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LA Auto Show 2018 : Retrouvez le Lincoln Aviator 2019

Il avait disparu, mais il n’était pas mort.

L’Aviator renaît de ses cendres avec sa personnalité propre. Dévoilé sous forme d’un concept à New York en mars dernier, il se montre sous sa forme définitive au salon de Los Angeles.

Notez que ce Lincoln s’inscrit dans un marché mondial.

À première vue, ce nouveau membre de la famille Lincoln est pratiquement inchangé par rapport au concept. Et c’est tant mieux. Il sera livrable avec deux groupes motopropulseurs. Le premier est un V6 Biturbo de 3,0 litres pour 400 chevaux. Une version hybride rechargeable sera aussi au programme. Toujours équipé du même V6, mais couplé à la technologie électrique de Ford. Pas de détails là-dessus pour l’instant. Ce que l’on sait, c’est que ce groupe produira 450 chevaux.

Nous n’en savons pas plus sur son autonomie en mode électrique seulement et sur le temps de recharge. Cinq modes de conduites seront proposés sur les versions de base et deux de plus sur la version hybride. Une application appelée Lincoln Way permettra à son propriétaire de verrouiller, déverrouiller les portières, ouvrir le hayon et même démarrer son véhicule avec son téléphone intelligent sans utiliser une clé traditionnelle.

Soulignons enfin que le nouveau Lincoln Aviator dispose de trois rangées de sièges. Il sera prêt à la livraison en début d’été ici au Canada.

Photos : Lincoln

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Lexus LC 2018 : Juste spectaculaire

Depuis une dizaine d’années, le constructeur Toyota parle du retour de la Supra. Bien voilà que c’est Lexus qui s’est laissé tenter par ce créneau. La LC est un coupé de luxe qui vient s’installer dans le segment des BMW Série 8 qui arrivera cette année, Mercedes-Benz Classe S coupé et Audi RS5.

Si les stylistes ont toujours eu une certaine retenue dans leurs réalisations, cette fois-ci, ils se sont vraiment laissé aller. Le grand patron de Toyota leur avait lancé un message il y a quelques années. Chose demandée, chose faite. Avouons que cette LC est spectaculaire. Aux allures de voiture sortie tout droit d’un film, sa silhouette ne laisse personne indifférent. Et c’est plutôt rare que la voiture de production ressemble autant à une voiture concept.

 

Élancée, élégante tout en présentant une allure des plus agressives, cette Lexus porte fièrement cette grande grille trapézoïdale, identité de la marque. Lorsque l’on monte à bord, le coup d’?il est tout aussi impressionnant. Si le tableau de bord se dessine sur deux niveaux, il l’est également sur deux profondeurs. La nacelle des principaux instruments domine la planche de bord tandis que l’écran multimédia grand format se loge sur le deuxième palier en retrait.

Comme toute bonne voiture grand tourisme de haut rang, les cuirs et suèdes sont d’une remarquable qualité. L’assemblage est sans reproche.

L’aspect mécanique demeure dans la continuité de l’histoire de Lexus. Une version à moteur atmosphérique, la LC 500, est équipée du V8 de 5,0 litres pour 571 chevaux. L’ensemble se complète par une boîte automatique à dix rapports. De l’autre côté, une version hybride, la 500h, s’installe avec la combinaison du V6 de 3,5 litres et d’un moteur électrique pour une puissance totale de 354 chevaux.

La puissance est probante dans les deux cas, mais il faut tout de même souligner le poids élevé de ce coupé.

Cette LC annonce de belles choses chez Lexus.

Pour :

  • Silhouette spectaculaire
  • Habitacle impressionnant
  • Qualité d’exécution

Contre :

  • Manette multimédia trop sensible
  • Poids élevé
  • Coffre petit

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Lexus NX 2018 : Quelques retouches!

Le NX est arrivé sur le tard en sol nord-américain. Nous l’avions aperçu lors de l’un de nos voyages au Japon. Nous l’avions reconnu par sa grille identitaire à la marque Lexus. Pour 2018, il se voit légèrement transformé autant à l’avant qu’à l’arrière. 

Le NX loge dans une catégorie plutôt achalandée. Suffit de penser aux Acura RDX, Audi Q3 et le Porsche Macan. Les souliers sont grands à chausser! Disons que la silhouette du NX n’est pas usuelle. Son nez nettement trop long  disproportionne le reste. Les passages de roues bien galbés lui donnent un look plus sportif, mais c’est insuffisant pour en améliorer l’ensemble. Désolé, mais c’est notre impression!

