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Prévenir l’Alzheimer avec l’huile de poisson

L’huile de poisson, riche en oméga-3, est connue pour être bénéfique pour la protection cardiovasculaire, pour l’arthrite rhumatoïde et même, selon certaines recherches, pour la dépression et les troubles de l’humeur.

Voilà qu’une nouvelle étude américaine de l’Hôpital du Rhode Island indique que l’huile de poisson pourrait aider à prévenir l’Alzheimer en aidant à préserver les fonctions cognitives et réduire les risques d’atrophie cérébrale des gens d’âge mûr.

La prise régulière d’huile de poisson a permis de découvrir que les fonctions cognitives sont mieux conservées chez la majorité des gens d’un âge avancé qui en consomment.

Sur 819 personnes qui ont participé à l’étude publiée dans la revue Alzheimer’s & Dementia, les IRM et tests neuropsychologiques de ces patients ont fait la preuve « que les sujets au fonctionnement cognitif normal qui prenaient des compléments à l’huile de poisson enregistraient un rétrécissement cérébral moindre dans les zones neurologiques clés, en comparaison avec les personnes qui ne prenaient pas ces compléments », a remarqué Lori Daiello, spécialiste de la maladie d’Alzheimer à l’Hôpital du Rhode Island.

Top Santé propose de retrouver les 500 mg d’AEP et d’ADH, les deux acides gras de type oméga-3 nécessaires quotidiennement, en capsules, dans 50 grammes de sardines, 100 grammes de crevettes ou encore 20 grammes de maquereau de l’Atlantique.

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La vitamine B contre l’Alzheimer

Des chercheurs de l’Université Oxford ont effectué une vaste étude pendant deux ans sur les effets de la vitamine B (acide folique, B6, B12) sur 168 personnes de plus de 70 ans. La moitié a reçu de la vitamine, l’autre prenait un placebo.
 
On constate que la vitamine B a des effets bénéfiques sur le cerveau. En fait, elle réduit de 30 à 50 % l’atrophie du cerveau, un signe annonciateur de la maladie d’Alzheimer. Cette atrophie vient avec le vieillissement, mais elle est toujours accélérée dans les cas de déclin cognitif.
 
La vitamine B réduit cette atrophie. Chez le groupe ayant reçu la vitamine B, l’atrophie a reculé de 30 % en moyenne, même que chez certains, on note une réduction de 53 %.
 
La vitamine B se retrouve à l’état naturel dans les viandes, les œufs, les poissons et les légumes verts notamment.
Les résultats de cette étude ont été publiés dans la revue PLoS ONE.