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Marijuana et alcool, les conséquences sont différentes chez l’adolescent

Aux États-Unis, les autorités craignent de plus en plus la légalisation de la marijuana, surtout à cause des conséquences chez les jeunes. Certes, sur le plan médical, elle est reconnue pour l’atténuation de la douleur et de certains symptômes de diverses maladies.

Par contre, des chercheurs se sont penchés sur les différences comportementales lorsque les adolescents consomment de la drogue, comparativement aux habitués de l’alcool.

Si l’alcool est responsable par exemple de problématiques relationnelles avec autrui et de conduite dangereuse sur la route, il en est tout autre avec la marijuana. Celle-ci compromet les relations de l’utilisateur à toute figure d’autorité, rapporte Medical News Today.

De ce fait, les troubles relationnels avec les enseignants et les parents provoquent une perte d’intérêt et d’énergie sur les plans scolaire et professionnel, entraînant une baisse de performance.

Malheureusement, la marijuana comporte de moindres effets désagréables que l’alcool (lendemains de veille, regrets, accidents), ce qui encourage les jeunes à en faire usage.

Les résultats de cette première étude, menée auprès de 7437 étudiants par les spécialistes l’Université de New York, ont été publiés dans la revue American Journal of Drug and Alcohol Abuse.

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Les pères ont autant d’instinct que les mères

« L’instinct paternel est inscrit dans le cerveau des pères et ne demanderait qu’à se développer après la naissance d’un enfant », selon Parents.

Une nouvelle étude de l’Université d’État de l’Oregon démontre que si les femmes ont parfois l’impression que leur homme a moins d’instinct qu’elles, c’est parce que ce dernier ne l’utilise pas au maximum de leur capacité. En effet, en présence des mères, les pères sont moins portés à assumer plusieurs rôles : divertir, faire l’autorité et éduquer leurs petits.

Grâce à des tests effectués par scanneur, les chercheurs ont découvert que l’implication émotionnelle d’un père dans l’éducation de son enfant peut être identique à celle d’une mère. Tout dépend si l’homme se dit complémentaire à sa conjointe, se fie ou encore se réfère à elle, en présence de cette dernière.

Pour arriver à cette conclusion, des neurologues ont comparé l’action cérébrale de divers pères. Certains étaient hétérosexuels, monoparentaux ou homosexuels (l’un des deux devait être le père biologique de l’enfant). En regardant des vidéos d’eux avec leur enfant, il en est ressorti qu’en présence de leur conjointe, les pères hétérosexuels en couple avec la mère de l’enfant avaient moins de réactions émotionnelles que leur femme quand ils regardaient la vidéo. Les pères hétérosexuels en couple avaient également moins de réactions que les autres hommes qui élèvent leur enfant seul ou avec un partenaire du même sexe, qui réagissaient de la même manière que les mères en visionnant le film.

En conclusion, les femmes, les pères hétérosexuels en couple ou seuls et les homosexuels sont tous en mesure d’assumer deux rôles, soit s’impliquer émotionnellement tout en maintenant leur autorité. Il suffit d’en faire la commande à son cerveau et d’utiliser son instinct parental au maximum de sa capacité.

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Klox reçoit l’aval du Canada et peut commercialiser son Lumigel

L’entreprise Klox Technologies confirme l’approbation des autorités canadiennes en lien avec son nouveau produit contre l’acné, le Lumigel, et pourra donc conséquemment le commercialiser sur l’ensemble de notre territoire.

Malgré son nom, Klox est une entreprise québécoise, apprend-on via le même communiqué qui annonce la bonne nouvelle, et affirme posséder avec Lumigel une méthode révolutionnaire de traitement de la peau et de l’acné, qu’elle soit légère ou grave.

« KLOX est extrêmement fière de recevoir sa première approbation au Canada. Il s’agit d’une étape importante s’inscrivant parfaitement dans la stratégie réglementaire que nous mettons en œuvre à travers le monde. Nous avons d’ailleurs soumis une demande d’obtention du marquage CE en Europe… KLOX est en mesure de poursuivre activement son double objectif : générer des bénéfices importants pour ses actionnaires et faire progresser son portfolio de produits visant à combler des besoins insatisfaits en dermatologie », lance Lise Hébert, docteure et présidente chez Klox Technologies.

Reste à voir les résultats concrets sur le visage des patients qui souffrent de l’acné, un problème qui peut s’avérer dévastateur sur le plan social et mental, et nettement plus important que le portefeuille des actionnaires. 

Un autre produit contre l’acné efficace, Accutane, fait quant à lui l’objet d’une controverse et d’un débat depuis plusieurs années. Cependant, les résultats sont probants chez un bon pourcentage de patients. Lumigel viendra-t-il combler le vide et l’absence de solution alternative à l’Accutane de façon efficace?

On rappelle l’importance de consulter un médecin ou un dermatologiste certifié avant de commencer l’utilisation d’un nouveau produit pour la peau.

