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Alicia Moffet aborde sa séparation, son avortement et son coup de foudre pour Fred avec Marie-Claude Barrette

Alicia Moffet se trouvait sur le podcast Ouvre ton jeu, mené de main de maître par Marie-Claude Barrette, où elle abordait plusieurs aspects très personnels de sa vie. Notamment sa séparation du père de sa fille, son avortement et son coup de foudre pour son amoureux actuel, Fred Robichaud.

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Rappelons que la chanteuse a vécu une séparation très médiatisée avec Alex Mentink, une période qu’elle qualifie de difficile, mais qui s’avérait toutefois nécessaire. Pour son propre bonheur, ainsi que pour celui de sa fille, Billie Lou, qu’elle ne voulait pas voir grandir dans une famille où les parents se disputent.

«Moi, ma mentalité quand j’ai laissé son père, c’était que je ne voulais pas que ma fille grandisse en se disant: Ça, c’est de l’amour. Parce que c’est ça qu’elle allait avoir comme exemple d’amour, son père et sa mère qui se chicanent», souligne avec franchise Alicia.

De plus, Alicia dévoilait avoir eu peur de quitter le père de sa fille, pour ne pas vivre une rupture difficile, comme elle a elle-même vécu à un jeune âge avec ses parents.

Un couple qui avait l’air de bien aller sur les réseaux sociaux, comme elle mentionne, mais qui était loin du bonheur parfait.

«Ça a été difficile, puis lui il le sait autant que moi. Dans le sens qu’on ne se le cachera pas, que c’était une relation très difficile», confie la mère de famille.

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C’est par la suite qu’Alicia abordait l’avortement qu’elle a subi, avant la naissance de sa fille.

«Je suis tombée enceinte après quatre mois de relation (…) Puis, c’est juste que mon côté maternel… j’avais déjà vécu un avortement, comme après un mois que j’étais avec lui (…) J’ai vécu un avortement, puis je suis retombée enceinte quatre mois après. Je suis vraiment très maternelle, j’ai toujours rêvé d’avoir des enfants. Puis, c’était comme inimaginable pour moi de me dire que j’allais me faire avorter encore (…) Je n’étais vraiment pas capable, puis je n’ai pas avorté évidemment. Puis Billie c’est la meilleure décision de ma vie (…) C’est fou de se dire que d’une union qui n’a autant pas marché est découlé un petit humain aussi parfait, qu’on aime tous les deux plus qu’imaginable», dévoile avec émotions Alicia.

De plus, l’animatrice d’OD avouait aujourd’hui être heureuse en amour avec Fred Robichaud, qu’elle qualifie d’ailleurs d’homme de sa vie. Tout en assumant également être partie avec lui, après sa séparation. Alicia ne sent toutefois pas le besoin de se justifier sur tout ce qui est arrivé par le passé.

«Je sais ce que j’ai fait, puis ce que je n’ai pas fait. Et ça je n’ai pas besoin de le préciser (…) Je ne dois aucune explication à personne. Puis, toutes les rumeurs, puis tu sais, je n’ai pas besoin de m’expliquer là-dessus», souligne-t-elle.

C’est aussi un peu plus tard que la jeune femme revenait sur sa rencontre avec Fred, qui aurait été un véritable coup de foudre et qui a finalement chamboulé sa vie.

«Les deux semaines qui ont suivi, j’étais très tourmentée, parce que j’étais dans une relation qui n’allait pas bien depuis longtemps. Je me disais comme: Oh mon Dieu. J’avais vraiment flashé sur Fred, ça m’a vraiment…un couteau, là (…) Mon enjeu à ce moment-là, c’était vraiment: Est-ce que je choisis la stabilité, le confort, mais une relation qui n’allait pas bien vs est-ce que je perds la chance d’avoir quelque chose qui me comble, qui me rend heureuse, puis qui va m’amener ailleurs», confie alors avec franchise Alicia.

Un moment touchant en compagnie d’Alicia Moffet et Marie-Claude Barrette.

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Hollywood PQ

Alexandra Lapierre envisageait de mettre un terme à sa grossesse

Alexandra Lapierre, l’ancienne candidate d’OD chez nous et nouvelle maman du petit Logan, né de sa relation avec son amoureux Yannick Martel, était de passage à La semaine des 4 Julie.

La jeune femme était présente sur le plateau de Julie Snyder pour parler de son tout nouveau balado, Destination Bébé, qui démontre les beaux, mais aussi les moins beaux côtés de la maternité.

On pouvait entendre lors de son passage un extrait de son podcast où elle mentionnait avoir pris deux rendez-vous pour se faire avorter, un rappel qui a d’ailleurs fait fondre en larmes Alexandra.

