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Le système d’autodestruction des cellules : la clé de la guérison du cancer

Les cellules programmées pour la destruction sont automatiquement inhibées lorsqu’un être a un cancer. Ce système d’autodestruction, appelé l’apoptose, assure l’équilibre de la production et suppression de cellules nécessaire à notre régénération et notre développement.

Des recherches ont déjà développé des traitements contre le cancer qui visent à supprimer le signal de surproduction de cellules ou en restaurant les fonctions des cellules autodestructrices. Selon The Conversation, les résultats sont prometteurs.

Dans le processus normal de l’organisme, l’apoptose surviendrait dès que les cellules qui forment des tumeurs commenceraient à proliférer. Voilà pourquoi les scientifiques orientent leurs recherches en ce sens.

Les recherches en sont encore à leurs débuts, et les plus gros défis devront être surmontés, puisque par définition, les cellules « faites pour survivre » sont beaucoup plus difficiles à détruire et plus aptes à se modifier pour adopter un autre mode de survie.

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Une grande percée dans la lutte contre le cancer du sein

Des chercheurs du Queen’s University à Belfast sont parvenus à créer la technologie d’un nouveau gène capable de causer l’autodestruction des cellules du cancer du sein.

L’International Pharmacy Journal mentionne qu’en utilisant un minuscule système de transport, des gènes peuvent être amenés directement dans les cellules du cancer, provoquant ainsi leur mort.

Ce système de transport baptisé le Designer Biomimetric Vector ressemble à un gène de la taille d’une nanoparticule 400 fois plus petite que la largeur d’un cheveu humain.

Les résultats en laboratoire ont été très positifs, et l’on croit que cette technique pourrait aider à traiter les personnes avec un cancer avec métastases qui s’est propagé dans les os. Toutefois, selon la Dre Helen McCarthy, cette technique devrait être utilisée avant que la personne ne reçoive des traitements de radiothérapie et de chimiothérapie.

Cette attaque de gènes dans les cellules les rendrait plus vulnérables et plus faciles à détruire qu’avec les traitements usuels. De plus, cela permettrait de diminuer les effets secondaires.

Maintenant, il reste à convertir ces nanoparticules en poudre sèche qui pourra être transportée et reconstituée avant d’être donnée aux patients.