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La thérapie thrombolytique n’est pas plus dangereuse chez les enfants que chez les adultes

Les spécialistes révèlent que la rareté des enfants touchés par un AVC n’aide pas à identifier totalement les effets négatifs et positifs de la thérapie thrombolytique chez les petits.

Cependant, les résultats d’une étude rétrospective de l’Université de Saint-Louis, partagés lors d’une réunion de l’American Academy of Neurology, tendent à offrir une certaine assurance que cette thérapie est sécuritaire chez les jeunes.

Comme prévu, il a été noté que le taux d’hémorragie intracérébrale était plus élevé chez les patients qui avaient reçu un traitement thrombolytique (4 %) que chez ceux qui n’avaient pas reçu le traitement (0,38 %) à la suite d’un AVC ischémique aigu.

En revanche, le taux d’hémorragie intracérébrale n’était pas plus élevé chez les enfants que chez les adultes ayant eu recours au traitement; ce qui est rassurant pour les chercheurs.

De plus, il semblerait que même si une hémorragie intracérébrale est un facteur prédictif de mortalité hospitalière, l’utilisation du traitement thrombolytique ne cause pas davantage de décès.

Pour en arriver à ces conclusions, 9367 enfants admis pour un AVC ischémique aigu ont été inclus dans la base de données, entre 1998 à 2009.

Maintenant que l’utilisation de ce traitement n’est pas plus dangereuse chez l’enfant que chez l’adulte, d’autres études devront maintenant démontrer que son utilisation chez les jeunes patients améliore également les résultats cliniques.

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Pourquoi les AVC touchent-ils davantage les enfants noirs?

De nouvelles stratégies de prévention des AVC ont été présentées par des spécialistes de l’Université de la Californie à San Francisco lors de l’American Stroke Association International Stroke Conference, en janvier dernier.

Il semblerait qu’avant 1998, les enfants noirs étaient 74 % plus susceptibles de mourir d’un accident ischémique cérébral que les enfants blancs. Cet écart s’explique en partie par l’augmentation des taux d’anémie à hématies falciformes chez les enfants noirs.

Mentionnons que l’anémie falciforme est une maladie génétique du sang qui affecte principalement les Afro-Américains.

Entre 1999 et 2007, le risque a chuté de près des deux tiers. Les enfants noirs étaient dorénavant 27 % plus susceptibles d’avoir un accident ischémique cérébral que les enfants blancs, selon les données des certificats de décès pour les enfants américains qui sont morts d’accident vasculaire cérébral ischémique de 1988 à 2007.

Les protocoles de prévention des AVC auraient changé après un essai révolutionnaire de prévention des AVC dans la drépanocytose, en 1998.

L’étude a démontré qu’un traitement chronique de transfusion sanguine abaisse le risque d’AVC de 90 % chez les enfants atteints de drépanocytose et à haut risque d’accident vasculaire cérébral.

Selon les experts, les enfants atteints de la maladie devraient également subir une échographie pour déterminer leur risque d’AVC.

Sur les quelque 795 000 adultes et enfants américains qui souffrent d’un AVC chaque année, plus de 137 000 meurent.

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AVC chez les enfants : les infections aiguës en cause?

Bien que les AVC chez l’enfant soient très rares, les chercheurs tiennent à mentionner qu’ils ne cherchent pas à inquiéter les parents avec ce constat. Selon eux, tous les parents d’enfants en bonne santé n’ont aucune raison de se troubler. En fait, seuls 2,4 à 5 enfants américains sur 100 000 seront touchés par un AVC annuellement.

Une étude de l’Université de la Californie à San Francisco a constaté que les enfants qui, un mois avant un accident vasculaire cérébral ischémique, étaient déjà atteints d’une infection aiguë, connue ou non, avaient plus de chances d’être touchés par un AVC, rapportent les spécialistes durant la conférence de l’American Stroke Association International.

Les experts croient réellement que l’infection n’est pas à l’origine des AVC. Toutefois, l’infection semble agir à titre de déclencheur dans cette situation.

Ils rappellent que les enfants concernés par ce cas ont probablement quelques prédispositions sous-jacentes qui les mènent à avoir cette réponse très rare à une infection très commune.

