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Potins

Un diagnostic d’autisme pour Louis T

Louis T, que l’on a pu voir de plus en plus au cours des dernières années, affirme avoir reçu un diagnostic tardif d’autisme.

L’humoriste serait atteint du syndrome d’Asperger, et témoigne de ce constat et de son expérience par l’entremise de son compte Facebook.

« «Bizarre», «particulier», «trop rationnel», «inadéquat», «maladroit», «insensible»… Ce sont des mots et qualificatifs que j’ai entendus toute ma vie, depuis mon plus jeune âge. Maintenant, les récents développements dans ma vie, comme avoir un enfant ainsi qu’écrire mon premier one-man-show, m’auront poussé à m’interroger. Moi qui me sent si différent des autres, pourquoi suis-je ainsi? Il y a quelques mois, je suis donc allé consulter un psy. Quelques tests plus tard, j’avais une partie de la réponse à savoir, «qui suis-je ?». Je suis un autiste! Plus précisément, je suis atteint du syndrome d’Asperger; ceux que l’on décrit aussi comme autiste avec un haut niveau de fonctionnement. Ce sont les mots de mon psychiatre, parce que selon ma blonde, je ne fais jamais rien à la maison. Mais ça c’est un autre sujet ? Qu’est-ce que ça change à ma vie de savoir ça? Ça me permet de mieux comprendre certaines erreurs que j’ai commises dans le passé et de les accepter. Aussi, de mieux me préparer pour les défis à venir de la vie quotidienne, encore plus pour les défis que comporte un métier public (quel drôle de choix!) », peut-on notamment lire sur la page de Louis T (extrait, intégral).

Les réactions sont nombreuses sur le compte de l’humoriste, que ce soit des gens du public ou des humoristes (comme P-A Méthot), venus saluer le courage et l’importance d’une telle révélation.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Bébé et cie

Un nouveau jeu de rôle pour aider les enfants souffrant d’autisme

Une nouvelle méthode de jeu a été mise au banc d’essai pour voir s’il était possible d’élargir l’intérêt social d’enfants souffrant du trouble du spectre autistique à l’intérieur d’un groupe de jeu.

Les chercheurs ont procédé à l’analyse des conséquences de ces groupes de jeu, où il y avait des rôles à jouer, auprès de 48 enfants autistes.

« Les enfants apprennent bien mieux à jouer auprès de pairs que lors d’interactions avec des adultes, puisque les adultes ne sont plus des enfants », a-t-on expliqué.

L’imagination des enfants pour jouer des jeux de rôle apporte une nouvelle dimension pour faire participer des enfants autistes, informe Science World Report.

« L’un des enfants dans un groupe a eu l’idée d’une scène de sauvetage après un tremblement de terre », a indiqué l’un des chercheurs. Un jeune garçon autiste qui participait et aimait démolir a donc eu l’occasion de prendre le rôle du travailleur de la construction.

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Bébé et cie

Un chien détecteur de stress pour aider les enfants à l’école

Chaque matin, Cali, une chienne de 18 mois, renifle les 85 étudiants de l’école Calais à Whippany, au New Jersey. Elle aide sa maîtresse, la spécialiste Casey Butler, à détecter les jeunes qui ne se sentent pas bien.

Cali peut déceler l’odeur du cortisol chez l’humain, une hormone produite en réponse au stress ou à l’anxiété. De plus, sa présence met les enfants en confiance. Tour à tour, elle passe devant eux, puis en gestes très discrets, Mme Butler sait si tel ou tel élève est en situation de stress.

Le New York Times rapporte que l’enfant est surpris lorsqu’il dit bien aller et que Casey Butler affirme « Eh bien, Cali me dit le contraire ».

Les enfants concernés ont tous des difficultés à gérer l’anxiété et le stress, puisqu’ils souffrent d’autisme, de déficit d’attention ou d’autres troubles du comportement.

Cali arrive même à diriger la spécialiste vers des élèves en difficulté qui sont à l’autre bout d’un couloir.

L’initiative a été chaudement accueillie par tout le personnel enseignant. La réussite du programme ouvre donc la voie à d’autres écoles qui souhaiteraient venir en aide de cette façon aux élèves nécessitant des soins spéciaux.

