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Des avions de la Seconde Guerre à Ottawa

On lit sur Canoe Travel que le Musée de l’aviation et de l’espace du Canada, à Ottawa, présentera dès cette semaine deux avions datant de la guerre 39-45. Leurs pièces avaient été découvertes il y a plus d’un an dans la Méditerranée.

Remontées par une équipe d’experts, ces pièces rares prendront place dans l’une des cours extérieures du musée.

L’un des avions demeurera entreposé, pour être ensuite évalué et remonté. Ce processus pourra prendre plusieurs années. Il sera présenté au Bomber Command Museum du Canada, en Alberta.

L’autre sera vendu à des collectionneurs. Il pourra ensuite être reconstruit de manière privée.

Ces vestiges retracent l’histoire d’excellence de l’aviation canadienne et commémore le décès de plus de 7 000 aviateurs durant la guerre. On estime le nombre total de pilotes à 10 000.

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Un vol en apesanteur à un prix accessible

Novespace, une filiale du Centre national d’études spatiales (CNES), offrira des vols en apesanteur à tous, selon Le Parisien. Le prix sera plutôt accessible, soit 4 000 euros.

Ce prix comprendra une douzaine de séquences d’apesanteur. Plusieurs pourront donc vivre cette expérience unique. Les vols se feront à bord d’un Airbus A300, un engin qui était jusqu’ici réservé aux astronautes en entraînement et à des expériences scientifiques.

Le premier départ se fera d’ici la fin de 2011 depuis l’aéroport de Bordeaux, en France. Une quarantaine de passagers pourront réserver leur place pour défier les lois de la gravité.

Novespace espère ainsi étendre son offre, laquelle n’existe encore qu’aux États-Unis et en Russie. Cette initiative a été fièrement annoncée par le PDG de l’entreprise, Jean-François Clervoy, qui est d’ailleurs un ancien spationaute.

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Bangkok en moins de 48 heures

On peut lire sur Routard.com que des visites thématiques particulières sont offertes aux gens qui ont une escale à Bangkok. Les différents circuits permettent d’en apprendre beaucoup sur la capitale de la Thaïlande, et ce, en une seule journée, voire deux.

Le programme en question, le Stopover Bangkok, s’adresse aux passagers de l’aéroport de Bangkok-Suvarnabhumi. En plus de profiter de réductions chez des partenaires de la ville, les touristes peuvent choisir entre 11 visites thématiques.
 
Parmi celles-ci, on retrouve les marchés flottants, la vie nocturne, la culture, le spa, le magasinage et la cuisine. On peut donc, en moins de 48 heures, en apprendre plus selon l’aspect de Bangkok qui nous interpelle le plus.

Pour en savoir plus, on visite le site de l’Office national de tourisme de la Thaïlande. Et jusqu’au 31 octobre prochain, on se rend sur le site de Stopover Bangkok pour profiter de réductions chez des partenaires locaux.

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L’avion du futur en mettra plein la vue

Un modèle unique d’avion vient d’être dévoilé à Londres par l’entreprise Airbus, apprenons-nous sur MailOnline. L’appareil en question, dont le haut est transparent, ne conviendra pas aux voyageurs de 2050 qui ont la peur de l’avion.

Ceux qui y monteront vivront un vol hors du commun, car sa conception leur permettra d’admirer l’extérieur, de nuit comme de jour.
 
Cet avion futuriste a aussi été pensé en fonction de la détente. Par exemple, les sections aujourd’hui réservées aux classes affaires et économiques seront remplacées par des zones de relaxation. Des jeux holographiques et d’autres divertissements, tous engendrés par la chaleur du corps, seront aussi proposés aux passagers.
 
Si la plupart des technologies qui seront employées pour les fonctions de cet avion sont déjà connues, on ne sait toujours pas les secrets technologiques concernant sa fameuse coque supérieure transparente.
 
On sait malgré tout que la structure de la cabine a été inspirée par l’efficacité osseuse de l’oiseau. Cela permettra la force nécessaire pour soutenir ladite cabine, mais aussi pour intégrer une membrane intelligente qui gèrera les différences de température et permettra la transparence.

Le but d’une telle conception est d’offrir aux touristes un voyage en avion qui est aussi enrichissant que la destination en elle-même.

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On a coulé l’avion d’un ex-dictateur pour le plaisir des plongeurs

De 1954 à 1989, la Bulgarie a vécu sous la main de fer de l’ancien dictateur communiste Todor Jivkov, faisant de lui le dirigeant du Bloc de l’Est ayant été au pouvoir le plus longtemps.

Libérée de son joug, la Bulgarie a, comme tous les pays du Bloc communiste de l’époque, ouvert ses frontières au monde et aux touristes.

Symboliquement, l’avion TU-154, qui a été longtemps utilisé par le dictateur, vient d’être coulé au fond de la Mer Noire et servira désormais d’attraction touristique, ayant été transformé en récif artificiel pour que les plongeurs puissent aller visiter l’épave.

L’avion a été submergé à 22 mètres de profondeur au large de la station balnéaire de Saint Konstantin, au nord de Varna. Pour garantir la sécurité des plongeurs qui voudront visiter l’épave, on a interdit, dans un rayon de 500 mètres autour de l’emplacement de l’avion, toute navigation sauf celle de petites barques.

Pour éviter de contaminer l’eau, on a retiré le moteur ainsi que les banquettes du TU-154.

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L’Écosse est la première victime de Grimsvötn

Si, en apparence, le cauchemar de l’année dernière semble poindre à l’horizon avec l’éruption, ce week-end, du volcan islandais Grimsvötn, celui-ci pourrait causer moins de problèmes à l’industrie de l’aviation que ne l’avait fait son prédécesseur, le désormais célèbre Eyjafjöll.