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La mode est au Ritalin chez les universitaires, ce qui inquiète les autorités

Une tendance déplorable des dernières années dans les écoles du pays, notamment au Québec, est de consommer du Ritalin afin d’être bien prêt et concentré pour ses examens.

L’importance de ne pas « couler » est grande, et la pression de réussir est forte, on le comprend. En associant ce principe au phénomène de la popularité grandissante des médicaments contre les troubles de l’attention comme le Ritalin, vous avez un cocktail potentiellement explosif.

Radio-canada.ca confirme les craintes des autorités, rapportant que des professionnels de la santé d’Halifax ont décidé de bouger dans ce dossier.

Ils lancent donc une alerte s’adressant aux étudiants qui ont développé cette habitude, rappelant que des effets secondaires sont possibles à long terme. La dépendance est aussi fréquente chez les utilisateurs de Ritalin (et d’Aderral), le médicament agissant un peu comme la cocaïne sur l’organisme.

Les autorités de la santé d’Halifax rappellent également que la drogue est trop facilement accessible sur le marché, entre autres à cause des nombreuses ordonnances émises par les praticiens.

Il s’agit d’un dossier qui prend de l’ampleur depuis un bon moment déjà, mais les autorités commencent à peine à parler du problème.

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L’autorité parentale et la génération C

Les enfants nés après 1991 entrent directement dans l’ère des communications, de la collaboration, de la connexion et de la créativité. Voilà pourquoi on les appelle la génération C.

Donc, dans cette optique, la communication est la voie la plus adéquate pour affirmer son autorité auprès d’eux. Selon plurielles.fr, les mêmes valeurs de base demeurent, soit les interdits, les limites et les règles à respecter. Cependant, la clé de l’autorité, aujourd’hui, se base sur l’explication du refus.

Le piège à éviter, c’est l’extrême. On ne doit pas oppresser l’enfant, mais il ne faut pas jeter l’éponge non plus. Le secret, c’est de commencer alors que l’enfant est jeune, quoiqu’il n’est jamais trop tard pour réajuster le tout.

Les parents, en couple ou séparés, doivent eux aussi communiquer afin d’offrir une constance à l’enfant. Si l’un dit non pour une raison, l’autre doit suivre.

Ensuite, il faut tenir son point de vue. C’est là, bien souvent, que le parent abandonne, plie, se ramollit. Mais il faut éviter à tout prix de céder.

L’importance primordiale, dans le processus d’autorité, c’est de faire comprendre et ressentir à l’enfant qu’on lui fait confiance et qu’il est aimé inconditionnellement. Le reste est une discipline, souvent plus difficile pour le parent que pour l’enfant.

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Les parents doivent s’entendre sur leur façon d’éduquer les enfants

Pour bien évoluer, les enfants ont besoin de routine et de structure. Constamment, ils testent les limites des adultes.

Il semblerait que lorsque les mères sont plus permissives et les pères plus autoritaires, les petits ont tendance à mal se conduire (crise de colère, non-partage des jouets, etc.). Dans aux familles où le père fait surtout preuve d’une attitude ferme, mais juste et amicale, les enfants ont tendance à afficher une attitude plus positive.

Les chercheuses Christina Rinaldi de l’Université de l’Alberta et Nina Howe de l’Université Concordia à Montréal précisent que tous les êtres humains sont différents.

Il est normal que le comportement diffère selon l’humeur des parents, ou encore que l’agissement ne soit pas le même pour chaque enfant d’une famille.

« Certains enfants nécessitent une attention un peu plus que d’autres, et cela déroute plus d’un parent », explique Mme Rinaldi.

Le parent doit s’adapter dans sa manière d’éduquer. Selon la spécialiste, il ne faudrait pas s’inquiéter à savoir si l’enfant dira un jour qu’il s’est senti moins aimé qu’un autre parce qu’il devait faire face à une plus grande autorité.

Elle précise au site Science Daily qu’il y a plusieurs façons d’être un parent efficace, mais ceux qui s’entendent pour partager des traits autoritaires sans être trop stricts, qui sont clairs et précis avec leur progéniture et qui fournissent une structure de vie aimante et attentionnée connaissent plus de succès.

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Comment faire aimer les légumes à ses enfants?

« Il arrive que l’on doit montrer ou faire goûter jusqu’à une quinzaine de fois un légume à un enfant pour qu’il l’adopte dans son alimentation », confie Geneviève Dulude de l’Université de Montréal, dont la thèse porte sur les attitudes et les comportements de la mère québécoise, l’alimentation et le poids de l’enfant préscolaire.

En effet, le combat entre l’adulte, l’enfant et l’assiette a pour origine la néophobie ou peur des nouveaux aliments. Les enfants refusent de goûter un aliment, car ils ne le connaissent pas.

Pour remédier à cette situation, la diététiste conseille aux parents de varier les achats et les recettes. Transformer le traditionnel brocoli cru et au goût peu plaisant en brocoli sauté dans un poulet teriyaki et en brocoli broyé dans le pâté au poulet peut être un exemple.