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Nutrition

Le brocoli pour diminuer les symptômes de l’autisme

Le brocoli est déjà reconnu comme un super aliment composé de nutriments essentiels. Cette fois, une étude a fait le lien entre la diminution des symptômes du trouble du spectre autistique et le sulforaphane, un composé de l’aliment.

Science World Report mentionne que les participants, âgés de 13 à 27 ans, étaient tous de sexe masculin. Ils avaient des symptômes modérés à sévères et étaient séparés en deux groupes.

L’un d’entre eux, contrairement à l’autre, recevait une dose quotidienne d’extrait de brocoli. Le comportement de chacun était évalué au début de l’exercice, puis après 4, 10 et 18 semaines.

Le groupe recevant l’extrait du brocoli obtenait de meilleurs résultats comportementaux que le groupe placebo, tout au long de l’analyse. Au total, dans le groupe du sulforaphane, 17 des 26 patients présentaient d’excellentes améliorations, tant comportementales qu’en ce qui a trait aux interactions sociales.

Les effets de l’extrait de brocoli se faisaient sentir sur l’irritabilité, l’hyperactivité et la communication dès la 4e semaine. Cependant, les bienfaits ne perduraient pas au-delà de l’étude.

La recherche a été publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.

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L’intervalle entre les grossesses en lien avec l’autisme chez l’enfant

Selon les Centers for Diseases Control and Prevention, 1 enfant sur 68 reçoit le diagnostic de l’autisme. Science World Report mentionne qu’une naissance qui survient moins d’un an ou plus de 5 ans après la précédente grossesse augmente considérablement le risque d’autisme chez l’enfant.

Ces données sont comparatives aux naissances qui ont lieu entre deux grossesses se situant dans un intervalle de 2 à 5 ans.

Pour en arriver à ces conclusions, une collecte de donnée sur 7371 naissances entre 1987 et 2005 a été analysée. Les enfants nés moins de 12 mois après un autre enfant avaient 1,5 fois plus de risque d’être autistes que ceux nés entre 24 et 59 mois après la dernière grossesse.

Les enfants nés dans l’intervalle de 60 à 120 mois d’une précédente grossesse étaient 30 % plus à risque, alors que ce ratio montait à 40 % pour les enfants nés plus de 10 ans après le dernier enfant.

L’étude a été documentée dans le  Journal of the American Academy of Child and Adolescent Psychiatry.

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Un autre trouble génétique rare relié à l’autisme

Ce sont les affirmations de chercheurs des universités San Diego State et de la Californie, publiées dans la revue scientifique Genetics in Medicine.

Ils relient avec certitude le syndrome de Jacobsen à l’autisme. Selon eux, cette association offre également plus d’indices dans les fondements génétiques complexes du développement neurologique qui apparaît généralement durant les trois premières années de vie.

Cette maladie est engendrée par la délétion terminale 11q, soit l’absence d’une extrémité du chromosome 11. Les symptômes comprennent la déficience intellectuelle ainsi que des anomalies faciales, rénales et cardiaques. Le National Institute of Health affirme qu’une personne sur 100 000 en est atteinte.

« Il est devenu évident que les parents rapportaient des critères ressemblant à l’autisme », affirme la neuropsychologue Sarah Mattson, qui a assisté à la conférence sur cette maladie pour documenter ses recherches.

« Parce que le syndrome de Jacobsen est si rare, la conférence est très utile pour répondre à nos questions. »

Les scientifiques espèrent travailler de concert avec les parents dont les enfants sont atteints de la maladie pour développer d’autres études sur le sujet, rapporte Science World Report.

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Éliminer l’autisme, une promesse réalisable?

Une nouvelle étude américaine affirme que si l’on détecte les symptômes de l’autisme dans les 6 premiers mois de vie du bébé, il est possible de stopper et même d’inverser la progression de la maladie.

Habituellement, l’autisme est détecté vers l’âge de 3 ans, parfois plus tard, lorsqu’on note un retard social et d’apprentissage en général.

Les points communs sont entre autres le manque de contact visuel et d’interaction, des mouvements ou activités très répétitives, une difficulté de socialisation et un retard de langage. Il est cependant possible d’en détecter les premières ébauches dès 6 mois, indique Top Santé.

Publiée dans la revue Journal of Autism and Developmental Disorders, la recherche a mis en lumière l’importance de l’intervention quotidienne des parents auprès de leurs bébés autistes.

