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Un gène lié au tabagisme et au déficit d’attention

Les fumeurs et les gens aux prises avec des problèmes de déficit d’attention (TDAH) pourraient bien avoir un gène qui les prédisposait à cette condition, rapporte www.nlm.nih.gov.

C’est qu’une étude tente de démontrer l’existence d’un tel gène, qui augmenterait le facteur de risques pour ces personnes de développer la manie de fumer ou le TDAH.

De plus, des statistiques percutantes affirment que les gens souffrant de déficit d’attention ont d’ailleurs plus de chances de commencer à fumer tôt et de fumer deux fois plus.

Pour cette plus récente étude, les chercheurs ont analysé les tests sanguins de plus de 450 enfants de 6 à 12 ans aux prises avec le TDAH, ainsi que ceux de leurs parents et familles. Les échantillons ont été testés pour vérifier cinq variations génétiques possibles associées avec différents comportements reliés au tabagisme.

Le nombre de cigarettes consommées par jour et le fait de cesser et de recommencer à fumer sont des variables observées.

De l’avis de tous les spécialistes, ces conclusions sont intrigantes et prometteuses, mais doivent être testées davantage avant de pouvoir parler de cause à effet, ou encore de traitement.

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La vérité sur les médicaments

Les médicaments, s’ils sont une source de soulagement, de guérison et d’espoir, mais ils sont aussi source d’inquiétudes et de nombreux questionnements.

Topsanté s’est penché sur la question et rapporte que plusieurs médicaments sont rappelés annuellement pour cause d’effets secondaires, très graves dans certains cas, moins dans d’autres.

Si ce genre de situation est fréquent, cela ne signifie pas pour autant que les vérifications ne sont pas rigoureuses. Malheureusement, des cas de compagnies pharmaceutiques qui trichent lors des tests et examens de normes, ça arrive.

Inquiétant, il faut en convenir. De plus, les médecins semblent de plus en plus enclins à prescrire des médicaments, parfois plus d’un par patient, pour à peu près tous les symptômes présentés. Qu’elles soient utiles ou superflues, ces prescriptions à la chaîne ont de quoi laisser le public songeur.

On suggère d’éviter de changer constamment de médication et de se questionner sur le besoin réel de celle-ci. Si l’on veut poursuivre un traitement, pourquoi changer de type de médicament si le précédent fonctionnait bien et, surtout, sans effets secondaires?

Les gens ont souvent envie d’essayer le produit le plus récent sur le marché. Un comportement à éviter, tout comme voir les médicaments comme des solutions faciles, sans conséquence.

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Comment gérer le pleurnichage de vos enfants

Pleurnicher n’est pas une stratégie consciente des enfants. Avec le temps, ils remarquent qu’ils ont toute l’attention de leurs parents s’ils se mettent en colère et crient.

Toutefois, afin d’éviter qu’un petit s’emporte lorsque vous ne lui répondez pas tout de suite — lorsque vous êtes au téléphone, par exemple —, faites-lui signe que vous l’avez vu, que vous êtes occupé et que vous serez à lui dans une minute.

Parfois, l’enfant s’impatiente tout de même. Vous devriez donc vous dire qu’il n’essaie pas volontairement de vous irriter, mais qu’il cherche de l’aide.

« Répondez avec des “affirmations au je” et modélisez la façon dont vous voulez que votre enfant vous parle. Dites quelque chose comme “Je n’aime pas ça quand tu pleurniches. Si tu veux un verre de lait, dis-le comme ça”. Ensuite, modélisez les mots et le ton exacts que vous souhaitez que votre enfant emploie », explique l’éducatrice et psychologue du développement, Becky Bailey.

Si l’enfant continue à geindre, essayez d’analyser ce qui peut causer ce comportement et de saisir le message qu’il traduit.

Rappelons que les enfants n’ont pas tendance à sympathiser avec les enfants pleurnicheurs. En fait, dès l’âge de trois ans, les enfants pourraient faire la différence entre ceux qui se plaignent pour rien et ceux qui ont une raison valable de le faire.

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Attention aux saignements durant la grossesse

De façon générale, les femmes n’ont pas leurs règles durant la grossesse. Cependant, cela ne veut pas dire qu’elles ne peuvent pas avoir de saignements.

La plupart des femmes, moins bien informées sur ce genre de saignements, seront portées à paniquer. Toutefois, tous ces saignements ne sont pas dangereux.

D’abord, si les saignements s’apparentent à des taches, c’est que l’oeuf est fertilisé, mais est attaché à la paroi de l’utérus. Cela provoque des saignements brunâtres ou rouges.