 

Pour ce qui est de l’habitacle, c’est une autre histoire. La présentation est moderne et réalisée avec soin. Comme la clientèle visée se veut plus jeune, les matériaux nobles laissent place à l’aluminium brossé. Le dessin de la partie centrale du tableau de bord est plutôt original. L’écran multimédia se dépose sur sa partie supérieure. Il est le plus spacieux du lot. Autant pour les passagers que pour le coffre. Plus de 475 litres en volume de chargement.

Un peu comme chez Mercedes-Benz, il est important de conserver une perception positive quant à la dénomination. Malgré une diminution de la cylindrée, la nomantlature doit demeurer. Voilà probablement la raison pour laquelle le NX 200t devient le NX 300. Pourtant, il conserve la même motorisation soit le moteur quatre cylindres turbo de 2,0 litres. Les 235 chevaux extirpés sont couplés à une boîte automatique à six rapports. Dans tous les cas, le rouage intégral est de série.

Si vous aimez le style, le NX propose une qualité de finition haut de gamme et une fiabilité remarquable. De plus, sa conduite est dynamique. Maintenant, l’achat d’une voiture demeure, en grande partie, très émotif.

Pour :

  • Équipement complet
  • Fiabilité
  • Finition haut de gamme

Contre :

  • Prix élevé
  • Silhouette discutable
  • Version hybride sans saveur

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Lexus LS : De pépère à sexy

Pendant plus d’une quinzaine d’années, la Lexus LS était synonyme de voiture ennuyante, au profil assez anonyme et dont l’agrément de conduite n’intéressait que les personnes qui n’étaient intéressées qu’au confort.

Cette fois, cette nouvelle génération conserve les qualités qui ont été toujours associées à ce modèle tout en ajoutant une silhouette spectaculaire, un habitacle quasiment futuriste et un comportement routier nettement plus dynamique que précédemment.

En fait, en conduisant, on se demande si on est vraiment à bord d’une Lexus.

Comme c’est maintenant le cas pour tous les modèles de cette marque, la principale est cette grille de calandre en forme de sablier dotée de grillages assez percutants. De plus, sur ce modèle, comme on n’avait pas l’intention de le faire paraître plus petit qu’il était, on a même poussé vers l’avant toute la calandre. De chaque côté de celle-ci, on retrouve des phares de route dont le bloc optique est en forme de la lettre « Z » et intégrant trois unités de phares. C’est à la fois pratique et élégant. La silhouette, comme le veut la mode actuelle, s’inspire de celle des coupés quatre portes et se prolonge sur un couvercle de coffre à bagages avec becquet intégré.

 

L’habitacle est spectaculaire à plusieurs points de vue, ne serait-ce que la garniture des portières, certains éléments métalliques très stylisés ainsi qu’une planche de bord ultramoderne mais pas nécessairement toujours facile à consulter. Soulignons au passage les places arrière composées de deux sièges individuels dotés de multiples réglages et pouvant s’incliner de façon assez spectaculaire.

Ce modèle ,maintenant disponible en une seule longueur, est plus long que précédemment, plus large et par le fait même offrant une meilleure habitabilité. Il partage sa plate-forme avec que le coupé LC 500 et représente ainsi ce qui est le plus moderne chez Lexus. 

Le moteur V8 a été abandonné au profit d’un V6 3,5 litres à double turbo d’une puissance de 415 chevaux. Il est associé à une boîte automatique à 10 rapports. Comme le veut la logique de ce constructeur, une version hybride faisant appel au même V6 et à un moteur électrique produit une puissance totale de 354 chevaux.

Cette nouvelle LS est non seulement dynamique au chapitre de son allure, mais également en fait de conduite. C’est nettement plus relevé que précédemment et qui devrait plaire aux amateurs de conduite.

Pour :

  • Silhouette spectaculaire
  • Tableau de bord futuriste
  • Tenue de route améliorée

Contre :

  • Visibilité arrière perfectible
  • Certaines commandes complexes
  • Prix élevé

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Lexus RC 2018 : La raison plutôt que l’émotion?

Souvent boudés au profit des voitures allemandes de la compétition,  les coupés « RC«  de la famille Lexus ont de la difficulté à se tailler une place sur le marché. Introduits  il y a seulement 4 ans, ce sont pourtant des véhicules complets et ultras fiables. Pour 2018, ils sont de retour dans la gamme du manufacturier japonais sans aucun changement majeur.

D’un premier coup d’oeil, on peut certainement affirmer que le coupé RC est une des plus belles voitures à avoir été mise en marché par la marque de luxe de Toyota. Bien que dérangeante à première vue, on s’habitue rapidement à son immense grille en forme de sablier qu’elle partage maintenant avec l’ensemble des véhicules de la gamme. De profil, son design est homogène et ses lignes sont très ciselées.