La moindre interaction, que ce soit pendant le biberon, le changement de couche ou le jeu, peut aider à développer les capacités d’apprentissage de l’enfant, jusqu’à éliminer l’écart entre lui et ses pairs.

Parmi les bébés ayant fait l’objet de l’étude, 6 sur 7 n’avaient plus de symptômes reliés à l’autisme à l’âge de 3 ans, rapportent les chercheurs de l’UC David MIND Institute, en Californie.

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Éliminer l’autisme, une promesse réalisable?

Une nouvelle étude américaine affirme que si l’on détecte les symptômes de l’autisme dans les 6 premiers mois de vie du bébé, il est possible de stopper et même d’inverser la progression de la maladie.

Habituellement, l’autisme est détecté vers l’âge de 3 ans, parfois plus tard, lorsqu’on note un retard social et d’apprentissage en général.

Les points communs sont entre autres le manque de contact visuel et d’interaction, des mouvements ou activités très répétitives, une difficulté de socialisation et un retard de langage. Il est cependant possible d’en détecter les premières ébauches dès 6 mois, indique Top Santé.

Publiée dans la revue Journal of Autism and Developmental Disorders, la recherche a mis en lumière l’importance de l’intervention quotidienne des parents auprès de leurs bébés autistes.

La moindre interaction, que ce soit pendant le biberon, le changement de couche ou le jeu, peut aider à développer les capacités d’apprentissage de l’enfant, jusqu’à éliminer l’écart entre lui et ses pairs.

Parmi les bébés ayant fait l’objet de l’étude, 6 sur 7 n’avaient plus de symptômes reliés à l’autisme à l’âge de 3 ans, rapportent les chercheurs de l’UC David MIND Institute, en Californie.

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Les enfants autistes ont trop de synapses cérébrales

Des chercheurs du Centre médical de l’Université Columbia à New York affirment que le surplus de synapses du cerveau, c’est-à-dire les terminaisons nerveuses responsables de la communication entre les cellules, serait l’un des facteurs responsables de la maladie.

Ils expliquent cependant qu’ils ont bon espoir de développer un traitement pour contrer ce surdéveloppement. Les scientifiques croient fermement que ce sont des anomalies du genre dans la structure cérébrale qui entravent le fonctionnement de ce dernier.

Les résultats publiés dans la revue Neuron sont expliqués par la Dre Guomei Tang. Elle a observé les synapses du cerveau de 26 enfants autistes et les a comparées à celles de 22 autres d’enfants en parfaite santé.

Tang a réalisé que chez les enfants sans trouble autistique, le nombre de synapses avait diminué de près de 50 % vers la fin de l’enfance. Celles des enfants autistes n’avaient diminué que de 16 %.

En parallèle, on a découvert que le Sirolimus, aussi appelé Rapamycine, un médicament de la catégorie des immunosuppresseurs, avait inversé le processus chez des souris.

En supprimant le surplus de synapses, indique Medical News Today, celui-ci avait également diminué les comportements autistiques des rongeurs.

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De plus en plus d’enfants atteints de troubles mentaux dans les familles aisées

En 2011, près de 6 millions d’enfants aux États-Unis vivaient avec un handicap physique ou mental, selon une étude de l’Université de Pittsburgh, en Pennsylvanie.

Les résultats qui paraîtront en septembre dans la revue Pediatrics démontrent qu’au cours des 10 dernières années, il y a eu une forte augmentation des cas notamment chez les enfants de familles plus aisées.

Même s’ils ne sont pas certains des facteurs responsables de l’augmentation des troubles mentaux chez les petits, les chercheurs avancent certaines théories. Entre autres, ils citent la prise de conscience accrue de l’autisme et une sensibilisation plus élevée des parents concernant l’état de santé général de leur progéniture.

Les données affirment qu’environ 103 enfants sur 1000 vivant sous le seuil de la pauvreté ont reçu un diagnostic de trouble de santé mentale.

Au cours des 10 dernières années, le taux d’invalidité pour cette catégorie de jeunes a augmenté de 10,7 %, alors que chez les enfants vivant avec des parents au revenu familial quatre fois plus élevé que le seuil de pauvreté, il y a eu la plus forte hausse, soit 28,4 %, rapporte Science World Report.