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Bébé et cie

Responsabiliser les enfants est excellent pour la confiance en soi

Détachez-vous un peu pour les aider à se sentir importants et à améliorer leur confiance en eux, suggère Parenting Squad.

Laissez-les terminer leurs projets

Plutôt que de toujours accourir à leur secours, sachant que tout ira plus vite, permettez-leur de mettre un peu d’efforts et d’être fiers d’avoir tout terminé eux-mêmes.

Laissez-les échouer

Nous vivons dans la peur de l’échec, mais ce n’est pas une raison pour la transmettre à nos jeunes. Emprunter les chemins les moins fréquentés risque de les faire échouer, mais il y a des leçons, derrière ces expériences, qui valent le détour.

Les tâches ne sont pas des punitions

Au contraire, elles représentent la discipline, élément avec lequel ils devront être conciliants toute leur vie. Mais surtout, ne leur dites pas comment faire. Laissez-les développer leur propre méthode. N’hésitez pas non plus à leur apprendre à faire la cuisine.

Laissez-les seuls à la maison

Allez-y par étape, dès 12 ou 13 ans. Partez pour l’épicerie. Ensuite, lorsqu’ils sont à l’aise, faites les courses. Et éventuellement, lorsqu’ils gagnent en âge, allez passer une soirée chez des amis.

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Des Québécois prêts à payer pour améliorer le système de soins à domicile

Signe que les mentalités évoluent ou que la situation a finalement atteint un certain point de non-retour, Radio-Canada rapporte qu’une proportion considérable de Québécois accepterait maintenant de débourser pour améliorer certains services au sein du système de santé.

C’est ce qui ressort d’un sondage Léger effectué en août dernier auprès de 810 répondants, et qui traduit peut-être le début d’une nouvelle mentalité québécoise.

44 % des répondants se disent en effet prêts à débourser davantage afin d’assurer le financement et l’amélioration de services à domicile, contre 33 % qui se positionnent contre l’idée.

22 % n’ont pas jugé bon répondre ou n’avaient tout simplement pas les informations nécessaires pour faire un choix éclairé. Quoi qu’il en soit, qu’une majorité de personnes soient pour une hausse des contributions étonne déjà en soi.

« Nous sommes à l’heure où la société québécoise devra faire le choix de contribuer davantage pour les services de santé et de maintien à domicile des personnes en perte d’autonomie », lance Lise Denis, porte-parole de la Semaine des droits des usagers, pour qui le sondage avait justement été commandé.

Avec près de la moitié du budget provincial englouti en santé et un vieillissement de la population fulgurant à prévoir au cours des prochaines décennies, plusieurs croient maintenant qu’il est temps d’agir.

Le débat ne fait bien entendu que commencer.

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Les enfants « velcro »

Tel qu’expliqué sur Parenhood, le Dr Kyle Pruett, un psychiatre au Centre d’étude de l’enfance à Yale, dit qu’il est tout à fait normal pour les enfants de 1 à 3 ans de s’accrocher à leurs parents. Il explique que ce comportement relève surtout de l’instinct et se déroule très graduellement.

Ainsi, en plein processus d’apprentissage de l’autonomie, certains moments peuvent s’avérer effrayants. C’est pourquoi le bambin ressentira le besoin d’être sécurisé, sentiment qu’il obtiendra en s’accrochant aux jambes de ses parents.

« Il est très important pour les parents de comprendre que s’accrocher à eux fait partie d’une réaction de rebrousse-chemin. C’est la façon pour l’enfant de dire “Je suis allé trop loin, j’ai besoin de maman ou de papa, j’ai peur” », dit le docteur. « C’est une réponse naturelle au processus de développement de son individualité. »

Mais comment expliquer l’absence de ce comportement chez certains enfants? Pruett rappelle : « Essayer de précipiter prématurément un enfant vers l’autonomie, c’est comme essayer de le mettre propre trop tôt. Ça pourrait retarder le processus. Si vous attendez le développement naturel de maturation de votre enfant, le chemin sera beaucoup plus facile ».

Bref, à chaque enfant son rythme!

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Contrôler ses gestes par la pensée

En contrôlant leurs gestes par leur pensée, les personnes handicapées physiquement pourraient gagner un peu d’autonomie et ainsi améliorer leur qualité de vie.

Le mouvement des muscles est contrôlé par le cerveau. Cependant, une lésion de la moelle épinière, un AVC ou des troubles neuromusculaires peuvent empêcher ce mouvement et, par le fait même, causer la paralysie.

Les chercheurs de la Brown University, du Massachusetts General Hospital et de la Harvard Medical School ont donc créé une interface cerveau-ordinateur, le BrainGate, qui rétablit la connexion entre le cerveau et un dispositif à l’extérieur du corps.

En fait, l’appareil détecte l’activité des cellules du cerveau et transforme ces signaux en données numériques qui activent les appareils externes.

Rappelons qu’une nouvelle approche d’intervention a vu le jour l’an dernier en Alberta dans le but de mieux traiter la paralysie cérébrale chez les enfants. Au lieu de se baser sur la posture ou les aptitudes à faire des mouvements, cette méthode d’intervention porte plutôt sur le milieu de vie de l’enfant et le jeu.

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L’autorité du père quand l’enfant vieillit

À l’approche de la fête des Pères, on peut lire toutes sortes de nouvelles recherches sur la place que ceux-ci occupent au sein d’une famille.

C’est le cas d’une étude parue dans le Journal of Youth and Adolescence, qui a défini en quoi peut consister une bonne relation avec le père et l’autorité en découlant.

Il semble donc qu’un père qui donne de l’amour et qui a de hautes attentes quant à l’autonomie de ses enfants aura une meilleure relation avec eux.
 
C’est-à-dire que ces pères privilégient une belle relation avec leur enfant, et que ce dernier démontrera plus de respect et d’estime de soi.
 
Finalement, plus tard dans la vie, le papa demeurera plus près de sa famille et il aura une plus grande autorité parentale quant aux questionnements sur les études et le choix de carrière, par exemple.

Malgré tout, il faut mentionner qu’il ne s’agit pas là d’un autoritarisme, mais d’une influence positive et d’un rôle de conseiller.

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Les bienfaits de l’alcool sur l’autonomie

Une étude menée par le Dr Arun S. Karlamangla, de l’école de médecine David Geffen de l’Université de la Californie à Los Angeles, nous apprend tous les bienfaits d’une consommation modérée d’alcool chez les personnes âgées de 50 ans et plus.

Selon lui, les participants à sa recherche sont 25 % moins à risque de perdre leur autonomie et peuvent ainsi vaquer à leurs activités quotidiennes comme la marche, s’habiller, manger et faire les courses.

Toutefois, les buveurs notoires et ceux qui s’abstiennent de consommer de l’alcool ne présentent pas les mêmes effets bénéfiques au niveau du maintien à domicile des personnes âgées.

Tous les détails de cette étude sont publiés sur le site Internet de l’American Journal of Epidemiology.