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Klox reçoit l’aval du Canada et peut commercialiser son Lumigel

L’entreprise Klox Technologies confirme l’approbation des autorités canadiennes en lien avec son nouveau produit contre l’acné, le Lumigel, et pourra donc conséquemment le commercialiser sur l’ensemble de notre territoire.

Malgré son nom, Klox est une entreprise québécoise, apprend-on via le même communiqué qui annonce la bonne nouvelle, et affirme posséder avec Lumigel une méthode révolutionnaire de traitement de la peau et de l’acné, qu’elle soit légère ou grave.

« KLOX est extrêmement fière de recevoir sa première approbation au Canada. Il s’agit d’une étape importante s’inscrivant parfaitement dans la stratégie réglementaire que nous mettons en œuvre à travers le monde. Nous avons d’ailleurs soumis une demande d’obtention du marquage CE en Europe… KLOX est en mesure de poursuivre activement son double objectif : générer des bénéfices importants pour ses actionnaires et faire progresser son portfolio de produits visant à combler des besoins insatisfaits en dermatologie », lance Lise Hébert, docteure et présidente chez Klox Technologies.

Reste à voir les résultats concrets sur le visage des patients qui souffrent de l’acné, un problème qui peut s’avérer dévastateur sur le plan social et mental, et nettement plus important que le portefeuille des actionnaires. 

Un autre produit contre l’acné efficace, Accutane, fait quant à lui l’objet d’une controverse et d’un débat depuis plusieurs années. Cependant, les résultats sont probants chez un bon pourcentage de patients. Lumigel viendra-t-il combler le vide et l’absence de solution alternative à l’Accutane de façon efficace?

On rappelle l’importance de consulter un médecin ou un dermatologiste certifié avant de commencer l’utilisation d’un nouveau produit pour la peau.

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Washington renonce à autoriser les petits canifs à bord des avions

Le gouvernement américain a renoncé mercredi (5 juin) à autoriser à bord des avions les canifs de poche et certains articles de sport, comme les clubs de golf ou les crosses de hockey, comme il l’avait annoncé début mars.

Ce rétropédalage a été rendu public par l’Agence américaine de sécurité dans les transports (TSA) après une levée de boucliers de compagnies aériennes américaines, de syndicats de pilotes et de personnels navigants, d’élus et d’organisations de policiers et de passagers.

Afin de ne pas prolonger le temps d’attente aux portiques de sécurité des aéroports américains, où les effectifs ont été réduits, la TSA avait décidé d’élargir la liste des articles autorisés à bord des avions, y incluant des canifs aux lames courtes, des queues de billard, bâtons de ski, certaines battes de baseball, crosses de hockey ou clubs de golf.

Mais devant les nombreuses protestations, « la TSA continuera à appliquer la liste actuelle des articles prohibés », selon un communiqué, qui précise accorder « une valeur importante à l’avis de (ses) partenaires et du public qui voyage ».

La TSA précise poursuivre ses efforts pour mettre en place un contrôle aux portiques de sécurité basé sur les risques réels tout « en maximisant les ressources ».

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Un premier traitement contre la dépendance à l’alcool est autorisé

L’Europe innove en autorisant la vente d’un nouveau produit destiné à aider les gens à réduire leur consommation d’alcool, rapporte Santé Log.

Il s’agit d’une première, puisque le Selincro est le premier traitement du genre à passer toutes les étapes d’accréditation avec succès. Produit par les laboratoires Lundbeck, le traitement s’adresse aux gens qui ont des problèmes de consommation d’alcool qualifiés de « risqués ».

Les essais cliniques ont été suffisamment convaincants pour que les autorités de la santé permettent sa vente sur le territoire européen. On note une diminution de 60 %, en moyenne, de la consommation d’alcool chez les gens qui ont testé le produit jusqu’à maintenant.

Le Selincro agit sur le cerveau et la zone régulatrice de la récompense, qui serait mal réglée chez plusieurs personnes souffrant d’alcoolisme.

On conseille vivement d’associer le produit à une thérapie ou à un suivi psychologique professionnel, afin d’assurer un traitement complet adéquat.

On croit que plus de 90 % des gens aux prises avec des problèmes d’alcool en Europe ne reçoivent aucune aide pour leur permettre de s’en sortir.

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De l’espoir dans le dossier de la méningite B

Depuis plus de deux décennies, la méningite est l’un des fléaux les plus sournois et violents connus de l’être humain. Pire encore, elle n’hésite pas à s’en prendre aux enfants, ce qui rend la maladie encore plus sombre et détestable.

Selon Topsante.com, la forme mortelle la plus répandue de cette maladie serait la méningite B, qui a d’ailleurs été présente dans l’actualité récemment à la suite d’une série de cas recensés.

Voilà qu’on annonce qu’il y aurait maintenant de l’espoir dans ce dossier, alors que les autorités européennes dans le domaine de la santé viennent d’approuver la mise en marché d’un vaccin contre la méningite B.

D’autres vaccins ou traitements contre la méningite sont déjà connus et utilisés, mais on tardait à pouvoir lutter efficacement contre cette forme de la maladie.

On recense plus d’un million de cas de méningites partout dans le monde chaque année, et les vaccins tentent de faire baisser ce nombre alarmant. Jusqu’à maintenant, on peut prévenir les cas de méningites de type A, C, W135 et Y, mais la pièce manquante demeurait la forme B.

Cela pourrait maintenant être une mission accomplie pour les chercheurs. D’autres résultats sont à venir.

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Un test de dépistage du sida autorisé pour la 1re fois en vente libre aux États-Unis

La FDA suit ainsi la recommandation unanime d’un comité consultatif de 17 experts indépendants qui s’était prononcé le 15 mai pour la mise sur le marché de ce test, OraQuick In-Home HIV, du laboratoire américain OraSure Technologies.

Un essai clinique mené par le fabricant a montré que le test permettait de détecter avec succès une infection par le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) dans 92 % des cas, soit légèrement au-dessous du seuil de 95 % recommandé par la FDA.

Le OraQuick permet à une personne de collecter un échantillon de sa salive sur ses gencives à l’aide d’un tampon qu’elle place ensuite dans un récipient. Il faut de 20 à 40 minutes pour avoir le résultat.

Un résultat positif ne signifie pas forcément que la personne est séropositive, mais indique que des tests supplémentaires devraient être faits dans un centre médical pour une confirmation.

De même, un résultat négatif n’est pas une garantie absolue que le sujet n’est pas contaminé, surtout si ce dernier a été infecté au cours des trois mois précédents, précise la FDA dans un communiqué.

Il demeure que ce test a le potentiel d’identifier un nombre important de séropositifs qui n’ont pas été diagnostiqués, surtout dans les groupes à risque qui ne se font pas tester.

Quelque 240 000 personnes sur 1,2 million qui sont infectées par le VIH aux États-Unis ignorent qu’elles sont séropositives, selon les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC). Un test régulier est donc le moyen le plus efficace pour freiner le nombre des nouvelles infections.

Ce test sera en vente à partir d’octobre dans plus de 30 000 points de distribution aux États-Unis, a précisé OraSure Technologies, qui indique ne pas encore avoir établi le prix de détail.