 

La présentation intérieure du RC est impressionnante. On y retrouve des matériaux de bonne qualité aux quatre coins de son habitacle et sa finition est sans reproche. Un seul petit bémol concernant son  fameux système multimédia et son système "touchpad" incorporé à la console centrale. Il est difficile d’utilisation et demande beaucoup d’attention de la part du conducteur pour naviguer entre les différents menus.

Tout dépendant de la version choisie, quelques choix de motorisations vous seront offerts. Pour débuter, un moteur V6 3,5 Litres d’une puissance de 255 ou de 307 chevaux. Le modèle le plus sportif nommé RC-F est muni d’une mécanique V8 d’une sonorité tout à fait mélodieuse. Bien qu’il est handicapé  légèrement en raison du poids de cette grosse mécanique, le RC-F promet d’excellentes performances du haut de ses 467 chevaux.

À noter que le système de rouage intégral disponible rehausse beaucoup les capacités hivernales de ce joli coupé.

POUR :

  • Excellente fiabilité
  • Look moderne
  • Habitacle de qualité

CONTRE :

  • Système multimédia complexe
  • Visibilité arrière difficile
  • Prix  élevé de certaines versions

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LA Auto Show 2018 : Découvrez le RIVIAN R1T

Avec le pick-up Rivian R1T maintenant dévoilé, juste avant le salon de l’auto de Los Angeles, et le SUV R1S devant être présenté à ce même salon cette semaine, Rivian, une startup de véhicules électriques basée dans le Michigan, pourrait avoir quelque chose dont bien des gens attendaient: le premier pick-up léger entièrement électrique et disponible pour le grand public

En plus de cela, il pourrait avoir le premier bloc batterie nettement plus volumineux que celui utilisé par Tesla, le plus de puissance et de couple jamais atteint dans un camion léger de production normale, et le premier véhicule DC à charge-rapide pouvant être chargé à plus de 150 kW.

Les camions que Rivian a dévoilés cette semaine regorgent d’idées géniales et de conceptions apparemment efficaces, mais elles demeurent encore avec beaucoup de « si » et « peut-être », car elles sont encore loin d’être prêtes à la production. À environ deux ans des premières livraisons, tous ces points forts se retrouvent dans l’hypothétique – car ils dépendent de la capacité de Rivian à produire ses camions dans une ancienne usine Mitsubishi (et Chrysler) à Normal, dans l’Illinois, et à soutenir ces produits.

Le produit, s’il arrive avec l’apparence et la performance tel que promise, serait un moyen bienvenu pour les camionneurs de se passer du tuyau d’échappement. Le R1T mesure 215,6 pouces de long, soit à peu près la longueur des camionnettes de taille moyenne d’aujourd’hui. Mais sa largeur de 79,3 pouces et son empattement de 135,8 pouces sont plus en ligne avec les camions de grande taille. So on tient compte de la longueur du lit de 55 pouces (même que pour les camions de taille moyenne), on obtient une cabine très spacieuse pour les passagers.

Avec des batteries initialement disponibles de 135 et 180 kWh, quatre moteurs auront chacun une puissance nominale de 174 chevaux. Comme pour Tesla, une version moins chère avec une batterie plus petite de 105 kWh et une puissance de sortie totale (combinée) inférieure à 402 chevaux (300 kW) rejoindra la gamme plus tard, un an après son lancement, dit Rivian.

Les estimations d’autonomie de Rivian à ce stade sont de plus de 300 milles (482km) pour les 135 kwh, de plus de 400 milles (643km) pour les 180 kwh et de 230 milles (370km) pour les 105 kwh.

Le couple total de 820 lb-pi dans les modèles dotés de blocs d’alimentation plus puissants n’est dépassé que par les plus gros V-8 diesel proposés dans les camionnettes extra-robustes. Avec une limite de poids de la remorque de 11 000 livres, il sera en mesure d’utiliser ce couple à bon escient sur route, ou dans des tâches hors route telles que grimper à une pente de 45 degrés, patauger dans 39 pouces d’eau ou man?uvrer de manière sérieuse sur des sentiers hors route avec des angles de départ semblables à ceux de Jeep.

Le véhicule a été développé sur une toute nouvelle plate-forme qui prend en charge les mises à jour en direct pour les fonctions et les performances du véhicule, et se connecte à ce que Rivian décrit comme «un écosystème cloud pour l’échange et le traitement de données, permettant des services d’apprentissage et de science des données."

