux oeufs et aux crevettes.

Leurs chances de développer l’une de ces allergies sont encore plus grandes si leur asthme est sévère.

De plus, les chercheurs ont pu cibler certains groupes plus susceptibles que d’autres à devoir vivre avec certaines restrictions alimentaires. Les enfants et les hommes sont donc plus à risque d’être allergiques que le reste de la population.

Finalement, on a pu constater que l’allergie la plus fréquente est bel et bien celle aux arachides, et ce, particulièrement chez les enfants et les adolescents.