«Je regarde mon bébé et je suis comme: Tabarnouche, une chance que j’ai pas fait ça», lançait-elle, très émotive.

«Je te comprends, c’est émouvant de penser à ça. Et pourquoi tu as changé d’idée?», demandait Julie Snyder.

«J’ai 29 ans maintenant. J’ai eu Logan une semaine avant ma fête. J’avais 28 ans, j’étais rendue là dans ma vie, mais en couple je n’étais pas rendue là. Je me suis dit: Allons-y. Ça a été tellement des longues conversations, trois mois et demi de longues conversations, de: Hey, je le gardes-tu, on le garde-tu pas, on fait quoi? (…) On est un couple neuf, neuf, neuf, on commence à s’aimer à travers tout ça, c’est big», avouait avec honnêteté Alexandra.

Elle mentionnait aussi qu’elle et Yannick ont eu leur période de doute, à tour de rôle, face à cette nouvelle annonce.

Au final, les tourtereaux semblent toujours aussi solides et leur petit Logan est sans aucun doute le plus beau cadeau de leur vie!

Nous souhaitons à la petite famille beaucoup de beaux moments à venir et pour entendre le balado d’Alexandra, en cinq épisodes, rendez-vous sur Radio-Canada OHdio!

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Art de vivre

Les droits des femmes ne seront jamais acquis

« N’oubliez jamais qu’il suffira d’une crise politique, économique ou religieuse pour que les droits des femmes soient remis en question. »
 
Simone de Beauvoir le savait déjà. Et si nous, on l’avait oublié, la Cour suprême des États-Unis vient de nous le rappeler en invalidant l’arrêt Roe v. Wade, qui, chez nos voisins du Sud, était venu décriminaliser le recours à l’avortement en 1973Ce n’est pas une surprise : le mois dernier, une fuite de document avait laissé entendre que c’était dans les cartes. Mais jusqu’à aujourd’hui, il était encore permis d’espérer.
 
Aujourd’hui, fini l’espoir (ou le déni) : on est plutôt dans le surréalisme, voire l’anachronisme. De nos jours, les mythes ont pourtant été déboulonnés depuis longtemps : on sait qu’interdire les avortements n’en diminue pas le nombre : ça ne fait que les rendre dangereux. On sait qu’il est faux d’affirmer que les femmes utilisent l’avortement comme moyen de contraception. On sait que les avortements tardifs sont extrêmement rares. Mais peu importe : aucun argument factuel ne semble pouvoir venir à bout de cette idéologie pernicieuse qui n’a de cesse de s’attaquer aux femmes.
 
Car c’est d’une attaque directe contre les femmes qu’il s’agit. Sous le couvert du valeureux prétexte de « sauver des vies », on balaie celles des femmes sous le tapis. Pas un mot sur les femmes qui mourront des suites de leur grossesse ou en tentant d’obtenir un avortement par leurs propres moyens. Pas un mot sur celles qui s’appauvriront parce que leur grossesse non désirée les aura forcées à mettre sur pause, ou carrément à abandonner, leurs études ou leur carrière. Pas un mot sur les conséquences disproportionnées de cette atteinte au droit de choisir sur les femmes pauvres et racisées. Leurs vies à elles ne comptent pas dans l’équation. Si c’était le cas, tous ces efforts déployés pour les empêcher de contrôler leur propre corps seraient consacrés à la sensibilisation (de tous, hommes et femmes) et à l’accès aux moyens de contraception. Mais non : la vie des femmes n’intéresse personne.
 
Comme si ça ne suffisait pas, cette décision de la Cour suprême des États-Unis vient mettre en danger, là-bas, d’autres droits chèrement acquis, notamment par la communauté LGBT. L’avortement n’est-il que la première étape? On est en droit de s’inquiéter.
 
Il paraît qu’au Canada, le droit à l’avortement est mieux protégé. On va le croire. On va espérer que c’est vrai — car, disons-le, il n’y a pas de droit à l’égalité sans droit à l’avortement. Mais il reste qu’aujourd’hui, les droits des femmes semblent plus fragiles que jamais.
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Nightlife.ca

Gwyneth Paltrow a lancé une bougie pour le droit à l’avortement

Après avoir lancé une bougie appelée « This Smells Like My Vagina » en 2020, la marque de bien-être Goop – fondée par l’actrice Gwyneth Paltrow – a mis en vente une toute nouvelle bougie féministe. En cette Journée internationale des droits des femmes, on pense que c’est le bon moment pour mettre la main dessus!

