Les fumeurs et les gens aux prises avec des problèmes de déficit d’attention (TDAH) pourraient bien avoir un gène qui les prédisposait à cette condition, rapporte www.nlm.nih.gov.
C’est qu’une étude tente de démontrer l’existence d’un tel gène, qui augmenterait le facteur de risques pour ces personnes de développer la manie de fumer ou le TDAH.
De plus, des statistiques percutantes affirment que les gens souffrant de déficit d’attention ont d’ailleurs plus de chances de commencer à fumer tôt et de fumer deux fois plus.
Pour cette plus récente étude, les chercheurs ont analysé les tests sanguins de plus de 450 enfants de 6 à 12 ans aux prises avec le TDAH, ainsi que ceux de leurs parents et familles. Les échantillons ont été testés pour vérifier cinq variations génétiques possibles associées avec différents comportements reliés au tabagisme.
Le nombre de cigarettes consommées par jour et le fait de cesser et de recommencer à fumer sont des variables observées.
De l’avis de tous les spécialistes, ces conclusions sont intrigantes et prometteuses, mais doivent être testées davantage avant de pouvoir parler de cause à effet, ou encore de traitement.