Rivian vise un prix de base attrayant de 69 000 dollars U.S. (61 500 dollars après le crédit d’impôt fédéral) et indiquait précédemment un prix d’environ 90 000 dollars U.S. pour la version haut de gamme. Il prévoit de commencer les livraisons à la fin de 2020 pour le R1T et au début de 2021 pour le SUV R1S et accepte des dépôts de 1 000 dollars.

Photo : Rivian

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LA Auto Show 2018 : Genesis G90 2020, un look encore plus distinctif

Genesis pointe sa berline phare dans une direction totalement nouvelle.

Si vous espériez une mise-à-jour majeure de la berline de luxe qui a fait ses débuts en 2015, vous avez de la chance – Genesis a complètement retravaillé l’extérieur. De nouveaux carénages avant et arrière, un profil plus prononcé complètent le design de la nouvelle voiture.

La calandre s’effile vers un point cette fois-ci et les feux de croisement dépassent le bord des phares jusqu’au bord des pare-chocs avant. C’est un peu étrange, mais je dirais que Genesis s’efforce beaucoup plus de faire ressortir ce G90 de la première génération.

«Le G90 est l’expression ultime de la marque Genesis», a déclaré Luc Donckerwolke, responsable du design chez Genesis.

«Avant même que le premier croquis ne soit dessiné, mon équipe de concepteurs a réfléchi à la manière de faire évoluer son style et de créer quelque chose d’encore plus élégant et harmonieux.»

La suppression active du bruit et la suspension adaptative permettent une conduite silencieuse et en douceur. Outre une pléthore sacs gonflables, la G90 est également dotée des fonctions d’assistance en matière de suivi de voie, de trafic transversal arrière et d’évitement des collisions avant et d’aide aux sorties en toute sécurité.

Nouvelle carrosserie, mêmes groupes motopropulseurs

L’un des domaines dans lequel la Genesis G90 2020 n’a pas changé est sous le capot. Selon la déclaration de Genesis, vous bénéficiez toujours des deux mêmes choix de groupe motopropulseur que le vieux G90. Cela signifie soit un V-6 de 3,3 litres bi-turbocompressé, soit un V-8 de 5,0 litres à aspiration naturelle de 420 chevaux. Les deux moteurs sont couplés à une transmission automatique à huit vitesses.

Les prix de la Genesis G90 2020 n’a pas encore été annoncée. Cependant, par rapport à la génération précédente, nous ne nous attendons pas à ce que la nouvelle voiture soit beaucoup plus chère.

Photo : Genesis

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LA Auto Show 2018 : Genesis G90 2020, un look encore plus distinctif

Genesis pointe sa berline phare dans une direction totalement nouvelle.

Si vous espériez une mise-à-jour majeure de la berline de luxe qui a fait ses débuts en 2015, vous avez de la chance – Genesis a complètement retravaillé l’extérieur. De nouveaux carénages avant et arrière, un profil plus prononcé complètent le design de la nouvelle voiture.

La calandre s’effile vers un point cette fois-ci et les feux de croisement dépassent le bord des phares jusqu’au bord des pare-chocs avant. C’est un peu étrange, mais je dirais que Genesis s’efforce beaucoup plus de faire ressortir ce G90 de la première génération.

«Le G90 est l’expression ultime de la marque Genesis», a déclaré Luc Donckerwolke, responsable du design chez Genesis.

«Avant même que le premier croquis ne soit dessiné, mon équipe de concepteurs a réfléchi à la manière de faire évoluer son style et de créer quelque chose d’encore plus élégant et harmonieux.»

La suppression active du bruit et la suspension adaptative permettent une conduite silencieuse et en douceur. Outre une pléthore sacs gonflables, la G90 est également dotée des fonctions d’assistance en matière de suivi de voie, de trafic transversal arrière et d’évitement des collisions avant et d’aide aux sorties en toute sécurité.

Nouvelle carrosserie, mêmes groupes motopropulseurs

L’un des domaines dans lequel la Genesis G90 2020 n’a pas changé est sous le capot. Selon la déclaration de Genesis, vous bénéficiez toujours des deux mêmes choix de groupe motopropulseur que le vieux G90. Cela signifie soit un V-6 de 3,3 litres bi-turbocompressé, soit un V-8 de 5,0 litres à aspiration naturelle de 420 chevaux. Les deux moteurs sont couplés à une transmission automatique à huit vitesses.

Les prix de la Genesis G90 2020 n’a pas encore été annoncée. Cependant, par rapport à la génération précédente, nous ne nous attendons pas à ce que la nouvelle voiture soit beaucoup plus chère.