Alors que l’entreprise clame haut et fort ses croyances en la liberté reproductrice, l’intégrité corporelle et l’égalité des droits quel que soit le sexe, Goop a créé une bougie pour démontrer son soutien pour l’American Civil Liberties Union Foundation. Chaque fois qu’une personne achètera la bougie « Hands Off My Vagina » faite pour contrer l’assujettissement, 25$ de la vente ira au Reproductive Freedom Project de la Fondation ACLU afin d’aider à lutter pour protéger les droits et libertés fondamentales qui sont attaqués en Amérique.

Crédit:@hereticparfum via IG

Le parfum de cette nouvelle bougie sœur célèbre le pouvoir et la force du grand féminin, raconte Douglas Little, parfumeur et fondateur d’Heretic, qui a collaboré avec Gwyneth sur la bougie. « Nous avons choisi le cyprès hinoki pour sa capacité à remonter le moral et à créer une force d’enracinement et un sentiment de calme », ​​explique-t-il.

« La rose de Damascena est appréciée pour encourager la communication ainsi qu’équilibrer et renforcer le chakra du cœur. Et nous avons inclus des silex de cacao grillé pour approfondir et ajouter de la sensualité, ainsi que de la coriandre pour l’éclat. La bougie est fabriquée avec une combinaison d’huiles essentielles et de matières synthétiques sûres et mélangée à de la cire végétale pure avec une mèche en coton sans plomb. Il brûle pendant une soixantaine d’heures. J’aime le parfum pour sa capacité à raconter des histoires et à donner une voix à des choses qui échappent à la fois à la vue et au son. Le parfum est invisible et silencieux, et pourtant il a le pouvoir d’affecter considérablement la façon dont nous nous sentons » déclare Little.

Crédit:@hereticparfum via IG

Si vous êtes de celleux qui suivent de près ou de loin Roe contre Wade, qui luttent pour la liberté reproductrice, qui donnent directement ou manifestent pour le changement, on s’est dit que la bougie « Hands Off My Vagina » pourrait vous plaire.

Malheureusement, la bougie est seulement disponible aux États-Unis pour le moment, mais on se la procurera certainement lors de notre prochain roadtrip!

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Ton petit look

Le Texas et l’Ohio restreignent l’accès à l’avortement

Le New York Times rapporte que les États de l’Ohio et du Texas ont annoncé que les avortements feraient partie des procédures médicales non essentielles et seront donc reportés jusqu’à nouvel ordre.

Dans certains endroits des États-Unis, l’avortement est un sujet très sensible et les militants anti-IVG (interruption volontaire de grossesse) parlent très, très fort. 

Depuis les deux dernières années, on a vu plusieurs offensives de la part des militants anti-avortement pour limiter, voire interdire la procédure médicale. 

Les différents projets de loi lancés ont tous été majoritairement bloqués, mais le lobby reste intact. 

En temps de crise, il n’est pas rare de voir certains politiciens profiter de l’attention médiatique concentrée sur un sujet pour faire passer des décisions « à la vite », sans avoir la même opposition qu’en temps normal, puisque toute la force politique se concentre sur la gestion de crise. 

Au Canada, on peut le voir actuellement avec le gouvernement Trudeau qui continue de travailler sur les projets de forages pétroliers en mer (source : Le Devoir) alors que visiblement, personne à l’opposition ou chez les militants environnementaux n’a la tête ou le temps de donner son opinion et avoir une réelle discussion démocratique sur le sujet.

Pour en revenir au Texas et à l’Ohio, les deux états ont décidé de placer les interruptions volontaires de grossesse dans la liste des procédures médicales non essentielles. 

Cela veut dire que tous les avortements seront reportés après la crise de la COVID-19. Seules les grossesses présentant un risque pour la mère pourront être avortées. Les contrevenants risquent une amende jusqu’à 1000$ ou 180 jours de prison.

Cette décision pose un grand problème quant à l’accès de cette procédure. Un trop long délai d’attente fera en sorte que plusieurs femmes ne pourront simplement pas se faire avorter et devront mener leur grossesse à terme. 

Plusieurs militants pour le droit à l’avortement voient cette décision comme une manière d’utiliser la crise de la COVID-19 pour pousser leur agenda politique

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Ton petit look

La seule clinique privée qui pratique l’avortement au Nouveau-Brunswick ferme ses portes!

La seule et unique clinique qui pratiquait l’avortement au Nouveau-Brunswick vient de fermer ses portes par manque de moyens financiers. Puisque les lois provinciales encadrant l’avortement interdissent qu’il soit pratiqué ailleurs que dans des établissements hospitaliers, la clinique privée 554 survivait, dans les derniers temps, grâce à des donations de la communauté. C’est absolument consternant.

La Presse révèle aussi que si au Québec, une cinquantaines d’hôpitaux et cliniques pratiquent l’avortement, au Nouveau-Brunswick, les personnes qui désirent une interruption volontaire de grossesse doivent maintenant se rendre à un des deux hôpitaux de Moncton ou à celui de Bathurst maintenant que la clinique de Fredericton est fermée.

