Catégories
Mon Fric

La grippe aviaire force l’euthanasie d’environ 125 000 volailles en Montérégie.

Les autorités ont dû ordonner l’euthanasie d’environ 125 000 oiseaux dans quatre élevages de la Montérégie en raison de la grippe aviaire.

C’est mardi midi que des employés de l’Agence canadienne d’inspection des aliments ont été aperçus alors qu’ils portaient des combinaisons blanches au cours d’une opération consistant à composter des carcasses de volailles sur la ferme avicole Réal Côté du rang Saint-Georges, à Ange-Gardien.

Selon ce qu’a indiqué TVA Nouvelles, les autorités n’ont toujours pas confirmé si cette ferme faisait partie d’un des sites infectés récemment par la grippe aviaire.

On sait toutefois que les premiers cas de H5N1 qui ont été signalés ont eu lieu dans un élevage de canards de la même municipalité. Ces cas se sont ensuite propagés à un poulailler de poules pondeuses, un producteur d’œufs d’incubation et une ferme de dindons.

Depuis le premier signalement au Québec qui a eu lieu au printemps 2022, la grippe aviaire a touché plusieurs producteurs de volailles de cette région.

Deux élevages ont notamment été ravagés l’automne dernier à Saint-Alphonse-de-Granby, la municipalité voisine qui est située à une dizaine de kilomètres. Les autorités avaient alors dû ordonner l’euthanasie d’environ 45 000 poulets et 30 000 poules pondeuses, ainsi que 11 500 dindons.

En avril 2022, trois sites de Lac-Brome ont été touchés par la grippe aviaire et les autorités avaient alors dû procéder à l’euthanasie de 150 000 volailles, en plus de devoir détruire 400 000 oeufs de canards de Pékin.

Ce type de propagation est particulièrement difficile à contenir étant donné que le virus peut être introduit dans un élevage par des humains ou du matériel contaminé.

Signalons enfin que les autorités jugent que la situation est préoccupante, puisque la migration saisonnière des oiseaux sauvages ne fait que débuter encore.

Catégories
Uncategorized

Le « consortium du génome du canard » s’attaque à la grippe aviaire

La nouvelle souche de la grippe aviaire, le H7N9, inquiète un nombre considérable de spécialistes et d’observateurs en santé à travers le monde depuis son apparition récente.

Bien qu’il ne faille pas s’inquiéter outre mesure, rappellent les experts, il n’en demeure pas moins qu’il est important d’analyser et de comprendre le phénomène afin d’en arriver à des traitements efficaces.

Pour y parvenir, un nouveau groupe de recherche au nom grandiose vient de faire son apparition, rapporte Santé Log. Il s’agit du « consortium du génome du canard » qui, comme son nom l’indique, tentera de démystifier l’immunité du canard face au virus aviaire.

Ne présentant aucun symptôme physique, l’animal agit simplement comme conduit, ce qui étonne certains experts. Ces derniers aimeraient beaucoup mettre le doigt sur le facteur génétique qui permet cette caractéristique.

En ciblant l’explication génétique, on croit que l’on pourrait grandement faire avancer la cause, voire créer un traitement contre les différentes souches de grippes aviaires.

L’élaboration de cette nouvelle stratégie et de la création du « consortium du génome du canard » ont été révélées dans la plus récente édition du magazine Nature Genetics.

Catégories
Uncategorized

Le bilan du H7N9

On trace maintenant un bilan du H7N9, cette nouvelle souche de la grippe aviaire qui inquiète certains spécialistes de la santé à travers le monde, des chiffres rapportés par Radio-Canada.

Plusieurs cas ont été rapportés en Asie ces derniers temps, et on vient récemment de confirmer des cas humains du côté de la Chine, qui publie un bilan de 16 morts jusqu’à maintenant.

Plusieurs cas inquiètent, et même si la conclusion la plus catastrophique était celle d’une transmission possible d’humain à humain, on rappelle que ce n’est pas le cas en ce moment. Rien n’indique, au moment d’écrire ces lignes, que le virus est contagieux.

Cependant, si cette violente souche de la grippe aviaire trouvait le moyen de parvenir à voyager d’homme à homme, on pourrait assister à une véritable épidémie mondiale.

Un autre fait étonnant, qui rend la tâche des spécialistes et des chercheurs plus complexe, c’est qu’il semble que le H7N9 soit parfois difficile, voire impossible, à détecter sur les oiseaux.