Malgré tout, Grimsvötn a commencé à faire des victimes. L’Écosse et le nord de l’Irlande ont été contraints de fermer leurs aéroports avec l’arrivée des premiers nuages de cendre dans leur espace aérien.

En tout, ce sont plus de 252 vols qui ont été annulés jusqu’ici dans ces deux espaces aériens, encore bien loin de l’hécatombe de l’an dernier que leur avait fait connaître l’éruption du Eyjafjöll.

Heureusement, la nuit dernière (23 mai), les éruptions du Grimsvötn ont baissé en intensité et l’épais nuage au-dessus de lui est tombé de 5 kilomètres d’altitude à 3 kilomètres.

Tout voyageur prévoyant se diriger vers l’Islande, le Royaume-Uni ainsi que la France et l’Espagne est invité à suivre le déroulement des interdictions et vérifier la validité de son vol avant de se déplacer vers l’aéroport.

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Un avion recyclé en restaurant au Coventry Airport en Angleterre

Une des particularités du petit aéroport de Coventry, à un peu plus de 100 km au nord de Londres, est de servir tant d’aérogare que de musée de l’aviation.

Une trentaine d’avions transatlantiques d’une autre époque sont en effet exposés sur une partie du terrain afin de permettre aux visiteurs d’admirer les « oiseaux de fer » qui ont peut-être jadis transporté leurs ancêtres outre-mer.

L’un de ceux-ci a été transformé afin de devenir un restaurant de 40 places, ouvert depuis tout juste 2 semaines. Le DC6 Diner a été installé à bord d’un Douglas DC-6, un avion des années 1950 dont la qualité de construction lui a permis de voler jusqu’à il y a quelques années encore.

Le projet est celui du chef Tony Caunce. Il a baptisé les plats de son menu en l’honneur de vieux avions militaires anglais et nous sert des plats comme le Bomber T-bone steak, le Vampire gammon, le 8 oz Rapide steak ou le Meteor marinade fillet.

Pour faire signe à son serveur, on se sert du même bouton au-dessus des sièges qui nous permettait auparavant d’appeler l’hôtesse de l’air.

On peut aussi déguster l’apéritif dans la cabine des pilotes ou s’asseoir au bar à l’arrière.

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Les États-Unis veulent faire payer les Canadiens qui entrent au pays

S’il faut en croire les intentions du président Barack Obama lors de la présentation de son budget de 2012, les États-Unis seraient sur le point d’exiger un droit d’entrée de 5,50 $ US aux Canadiens qui se rendraient chez l’Oncle Sam.

Le budget, qui n’a pas encore été approuvé par le Sénat américain, ferait en sorte que ces frais perçus aideraient à couvrir les cotisations que doivent payer les Américains pour les mesures de sécurités accrues dans les aéroports et les ports, car pour le moment, ce droit d’entrée ne serait exigible que pour les Canadiens voyageant en avion ou par la mer.

La plupart des voyageurs internationaux ont à payer cette taxe, mais depuis 1997, le Canada, le Mexique ainsi que les pays des Caraïbes en sont exemptés.

Cette nouvelle n’est pas pour plaire aux aéroports canadiens situés près des frontières américaines, de plus en plus de Canadiens choisissant de traverser la frontière en voiture vers un aéroport américain pour économiser de l’argent sur des vols moins dispendieux.

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3,3 milliards de personnes dans les airs d’ici 2014

Si l’industrie du tourisme a connu des périodes sombres ces dernières années, à la suite de la crise économique qui a frappé un peu partout sur la planète, les années qui pointent verront des records de voyageurs prendre les airs.

Selon l’Association internationale du transport aérien (IATA), près de 3,3 milliards de personnes, soit environ la moitié du nombre de la population du monde entier, auront volé à bord d’un avion de ligne commercial entre 2010 et 2014, soit une impressionnante augmentation de 32 % par rapport à la même période précédente.

C’est la Chine qui aura fourni le plus grand nombre de nouveaux voyageurs avec une estimation de 214 millions d’entre eux, alors que les États-Unis conserveront néanmoins la première place au final.

Très actif en développement touristique depuis les dernières années, le ciel des Émirats arabes unis sera particulièrement peuplé d’avions, alors que certains émirats ont commandé plusieurs Airbus A380, les nouveaux monstres du ciel.

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Le gouvernement canadien adoucit ses restrictions à bord des avions

Depuis les attentats du 11 septembre 2001, et depuis certaines autres tentatives de terrorisme qui, heureusement, furent interceptées ou déjouées, les mesures de sécurité n’ont cessé d’augmenter à bord des avions.

Première bonne nouvelle depuis longtemps, les autorités fédérales responsables de l’instauration de toutes ces mesures de sécurité viennent de faire un premier pas en arrière et permettront bientôt aux passagers à bord des avions d’y emporter leur nécessaire de toilette.

Ces mêmes autorités ont décidé de consacrer leurs énergies vers des articles plus dangereux, comme les explosifs.

Un employé du gouvernement a déclaré : « Nous avons mandaté l’Administration canadienne de la sécurité du transport aérien (ACSTA) de moderniser ses techniques de détection et de se concentrer sur les plus grandes menaces comme les explosifs et moins sur les articles comme de petits ciseaux de manucure et de petits tournevis à lunettes. »

Les lames de ces ciseaux devront toutefois mesurer moins de 6 centimètres. On ne connait pas encore la date exacte où il sera permis de les apporter à bord.