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Dépression et psychose : Florence K se confie

Suite à une terrible dépression, Florence K se confie sur le chemin qui l’a mené là, et celui qu’elle a dû prendre pour s’en sortir, dans son nouveau livre intitulé Buena Vida.

Dépression, anxiété, idées suicidaires, automutilation, l’artiste raconte comment une vie pourtant bien bâtie a pu se transformer en cauchemar, rapporte le Journal de Québec

«J’ai écrit ce qui se passait dans ma tête à l’époque», dit-elle en entrevue.

«C’est pour ça que j’ai écrit le livre au présent. Plein de souvenirs de cette période me sont revenus pendant l’écriture. Des trucs que j’avais dû réprimer. Je me disais: Oh, my God, c’est arrivé pour vrai!»

Après avoir été hospitalisée et traitée, Florence K se porte aujourd’hui très bien et se dit beaucoup mieux outillée pour faire face aux problèmes de la vie.

«J’ai les outils pour ne pas que ça se transforme en anxiété. Les peurs, je les gère. Comme je le dis à la fin du livre, j’ai probablement une prédisposition. Ce n’est pas tout le monde qui se rend à la psychose», croit Florence K.

Le livre Buena Vida sort aujourd’hui, le 14 octobre. Au printemps prochain, Florence K lancera également un album dans lequel elle interprète des classiques de jazz.

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Bébé et cie

Que cache l’automutilation chez l’adolescent?

Un enfant ou un adolescent qui sent le besoin de s’automutiler peut avoir un trouble de la personnalité, un trouble de l’alimentation ou être incapable de verbaliser ce qu’il vit au niveau émotionnel.

Une étude récente, publiée dans la revue British Medical Journal, a prêté attention aux statistiques, notamment basée sur la participation de 4799 adolescents.

On a réalisé que près d’un élève sur 5 avait déjà porté des gestes d’automutilation. Dans la plupart des cas, ceux-ci affirmaient ne pas avoir demandé d’aide, du moins pas encore.

Malheureusement, en regardant l’évolution au terme de 5 ans, les chercheurs ont réalisé que la problématique avait pris de l’ampleur. Certains en étaient aux tentatives de suicide, mentionne Science World Report.

Il n’a pas été étonnant pour les experts de réaliser que ceux qui étaient le plus à risque d’automutilation étaient ceux qui cachaient une maladie sous-jacente, diagnostiquée ou non.

« Nous avons ainsi démontré pour la première fois que les adolescents qui se blessent volontairement sont plus enclins à rencontrer de nombreuses conditions défavorables dès leur entrée dans la vie adulte », a expliqué Dre Becky Mars

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Un adolescent sur 10 a déjà considéré l’automutilation

L’automutilation et la surdose sont les deux solutions en tête de liste chez les adolescents qui vivent des problèmes sérieux au niveau personnel, émotionnel ou de santé mentale.

Les résultats du sondage annuel Young Life and Times (YLT) démontrent cependant que malgré les campagnes de sensibilisation aux troubles mentaux et les améliorations du système de santé, les données ne se sont pas améliorées en 5 ans.

Parmi les 1367 adolescents de 16 ans ayant participé au sondage, et ce, à travers l’Irlande du Nord, près d’un tiers admet avoir vécu l’un ou l’autre des problèmes mentionnés à un certain point dans la dernière année.

Medical News Today rapporte que :

– Seulement le tiers de ceux qui ont vécu cette détresse ont demandé de l’aide professionnelle.

– 13 % des répondants ont sérieusement pensé à faire une surdose ou se faire du mal, 6 % ont répondu qu’ils y avaient pensé à l’intérieur du dernier mois.

– 13 % des répondants ont avoué être passés à l’acte pour l’automutilation, dont 5 % une seule fois, et 8 % plus d’une fois.

La raison principale de ce comportement chez l’adolescent est pour « se punir ».

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L’automutilation chez les jeunes est différente de celle des adultes

Pour le bien d’une étude, un chercheur a relevé les résultats d’un sondage mené auprès de 1000 jeunes. 40 % de ceux-ci avaient déjà eu un comportement d’automutilation.

Toutefois, seule une faible proportion de ceux-ci le faisaient sur une base régulière et d’une manière qui pouvait ressembler à l’automutilation chez les adultes qui ont un trouble de santé mentale.

« Il est important que les écoles et les professionnels de la santé sachent comment aider les jeunes qui s’automutilent. Ils doivent savoir réagir correctement et ne pas les juger tous de la même manière. Chez plusieurs jeunes, cette pratique peut être relativement inoffensive et souvent temporaire. Cela peut être vu comme une certaine forme d’expérimentation, ou encore refléter des problèmes qui ne sont pas vraiment sérieux », a affirmé l’auteur de l’étude, le psychologue Jonas Bjärehed, selon PsychCentral.

Par contre, le Dr Bjärehed a également affirmé que de plus en plus de jeunes éprouvent des problèmes reliés au stress et à la maladie mentale, ajoutant que si les jeunes s’automutilent, ils ont un risque plus grand de récidiver et d’en arriver à un problème.

Les résultats de cette étude, réalisée en Suède, ont récemment été présentés comme soutien à une thèse de doctorat à l’Université de Lund.

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Intimidation : les enfants sont plus susceptibles de s’automutiler

Les filles seraient plus concernées que les garçons par ce comportement autodestructeur.

S’infliger des blessures et des dommages physiques peut se traduire par s’entailler les bras, se mordre, se brûler, se frapper certaines parties du corps, s’arracher les cheveux, rouvrir d’anciennes cicatrices et ingérer des produits toxiques.

Le comportement fatal peut même aller jusqu’au suicide par strangulation, révèle l’étude anglaise et américaine dans le BMJ.

Les chercheurs spécifient que les enfants victimes d’intimidation sont également souvent entourés d’éléments qui augmentent les risques d’automutilation, comme les mauvais traitements durant l’enfance (négligence, sévices, etc.), les histoires de famille perturbatrices, les problèmes affectifs et autres.

C’est en observant des jumeaux nés entre 1994 et 1995 et leur comportement six mois avant leur douzième anniversaire que les enquêteurs ont constaté que sur 2141 participants, 237 enfants étaient victimes d’intimidation.

Parmi ces derniers, 8 % avaient déjà commis un acte d’automutilation, contre 2 % dans le groupe jamais intimidé.

Les spécialistes croient que plus de programmes devraient être mis en place dans les écoles et cliniques pour soutenir les enfants pris dans cette détresse psychologique et les victimes de l’intimidation.