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La pilule contraceptive augmente les risques cardiaques

Une étude danoise parue dans le New England Journal of Medicine mentionne que la pilule contraceptive augmente les risques d’attaque cardiaque.
 
Alors qu’une étude précédente pointait du doigt les pilules Yaz et Yamsin, dont la drospirénone pouvait accroître les risques de caillots sanguins, voilà que les pilules contraceptives qui contiennent de l’œstrogène sont les fautives dans les incidents cardiaques.
 
Ces pilules augmentent les risques d’infarctus et d’incidents vasculaires cérébraux de 1,3 à 2,3 fois, comparativement à la moyenne.
 
1,6 million de femmes ont participé à cette recherche.
 
Des études plus approfondies seront nécessaires, mais voilà une nouvelle donnée qui incite à revoir la contraception.
 
Dans le cas des contraceptifs Yaz et Yasmin, les experts avaient jugé que les risques de caillots sanguins demeuraient relativement faibles et n’avaient pas choisi de recommander l’arrêt de cette prise de pilule aux femmes qui en faisaient l’usage.
 
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Reprendre l’activité physique rapidement après une attaque est plus bénéfique

Alors que la majorité du temps, les médecins recommandent aux patients ayant subi une attaque cardiaque de relaxer et de se la couler douce pendant quelque temps, une nouvelle étude affirme qu’il serait préférable de se remettre à l’activité après une semaine seulement.
 
Une équipe de l’Université de l’Alberta, dirigée par Mark Haykowsky et Alex Clark, a analysé 20 ans d’essais. Selon le journal Trials, on a constaté que les patients avaient de meilleurs résultats de rétablissement et de performances cardiaques s’ils avaient repris l’activité avec un programme léger une semaine après leur attaque. Leur santé s’était considérablement améliorée, comparativement à celle des personnes qui avaient attendu au moins un mois.
 
Toutefois, cette étude n’a pas pour but de donner le feu vert à toutes les personnes qui subissent ce genre de malaise. Il est primordial de ne pas se lancer dans une activité physique sans supervision. On doit d’abord avoir l’accord formel du médecin traitant, qui saura mieux juger si l’activité physique précoce après une attaque représente ou non un danger.