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La pollution atmosphérique augmente les risques de problèmes de santé graves

Deux études publiées en parallèle dans les Archives of Internal Medecine confirment que la pollution atmosphérique pose de gros problèmes pour la santé.
 
La première étude a été réalisée sur 1700 cas de personnes ayant fait une attaque cérébrale entre 1999 et 2008. Une exposition à de fines particules atmosphériques augmente les risques d’attaques cérébrales, et ce, dans les 12 à 14 heures après l’inhalation, mentionnent les chercheurs. Même une exposition à des niveaux de pollution considérés comme sécuritaires peut causer des problèmes.
 
On croit qu’en réduisant de 20 % la pollution, on aurait pu réduire de 6000 cas les attaques cérébrales en 2007.
 
Quant à la deuxième étude, faite sur 19 500 femmes âgées de 70 à 81 ans entre 1995 et 2005, les chercheurs établissent un lien entre la pollution atmosphérique et le vieillissement cérébral. Cela peut occasionner bien des problèmes avec les années, en augmentant les cas de démence notamment.
 
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L’huile d’olive contre les attaques cérébrales

L’huile d’olive pourrait être une méthode simple et peu coûteuse pour prévenir les attaques cérébrales chez les personnes âgées de 65 ans et plus.
 
En effet, après avoir suivi 7 625 personnes âgées pendant cinq ans, on constate que l’huile d’olive aurait des propriétés protectrices.
 
Selon la revue Neurology, une équipe de chercheurs de l’Institut National de la santé et de la recherche médicale à Bordeaux a divisé les participants en deux groupes : ceux qui ne consommaient jamais d’huile d’olive et ceux qui l’avaient incluse dans leur alimentation.
 
Durant l’étude, on a enregistré 148 attaques cérébrales.
 
Après avoir pris en considération le poids des participants, leur niveau d’activité physique et leur régime alimentaire, on constate que les personnes qui consomment régulièrement de l’huile d’olive ont 41 % moins de risque de subir une attaque que les autres.

Les experts suggèrent donc de revoir les recommandations alimentaires pour les personnes de plus de 65 ans.

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Des personnes muettes peuvent communiquer en chantant

Des neurologues américains ont découvert que les personnes ayant perdu l’usage de la parole après une attaque cérébrale sont parvenues à communiquer grâce à la musique.
 
Le Dr Gottfriend Schlaug, de la faculté de médecine de Harvard, a démontré que des patients ne pouvant plus parler après une attaque de l’hémisphère gauche du cerveau, où se trouve le centre de la parole, arrivent à prononcer des mots très clairement en les chantant.
 
Lors de la conférence annuelle de l’American Association for Advancement of Science, une vidéo a été présentée. On y voyait une personne, ayant été victime d’une attaque, qui était incapable de réciter les paroles de la chanson Happy Birthday. Toutefois, lorsqu’on lui demandait de les chanter et que quelqu’un tapait le rythme de la mélodie sur sa main gauche, la personne arrivait immédiatement à prononcer clairement les mots. D’autres patients ont aussi démontré ce type de capacité.
 
Le mécanisme n’est pas clairement défini encore et d’autres études sont en cours. Les chercheurs affirment toutefois que la musique stimule des zones différentes du cerveau qui n’interagissent pas avec la parole habituellement. La musique est multisensorielle et stimule de nombreuses zones, les mettant en contact les unes avec les autres.
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La vitamine D protège le coeur

Des chercheurs américains de l’Institut de cardiologie du centre médical Intermountain dans l’Utah ont démontré le rôle que joue la vitamine D sur l’organisme.

Pour l’étude, on a suivi pendant un an un groupe de 28 000 personnes de 50 ans sans antécédents.

Les résultats démontrent que ceux qui ont un taux anormalement bas de vitamine D ont 77 % plus de risques de mourir que ceux qui un taux normal de la vitamine.

On a noté qu’une carence en vitamine D augmente les risques de maladies coronariennes de 45 % et les attaques cérébrales de 78 %. De plus, les personnes carencées, même modérément, ont deux fois plus de risques de souffrir d’une insuffisance cardiaque.

La vitamine D joue également un rôle dans d’autres fonctions biologiques du corps humain, comme la tension artérielle, le contrôle du glucose et l’inflammation.

Récemment, on mentionnait qu’un manque de vitamine D augmentait les risques de développer certains cancers, comme celui du sein et de la prostate. On l’associe également au surpoids, à l’obésité et à la sclérose en plaques.

Maintenant, on souhaite procéder à des essais cliniques avec des compléments de vitamines D afin de mesurer scientifiquement l’incidence de la vitamine sur les problèmes de santé mentionnés précédemment.

Notons qu’en plus des capsules vitaminées, on retrouve la vitamine D dans la lumière du soleil et dans le poisson.

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La vitamine D protège le coeur

Des chercheurs américains de l’Institut de cardiologie du centre médical Intermountain dans l’Utah ont démontré le rôle que joue la vitamine D sur l’organisme.

Pour l’étude, on a suivi pendant un an un groupe de 28 000 personnes de 50 ans sans antécédents.

Les résultats démontrent que ceux qui ont un taux anormalement bas de vitamine D ont 77 % plus de risques de mourir que ceux qui un taux normal de la vitamine.

On a noté qu’une carence en vitamine D augmente les risques de maladies coronariennes de 45 % et les attaques cérébrales de 78 %. De plus, les personnes carencées, même modérément, ont deux fois plus de risques de souffrir d’une insuffisance cardiaque.

La vitamine D joue également un rôle dans d’autres fonctions biologiques du corps humain, comme la tension artérielle, le contrôle du glucose et l’inflammation.

Récemment, on mentionnait qu’un manque de vitamine D augmentait les risques de développer certains cancers, comme celui du sein et de la prostate. On l’associe également au surpoids, à l’obésité et à la sclérose en plaques.

Maintenant, on souhaite procéder à des essais cliniques avec des compléments de vitamines D afin de mesurer scientifiquement l’incidence de la vitamine sur les problèmes de santé mentionnés précédemment.

Notons qu’en plus des capsules vitaminées, on retrouve la vitamine D dans la lumière du soleil et dans le poisson.