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Votre corps peut-il pressentir l’avenir?

De récentes recherches tendent à démontrer que le corps possède la capacité de ressentir des événements qui sont sur le point de se produire, avance www.nlm.nih.gov.

Il semble que le cerveau n’aurait rien à y voir, le corps possédant des facultés qui lui sont propres. Ce sont les conclusions des chercheurs de la Northwestern University, qui ont analysé 26 études publiées sur le sujet entre 1978 et 2010.

« S’il a déjà été démontré que le subconscient en sait souvent plus que le conscient, il reste à déterminer si les humains ont la capacité de prédire l’avenir sans aucun indice préalable. Notre analyse démontre que si vous êtes au diapason parfait avec votre corps, il vous est possible de pressentir certains changements ou événements à survenir prochainement », explique Julia Mossbridge, chercheuse associée au laboratoire de neuroscience et de perceptions cognitives de la Northwestern University.

Elle ajoute, à la blague, que ce système pourrait même vous permettre de prédire quand votre patron franchira la porte de votre bureau, et ainsi vous donner le temps de fermer le jeu vidéo que vous êtes en train d’essayer au lieu de travailler.

Plusieurs personnes sont capables de pressentir certains événements, mais la spécialiste se garde de crier à la clairvoyance. Elle préfère appeler le phénomène « activité anticipatoire », précisant que plusieurs études restent à faire pour tirer des conclusions claires sur ce trait du corps humain.

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Quel avenir ont les personnes autistes?

Selon une enquête nationale réalisée par des chercheurs de l’Université de Washington à St. Louis, les jeunes souffrant de troubles du spectre autistique (34,9 %) ont du mal à poursuivre leurs études ou à se trouver un emploi après leur secondaire.

Cette situation pousserait même plus de la moitié d’entre eux à demeurer inactifs. En effet, 51,9 % des jeunes disent s’être retirés et avoir fait peu de choses intéressantes au cours des deux années qui ont suivi la fin de leur secondaire.

Le rapport en ligne du numéro de juin de Pediatrics révèle même que comparativement à d’autres formes de handicaps, les gens autistes sont beaucoup moins susceptibles de se faire accorder une chance dans la société.

La situation serait encore plus désolante pour ceux qui sont atteints d’un trouble du spectre autistique grave, qui proviennent d’une famille défavorisée ou qui ne sont pas de race blanche.

C’est en comparant 500 jeunes autistes, 470 avec un trouble de la parole et du langage, 460 avec un trouble d’apprentissage et 430 avec un retard mental que les chercheurs ont fait ce triste constat.

Ils ont affirmé qu’il y avait de sérieuses lacunes dans la société pour permettre aux jeunes autistes d’évoluer et de recevoir le soutien nécessaire leur permettant une meilleure transition avec le marché du travail.

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La dépression post-partum touche davantage les femmes carriéristes

Tout cela parce qu’elles n’ont pas le sentiment de pouvoir contrôler, avance Silje Marie Haga de l’Université d’Oslo, en Norvège, qui a réalisé une étude auprès de 350 nouvelles mères.

L’experte a constaté de 16,5 % de ce nombre déclaraient souffrir d’une dépression, alors que leur bébé n’étant pas encore âgé de six mois.

En effet, la majorité des femmes touchées par le problème postnatal ont avoué que les choses ne se déroulaient pas comme prévu et qu’elles trouvaient difficile et déshonorant de ne pas avoir été capables d’accoucher par voie naturelle ou encore d’allaiter.

La spécialiste croit que ces femmes qui attendent plus tard dans leur vie pour avoir un bébé ont travaillé si fort pour établir un ordre de choses, avoir un emploi valorisant et un bon coussin financier qu’elles sont complètement désabusées et inflexibles lorsqu’elles se retrouvent devant des situations surprenantes et incontrôlables, souvent provoquées par leur petit.

Elle ajoute, dans un article du DailyMail : « Ce n’est pas la nécessité d’un contrôle en soi, mais plutôt l’incapacité à réaliser les attentes spécifiques qui peuvent déclencher une dépression. En revanche, les femmes qui prennent une approche plus détendue à la maternité avec des attentes plus indéfinies font mieux face à des défis inattendus ».

Mme Haga propose maintenant sur Internet un programme de prévention qui sera affilié à un centre de santé mentale en Norvège. Il permettra de venir en aide en surveillant les mères enceintes, de la 22e semaine de grossesse jusqu’à six mois après la naissance.