Aussi, des saignements peuvent apparaitre après la prise de pilules contraceptives. Si vous avez récemment cessé la pilule et êtes tombée enceinte, vous pourriez voir des taches dans votre culotte. Ces saignements sont dus à des changements hormonaux, mais ne sont pas de vraies menstruations.

Ensuite, les grossesses extra-utérines provoquent aussi des saignements. En fait, elles s’apparentent aux règles, mais sont accompagnées de nausées, d’étourdissements et de douleur.

Les saignements peuvent aussi, dans certains cas, être associés à des fausses couches. Les experts suggèrent donc d’en parler à votre gynécologue immédiatement.

Rappelons que d’autres signes peuvent annoncer une grossesse ectopique. Outre les saignements, on retrouve des crampes ciblées sur un seul côté et des douleurs au bas du ventre.

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Les parents devraient faire attention aux surdoses

Selon la revue Prescrire, les étiquettes apposées sur les contenants de médicaments ne proposent pas toujours le bon dosage.

Cela sans compter que plusieurs flacons ne sont pas sécuritaires pour les tout-petits, qui pourraient les ouvrir à tout moment s’ils les trouvaient.

« Dans le domaine de l’automédication pour les enfants, l’insuffisance de qualité des dispositifs doseurs est trop fréquente, y compris avec des substances dangereuses », peut-on lire dans la revue.

Le fait que plusieurs médicaments susceptibles d’être ingérés en trop grande quantité impliquent des opioïdes, par exemple, n’a rien de rassurant.

Inquiets de cette situation, les spécialistes de Prescrire ont fait quelques recommandations à l’Agence européenne du médicament et à l’Agence nationale de sécurité du médicament, en France, afin de mettre en place un règlement qui contraindrait les compagnies pharmaceutiques à rendre plus sécuritaires leurs produits.

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La stimulation intellectuelle de bébé est complexe

C’est en positionnant des bébés de 7 et 8 mois sur les genoux de leurs parents et face à un écran qui présentait une vidéo faisant apparaître ou disparaître différents objets dans des boîtes que des chercheurs se sont aperçus que les bambins peuvent vite décrocher.

Pour être certains que l’environnement qui entourait les nourrissons ne les influencerait pas dans leur concentration, les chercheurs américains, dont l’étude est parue dans Public Library of Science One, ont muni les petits de casques et d’oreillettes pour leur permettre de voir uniquement la vidéo.

Il s’est avéré que lorsque certaines séquences de la vidéo étaient trop ennuyantes ou que l’enfant pouvait prévoir ce qui allait se produire, le bébé déconnectait en détournant le regard du téléviseur.

Si la vidéo était trop difficile à comprendre, la stimulation intellectuelle enregistrée diminuait considérablement et laissait croire à un découragement de la part de l’enfant.

Les chercheurs concluent donc que tous comme les adultes, les bébés ont besoin d’éléments-surprises et d’un juste milieu entre la complexité et la simplicité des informations pour qu’une situation les intéresse.

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La fatigue à l’école pourrait être liée à un trouble d’apprentissage

C’est ce que révèle une étude publiée sur Psychcentral.com. En fait, les enfants ayant des troubles de l’apprentissage, de comportement ou d’attention seraient les plus susceptibles de développer de la fatigue excessive durant le jour (EDS).

Aussi, les chercheurs ont déterminé qu’une série de facteurs pouvaient contribuer à l’EDS. Ils ont souligné que l’obésité, les symptômes d’inattention, la dépression et l’anxiété ainsi que la difficulté des parents à s’endormir étaient des aspects qui pouvaient contribuer à l’EDS, et ce, même parmi les enfants n’ayant pas de temps de sommeil réduit ou d’apnée du sommeil.

« Les faiblesses dues au EDS dans le fonctionnement cognitif et comportemental peuvent avoir de sérieux impacts sur le développement d’un enfant. Reconnaître et traiter l’EDS peut offrir de nouvelles stratégies pour s’attaquer à certains des problèmes neurocomportementaux les plus communs chez les jeunes enfants qui vont à l’école », explique l’auteure principale de la recherche, la Dre Susan Calhoun.

De plus, 15 % des enfants ont normalement une EDS. Ce pourcentage est cependant plus élevé parmi les enfants ayant des troubles d’apprentissage, de comportement ou d’attention, selon les experts.