Les différentes organisations mondiales de la santé continuent de suivre le dossier de près, mais rappellent qu’il ne faut pas céder à la panique ni s’inquiéter outre mesure.

Catégories
Uncategorized

La nouvelle souche de grippe aviaire ne serait pas une menace

Des experts américains viennent de faire le point dans le dossier de cette nouvelle souche de grippe aviaire qui semble vouloir se développer, explique The National Library of Medicine.

On parle ici de la H7N9, une souche qui a frappé la Chine avec violence ces derniers temps, faisant au moins 7 morts. Vingt-quatre personnes au total auraient été infectées sur le territoire chinois, ce qui inquiète les diverses organisations de la santé dans le monde.

Rien ne sert de céder à la panique du côté de l’Amérique du Nord, croient les experts américains, d’abord parce qu’on croit que la souche H7N9 n’est pas transmissible d’homme à homme, et ne serait donc pas contagieuse.

« C’est vraiment très tôt dans le processus d’identification des cas humains », explique le Dr John Midturi, du Texas A&M Health Science Center College of Medicine.

Son homologue de Memphis, Richard Webby, en dévoile davantage : « On voit ce genre de choses chaque année avec la grippe aviaire. Ce qui semble rendre les gens un peu plus nerveux, c’est qu’en regardant la séquence du virus, on observe certaines mutations qui pourraient indiquer que le virus pourrait avoir amélioré ses capacités à se répliquer chez les humains ».

Un vaccin serait en préparation, mais il semble qu’il ne faille pas s’inquiéter outre mesure de notre côté de l’océan.

Catégories
Uncategorized

Immunisés à vie contre la grippe

Selon une étude dont les résultats complets sont publiés dans la revue scientifique Nature, les personnes ayant survécu à l’épidémie de grippe espagnole de 1918 produisent encore des anticorps.

En cas de nouvelle pandémie, les 32 participants à cette recherche seraient donc immunisés contre le virus puisque leurs anticorps sont si puissants qu’ils ont même guéri des souris infectées par le virus de 1918.

L’auteur principal de l’étude, le Dr James Crowe, espère maintenant mettre au point des anticorps similaires afin de développer un traitement efficace contre les différentes souches du virus de la grippe aviaire.

Catégories
Uncategorized

Une nouvelle souche de la grippe aviaire inquiète

Après la souche H5N1 de la grippe aviaire, voilà que la H9N2 pourrait également menacer la population mondiale, selon une équipe de virologues de l’Université du Maryland qui trouve des caractéristiques similaires entre les souches de l’influenza.

358 personnes ont été contaminées par la souche H5N1 depuis 2003 et 243 en sont mortes, tout comme les 300 millions de volailles qui ont dû être abattues.

Retrouvée chez quelques espèces animales, dont les oiseaux, la H9N2 a aussi contaminé au moins quatre enfants à Hong Kong, provoquant des symptômes sans gravité. Toutefois, les chercheurs américains croient qu’une seule mutation rend cette souche plus virulente et pathogène.

Parmi les centaines de souches de la grippe aviaire, quatre, dont la H5N1, la H7N3, la H7N7 et la H9N2, ont contaminé des humains.

Catégories
Uncategorized

50 millions contre la grippe aviaire

Le quotidien Le Soleil nous apprend que le gouvernement de Jean Charest s’apprête à investir 50 millions de dollars supplémentaires afin de se préparer contre une éventuelle pandémie de grippe aviaire.

Cette somme servira, entre autres, à acheter des antibiotiques contre les infections secondaires, comme la pneumonie, qui sont souvent associées à la maladie.

Comme ce virus de l’influenza demeure encore mystérieux pour la communauté scientifique, plusieurs types d’antibiotiques différents devront être stockés en raison de la grande variété de bactéries qui peuvent causer la contagion.

« On est à l’étape de constituer une réserve des médicaments qui ont été désignés. Les achats doivent débuter à l’automne pour constituer la réserve progressivement », a précisé Dominic Bélanger, pharmacien au ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) et membre du comité de préparation à l’éventuelle pandémie.

Cette initiative du MSSS vise à prévenir une pénurie de médicaments dans l’optique où des dizaines de millions de personnes dans le monde contracteraient la souche grippale H5N1 en même temps.