Si votre enfant résiste au brocoli un premier soir, ne lui présentez pas jour après jour le bouquet vert dans son assiette afin de le convaincre. Attendez une semaine, apprêtez-le d’une autre façon et, entre-temps, faites-lui découvrir la carotte, le navet, le chou-fleur, etc.

« Le parent qui démontre de l’enthousiasme quant au plaisir de manger certains aliments augmentera leur acceptation auprès de l’enfant », affirme la diététiste àl’Agence Science Presse.

L’autorité, l’obstination, la négligence ou le chantage émotif à la saveur de récompense du genre « Tu n’auras pas de dessert si tu ne manges pas tout » ne fait que rendre la situation pire, selon l’experte.

Des questionnaires remplis par 122 mères québécoises d’enfants âgés de 3 à 5 ans ont permis de voir que près d’un tiers d’entre elles qualifient l’heure du repas de pénible.

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Quand le comportement des parents fait des enfants délinquants

Une nouvelle étude de l’Université du New Hampshire, publiée dans le Journal of Adolescence, a déterminé les perceptions des enfants quant à trois styles d’éducation parentale.

L’analyse révèle que les parents autoritaires, contrôleurs et peu réceptifs, qui éduquent les enfants dans l’optique « c’est comme ça ou ce n’est rien du tout », sont plus susceptibles d’élever des enfants irrespectueux. Les jeunes seront portés à se tourner vers la délinquance pour défier un parent trop sûr de lui et peu légitime.

Toutefois, les parents qui sont autoritaires et qui jouent un rôle de médiateurs, ne disant pas toujours oui ni toujours non, qui écoutent plutôt leurs enfants, communiquent et gagnent leur respect et leur confiance ont de meilleures chances d’avoir de « bons » gamins. Il semblerait que ces enfants ressentent une obligation de faire ce que leurs parents leur disent de faire.

Il s’agit du juste milieu entre l’autorité à « sens unique » et le système de récompenses et de punitions surutilisé par les parents qui font souvent du chantage pour acheter la paix ou arriver à leurs fins, ou encore qui donnent le feu vert à n’importe quoi. Dans cette situation, l’enfant tentera souvent de pousser continuellement, afin de savoir si le parent aura une limite

Selon les chercheurs, les résultats montrent que la promotion et la création de la légitimité des parents est une technique pour les adultes d’exercer un contrôle sur leurs enfants. En outre, les parents sont plus susceptibles d’être considérés comme des autorités légitimes s’ils utilisent des pratiques parentales autoritaires plutôt que les pratiques autoritaires extrêmes ou permissives, qui tendent à saper l’autorité parentale.

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L’autorité parentale existe-t-elle encore?

Il semble que l’autorité des parents soit de plus en plus discutable. C’est ce que révèle un sondage de TNS Sofres, lequel est paru dans le magazine Psychologies.

On découvre tout d’abord que 81 % des répondants croient que les parents n’arrivent pas à bien se faire obéir par leurs enfants. Les trois quarts (76 %) pensent que ces derniers n’y arrivent tout simplement pas.

L’avis des parents est totalement à l’inverse. En effet, ceux-ci croient à 83 % qu’ils arrivent à ce que les enfants leur obéissent. Même que 46 % d’entre eux ne rencontreraient aucun problème de cet ordre.

Toutefois, 16 % avouent avoir de la difficulté à faire respecter certaines règles, dont la principale étant de faire ranger sa chambre à leur enfant. Lorsqu’on pose la question, on voit que 47 % des répondants reconnaissent qu’il s’agit « plutôt » d’un problème.

Les tâches ménagères, avec 30 %, constituent de toute façon un autre problème important, de même que l’heure du coucher (27 %).

La différence entre les avis nous pousse donc à nous demander où en est exactement l’autorité parentale de nos jours.

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L’autorité parentale existe-t-elle encore?

Il semble que l’autorité des parents soit de plus en plus discutable. C’est ce que révèle un sondage de TNS Sofres, lequel est paru dans le magazine Psychologies.

On découvre tout d’abord que 81 % des répondants croient que les parents n’arrivent pas à bien se faire obéir par leurs enfants. Les trois quarts (76 %) pensent que ces derniers n’y arrivent tout simplement pas.

L’avis des parents est totalement à l’inverse. En effet, ceux-ci croient à 83 % qu’ils arrivent à ce que les enfants leur obéissent. Même que 46 % d’entre eux ne rencontreraient aucun problème de cet ordre.

Toutefois, 16 % avouent avoir de la difficulté à faire respecter certaines règles, dont la principale étant de faire ranger sa chambre à leur enfant. Lorsqu’on pose la question, on voit que 47 % des répondants reconnaissent qu’il s’agit « plutôt » d’un problème.

Les tâches ménagères, avec 30 %, constituent de toute façon un autre problème important, de même que l’heure du coucher (27 %).

La différence entre les avis nous pousse donc à nous demander où en est exactement l’autorité parentale de nos jours.