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Le comportement des parents influence la collaboration des enfants

Une étude de l’Université Concordia, publiée dans le journal Child Development, est la première à démontrer que la capacité à collaborer, bien agir et apprendre d’un enfant dépend du comportement de ses parents.

Pour l’adulte, interagir avec son enfant, répondre positivement lorsqu’il requiert de l’attention et lui faire comprendre ce qui peut promouvoir la collaboration permet au jeune d’avoir le goût de collaborer rapidement et hâtivement avec ses parents et dans la société, affirme Marie-Pierre Gosselin, candidate au doctorat en psychologie et auteure de l’étude.

Deux observations ont été réalisées, alors que des parents et leurs enfants se sont retrouvés dans la même pièce. La première occasion a exigé des parents qu’ils répondent à un questionnaire et soient attentifs. Pendant ce temps, il a été prouvé que le parent qui prenait une pause de son action pour répondre à l’enfant en manque d’attention ou pour lui expliquer calmement de patienter obtenait une meilleure collaboration et un respect de l’enfant, comparativement à celui qui poursuivait son questionnaire sans lever les yeux et devait faire face à un enfant criard et plaintif.

Le même scénario positif s’est répété à la deuxième analyse, où le parent devait faire un geste répétitif avec un ballon. Celui qui avait expliqué à son enfant ce qu’il faisait a permis à son petit d’être en mesure d’imiter le geste avec le ballon par la suite.

Mme Gosselin encourage donc les parents à se dire que ce n’est pas tant la quantité que la qualité de l’attention donnée à l’enfant qui donnera de bons résultats et des jeunes plus motivés à collaborer dans sa vie.

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Quand la maternelle influence le marché du travail

Pour les enfants, la classe est le lieu de travail. L’écoute et la bonne attention durant la maternelle peuvent prédire avec précision le développement des compétences axées sur le travail.

C’est ce que suggère une étude publiée en ligne dans le Journal of Abnormal Child Psychology par la Dre Linda Pagani, professeure et chercheuse à l’Université de Montréal et au CHU Sainte-Justine.

Le travail seul ou en équipe, le niveau de maîtrise de soi et de confiance en soi et la capacité à suivre des directives et des règles sont les critères qui ont été soigneusement évalués par les enseignants de plus d’un millier d’enfants de la maternelle qui fréquentaient tous des écoles de milieux défavorisés de Montréal.

Ceux qui répondaient de manière positive à tous ces critères de production et de bonne conduite étaient plus susceptibles de continuer à en faire autant une fois adulte, sur le marché du travail.

Bien que plusieurs autres facteurs expliquant un déficit de l’attention au primaire aient été pris en considération sur l’échelle d’évaluation, il semblerait que les garçons, les enfants agressifs et les enfants ayant des aptitudes cognitives inférieures à la maternelle étaient beaucoup plus susceptibles d’appartenir à une classe d’adultes moins accomplis.

Pour les spécialistes, il y a des risques importants de la vie associés à des déficits d’attention chez les enfants, qui comprennent un haut taux de décrochage scolaire, de chômage et d’abus de substances problématiques. Selon les chercheurs, ces résultats plaident fortement pour une identification précoce et un traitement des problèmes d’attention.

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Le poids de naissance en lien avec la mémoire

Les bébés qui viennent au monde avec un faible poids de naissance sont plus enclins à souffrir de problèmes de mémoire et d’attention au cours de leur vie adulte, nous apprend une récente étude parue dans Neurology.

On savait déjà que les bébés prématurés obtenaient plus tard des résultats plus faibles à des tests cognitifs. C’est toutefois la première fois que l’on s’intéresse directement, pour cet aspect, au poids de naissance.

Un faible poids de naissance pourrait donc avoir des impacts sur les fonctions exécutives, par exemple l’attention et la mémoire visuelle, au début de la vie adulte.

Pour le bien de la présente recherche, on a fait passer des tests portant sur la capacité de réflexion (touchant entre autres le vocabulaire et la compréhension des mots), la mémoire et le quotient intellectuel.

Les 208 participants, qui étaient âgés de 21 à 30 ans, étaient divisés en deux groupes. Le premier comprenait 103 sujets, lesquels avaient présenté un faible poids de naissance – soit moins de 3,3 livres. Quant au second groupe, il était constitué de 105 personnes qui étaient nées avec un poids normal – soit plus de 3,3 livres.

Les sujets qui avaient eu un faible poids de naissance ont obtenu des résultats plus bas en ce qui concerne l’intelligence en général, les fonctions exécutives, l’attention et la mémoire visuelle.