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Le soda diète à l’origine de graves problèmes de santé

Après avoir analysé les données recueillies auprès de 2564 répondants, une équipe de chercheurs révèle que boire une cannette de soda diète par jour accentue les risques d’accident vasculaire cérébral (AVC) et de maladies cardiaques.
 
Selon l’étude parue dans le Journal of General Internal Medicine, les personnes qui avaient bu un soda allégé quotidiennement avaient 43 % plus de risques de subir un AVC ou une attaque cardiaque que celles qui n’en avaient pas consommé.
 
Les buveurs modérés (de 1 cannette par mois à 6 par semaine) ainsi que ceux qui consommaient le soda classique ne présentaient pas de risque accru.
 
Les boissons diètes ne semblent pas si bonnes pour la santé. Récemment, on mentionnait, dans une autre étude réalisée sur une dizaine d’années, que les personnes qui buvaient deux sodas diètes quotidiennement accumulaient 70 % plus de graisses abdominales que les autres.
 
Cette graisse est un facteur de risque important qui favorise le diabète, les maladies cardiovasculaires, certains cancers et autres maladies chroniques.
 
De plus, l’aspartame, qui est souvent ajouté dans les boissons diètes, augmentait le taux de sucre sanguin lors des tests effectués sur des souris en laboratoire.
 
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La santé des enfants influence celle des parents

Une nouvelle étude en Ohio, publiée en ligne dans le Journal of Pediatrics, a évalué le taux de cholestérol, la tension artérielle, les triglycérides et le poids de 852 écoliers.

Ils ont été réévalués 26 ans plus tard, âgés dans la quarantaine, afin de connaître l’impact que cet examen avait eu sur leur santé et celle de leurs parents, maintenant âgés d’environ 65 ans.

Les résultats ont prouvé que, globalement, les parents des 852 anciens écoliers examinés étaient environ deux fois plus susceptibles de souffrir de maladies cardiaques ou d’AVC au début de la soixantaine lorsque leur enfant avait fait de la haute pression sanguine ou avait eu des niveaux élevés de cholestérol lipoprotéines de basse densité ou de triglycérides à l’âge de 12 ans.

Et quand les enfants souffraient d’un surpoids, les chances que leurs parents développent un diabète ou de l’hypertension artérielle doublaient. Même principe pour les enfants devenus grands.

Puisque la plupart des adultes ne vont pas fréquemment rencontrer un médecin, les chercheurs pensent que certains problèmes de santé chez les parents pourraient être évités grâce aux examens annuels de leurs enfants.

Selon de nouvelles directives approuvées par les Instituts nationaux américains de la santé, les enfants devraient d’ailleurs avoir un test pour le cholestérol entre 9 et 11 ans, et de nouveau entre 17 et 21 ans.

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Grand danger pour certains enfants anémiques

Selon des résultats parus dans le Journal of the American Society of Hematology, certains facteurs indiqueraient une plus forte prévalence d’AVC chez les enfants anémiques.

Précisément, les garçons atteints d’anémie falciforme ayant un faible taux d’hémoglobine et une forte pression artérielle systolique seraient particulièrement à risque d’être atteints d’un AVC dit « silencieux ».

Cette forme d’AVC est la plus courante des attaques neurologiques chez les enfants atteints d’anémique falciforme. Plus de 25 % d’entre eux le vivront vers l’âge de 6 ans, et près de 40 % le subiront vers 14 ans.

Le faible taux d’hémoglobine sanguin constitue la première raison de cette prévalence chez les enfants anémiques. Le transport de l’oxygène se faisant ainsi moins bien dans le sang, le corps tend à compenser en augmentant le flux sanguin vers le cerveau.

Bien que les AVC silencieux soient bien documentés chez les personnes âgées, peu de recherches sont encore faites quant aux plus jeunes.

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Le chocolat diminue les risques d’AVC chez les femmes

Après avoir confirmé les bienfaits du chocolat noir sur le cœur, voilà qu’une étude suédoise, révélée par le Journal of American College of Cardiology, ajoute que le chocolat noir réduit également les risques d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) pour les femmes.
 