Photo : Genesis

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Il neige ! Ma voiture autonome est aveugle !

Il ne se passe pas une semaine et parfois quelques jours sans que des chaînes télévisées, des sites internet ou encore les journaux nous proposent un reportage portant sur la voiture autonome.

C’est souvent fort dithyrambique en nous affirmant que c’est la voiture de demain, la solution pour améliorer la sécurité routière et on nous montre généralement une personne se tenant les mains loin du volant, mais prête à intervenir en tout temps. La vision de l’avenir?

Cette Chevrolet Bolt 100 % électrique est modifiée en voiture autonome dans le cadre de mise au point des voitures autonomes. Espérons que ces essais permettront d’empêcher la neige et la brume de rendre le système autonome inopérant.

Dans un premier temps, nous sommes loin des descriptions futuristes alors qu’on voit les occupants jouant aux cartes, regardant un film sur l’un des écrans d’affichage ou s’occupant à toute autre activité indépendante de la conduite elle-même.

Il est vrai qu’en théorie, l’autonomie des véhicules sur la route permettra de mieux gérer le flot de la circulation et de réduire le nombre d’accidents. Malheureusement, on parle souvent des voitures autonomes lorsqu’un accident de la route survient. On laisse alors planer le doute que cette technologie n’est pas tout à fait au point. C’est aussi exagéré que les visions enthousiastes et positives de l’avenir.

D’ailleurs, même si les constructeurs automobiles investissent des dizaines et même des centaines de millions de dollars, d’euros ou de yens pour accélérer le développement de cette technologie, c’est se leurrer de croire que d’ici 10 ans, une grande partie du parc automobile sera à conduite autonome. Il y a trop de facteurs entrant dans l’équation pour que cela se fasse aussi rapidement.

Il est vrai que la technologie de la voiture autonome a quand même passablement avancé, mais il y a un problème : la météo.

En effet, la plupart des essais de ces voitures s’effectuent en Floride, en Californie, tous des endroits où les conditions climatiques sont t bonnes : peu de pluie, généralement aucune chute de neige et encore moins de brume. La raison est bien simple, l’accumulation de neige ainsi que les projections de la route sur les différents capteurs gérant la conduite autonome rendent la chose impossible.

Au mieux, lorsque la voiture autonome sera popularisée, on pourra profiter de cette technologie par beau temps et dans certaines conditions particulières. Oublier de quitter le volant des mains lorsqu’une chute de neige vient obstruer les capteurs et caméras du système.

D’ailleurs, la plupart des voitures relativement sophistiquées sont dotées de nos jours de systèmes d’activation d’alarme de proximité, de régulateur de croisière intelligent gérant la distance présélectionnée par rapport aux véhicules qui nous précèdent et de différents autres éléments visant la sécurité et la gestion du véhicule. Cependant, il m’est arrivé au cours de chutes de neige de voir apparaître au centre d’information que les capteurs sont obstrués par des saletés ou de la neige, et que les systèmes ne peuvent fonctionner efficacement.

On peut toujours espérer ou même rêver que la voiture autonome sera majoritaire sur nos routes, mais on peut en douter malgré tous les efforts et la conviction des grands constructeurs. Il y aura des voitures qui offriront une certaine autonomie, et cela permettra de mieux régler le flot de la circulation et certainement de réduire le nombre d’accidents.

En revanche, je ne parierais pas sur ma voiture autonome dans le cadre d’une tempête de neige et circulant sur une chaussée glacée. Probablement que le système dirigera la voiture sur l’accotement et attendra que les choses s’améliorent.

Reste à savoir si la solution est viable à moyen et long terme. D’autant plus que les caprices de plus en plus fréquents de la météo viendront souvent gâter les choses.

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Arnold Schwarzenegger récupère 2.5M$

Arnold Schwarzenegger a vendu l’une de ses voitures de luxe pour la coquette somme de 2.5 millions de dollars, rapporte TMZ.

Il s’agit d’une superbe Bugatti Veyron 2015, qui n’avait que peu de kilomètres au compteur et qui se trouvait en parfait état.

Selon cette même source, l’acheteur de la voiture de la légendaire superstar du cinéma d’action et ancien gouverneur de la Californie n’est nul autre que « Dr. Bugatti », soit Obi Okeke, qui se fait une spécialité de ce genre de véhicule.

TMZ rapportait la vente d’une autre Bugatti au boxeur Floyd Mayweather par ce même Okeke, en août 2015.

« Dr. Bugatti » prévoit également revendre celle de M. Schwarzenegger.

Crédit photo : BANG/BIG