En fait, on mentionne que plus une femme mange du chocolat et moins elle a de risques de faire un AVC. Par contre, ce n’est pas une raison pour se lancer tête première dans la consommation de ce péché mignon.
 
« Le chocolat doit être consommé avec modération, car il contient beaucoup de calories, de graisse et de sucre. Comme le chocolat noir contient plus de cacao et moins de sucre que le chocolat au lait, la consommation de chocolat noir serait meilleure pour la santé » , mentionne Susanna Larsson du Karolinska Institute de Stockholm.
 
Les chercheurs croient que se sont les flavonoïdes contenus dans le cacao qui sont bénéfiques pour la santé, faisant notamment baisser la pression artérielle, un facteur de risque pour les AVC. De plus, ils améliorent la santé cardiovasculaire.
 
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2 tasses de café par jour réduisent les risques d’AVC

Alors que les experts ont souvent été divisés au sujet du café, mentionnant d’un côté sa potentielle dangerosité comme stimulant et d’autre part ses bienfaits pour la santé, une étude confirme la dernière hypothèse.
 
L’American Journal of Epidemiology rapporte qu’une vaste analyse regroupant les études faites entre 1960 et 2011, totalisant un demi-million de personnes, confirme que deux tasses de café par jour réduisent les risques d’accidents vasculaires cérébraux.
 
En fait, deux tasses quotidiennes réduisent les risques de 14 % et trois tasses diminuent les chances de développer un caillot au cerveau de 17 %. Au-delà de cette quantité, les bienfaits s’annulent presque. Les chercheurs de l’Institut Karalinska de Stockholm, en Suède, mentionnent que dix tasses ou plus de café par jour ne réduisent que de 7 % les chances d’AVC.
 
On croit que les antioxydants du café protègent les vaisseaux sanguins du cerveau contre les dommages causés par le mauvais cholestérol.
 
Toutefois, il y a encore de sérieuses préoccupations concernant le fait que le café ferait grimper la pression sanguine.
 
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Une pomme ou une poire contre les AVC

Des chercheurs hollandais ont découvert que consommer beaucoup de fruits et de légumes à chair blanche aidait à diminuer les risques d’accident vasculaire cérébral (AVC).

 

La chair blanche indique la présence de composés phytochimiques bénéfiques pour la santé comme les caroténoïdes et les flavonoïdes.

C’est la première fois qu’on examine le lien entre la couleur des fruits et les AVC. Vingt mille personnes ont participé à cette recherche qui s’est échelonnée sur dix ans.

Selon le Daily Mail, durant ces années, on a compté 233 attaques, mais on a remarqué que les risques étaient 52 % moins élevés chez ceux qui mangeaient le plus de fruits et de légumes à chair blanche.

On note que chaque tranche de 25 g consommés par jour réduit les risques de 9 %. Une pomme pèse en moyenne 120 g. Les pommes et les poires sont parmi les favorites, car en plus, elles contiennent plus de fibres alimentaires.

D’autres chercheurs se demandent si ces résultats ne sont pas seulement dus à un mode de vie plus sain de la part des participants qui consommaient ce type d’aliment.

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Des chercheurs hollandais ont découvert que consommer beaucoup de fruits et de légumes à chair blanche aidait à diminuer les risques d’accident vasculaire cérébral (AVC).

 

La chair blanche indique la présence de composés phytochimiques bénéfiques pour la santé comme les caroténoïdes et les flavonoïdes.

C’est la première fois qu’on examine le lien entre la couleur des fruits et les AVC. Vingt mille personnes ont participé à cette recherche qui s’est échelonnée sur dix ans.

Selon le Daily Mail, durant ces années, on a compté 233 attaques, mais on a remarqué que les risques étaient 52 % moins élevés chez ceux qui mangeaient le plus de fruits et de légumes à chair blanche.

On note que chaque tranche de 25 g consommés par jour réduit les risques de 9 %. Une pomme pèse en moyenne 120 g. Les pommes et les poires sont parmi les favorites, car en plus, elles contiennent plus de fibres alimentaires.

D’autres chercheurs se demandent si ces résultats ne sont pas seulement dus à un mode de vie plus sain de la part des participants qui consommaient ce type d’aliment.