Pour plusieurs, cela impliquera des déplacements de plus d’une centaine de kilomètres, ce qui nécessite évidemment des ressources financières et matérielles (comme une voiture ou l’accès à un permis de conduire).

Le directeur médical de la clinique en question, Dr Adrian Eoin Edgar, a dû annoncer la triste nouvelle sur les réseaux sociaux et implore les chefs de partis fédéraux d’agir. « Je suis attristé que durant cette campagne électorale, nos leaders aient mis l’accent sur la possibilité de rouvrir ou non le débat sur l’avortement plutôt que sur la réelle crise actuelle : l’accès. » peut-on lire dans La Presse.

Pour l’instant, Jagmeet Singh a été le seul à répondre à cette nouvelle; il affirme par voie de communiqué que « les néo-démocrates feront de l’expansion de l’accès aux services d’avortement une priorité afin que des établissements comme la Clinique 554 puissent continuer à servir leurs collectivités ».

Source: La Presse

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Art de vivre

Entrevue avec une accompagnante à l’avortement

D’abord professionnelle de la santé en périnatalité et santé reproductive, Mélina Castonguay est également accompagnante à l’interruption de grossesse et à l’avortement. Puisque j’ai découvert cette profession il y a quelque temps, j’ai donc pensé m’entretenir avec elle.

Quelle a été ta formation pour devenir accompagnante à l’interruption de grossesse?

Pour l’instant, il y a peu de formations offertes puisque c’est très récent au Québec. J’ai donc dû faire de l’autoformation en me basant sur mon baccalauréat en pratique sage-femme. C’est pour cette raison que j’ai obtenu des subventions pour créer une formation basée sur les connaissances scientifiques. La formation d’une durée de 40 heures vise la compréhension du déroulement d’une interruption de grossesse, ainsi que l’accompagnement global de la personne. La formation permet d’obtenir la certification de Doula à l’interruption de grossesse à l’avortement – niveau 1 après la réussite d’un examen.

Qu’est-ce qui t’as amenée à faire cette formation en tant que sage-femme?

J’ai eu un intérêt pour l’accompagnement lorsque j’ai fait mon baccalauréat comme sage-femme. Même si les deux formations peuvent paraître en contradiction, ce n’est selon moi pas le cas. Dans l’histoire, les sages-femmes étaient généralement celles qui étaient impliquées dans les interruptions de grossesse. La question est donc à partir de quand les sages-femmes ont cessé de s’intéresser à la question. Avec ma formation, j’arrive à comprendre toutes les étapes de la grossesse y compris les interruptions. 

Est-ce que tu peux être présente tout au long de la procédure ou est-ce que tu dois sortir pour être certaine que la femme n’est pas influencée dans sa prise de décision?

Puisque les personnes ont le droit d’être accompagnées lors d’une interruption de grossesse, je peux être présente à toutes les étapes. Cependant, certaines cliniques ou certains médecins ne sont pas à l’aise que les femmes soient accompagnées. Ça ne fait pas encore partie de la culture institutionnelle. C’est un peu comme lorsque les papas, historiquement, ne pouvaient pas assister à l’accouchement. Si c’est le cas, l’accompagnante pourra faire les démarches pour s’assurer d’être présente.

Crédit: Mélina Castonguay

Est-ce que tu fais de l’accompagnement lors des fausses couches?

Oui, je peux accompagner une personne qui vit ou a vécu une fausse couche. En tant que sage-femme, je peux aussi être présente en soutien lors d’autres événements liés à la santé reproductive par exemple : difficultés de conception ou deuil périnatal.

Quel est le suivi post avortement?

Après l’interruption de grossesse provoquée, j’accompagne la personne selon ce qu’elle a vécu et selon ses besoins. L’accompagnement est personnalisé. Cependant, si elle a besoin d’un soutien psychologique, j’invite toujours les personnes à consulter un professionnel

Est-ce qu’il y a un cadre légal à la pratique? Un ordre professionnel? Est-ce que ça rentre dans la pratique d’autres professionnel.le.s?

Pour l’instant les accompagnantes à l’interruption de grossesse ne sont pas dans un ordre professionnel. La profession peut se comparer à celle de la doula. Aussi, la reconnaissance de la formation varie en fonction de l’école où elle a été obtenue. Plusieurs personnes qui sont formées ou qui veulent être formées travaillent déjà dans des domaines liés à la grossesse (sage-femme, infirmière, doula, etc.). Il faut savoir que la formation d’accompagnante compte pour la formation continue de plusieurs professionnels tels que les membres de l’ordre des infirmières du Québec.

Combien coûtent les services d’une accompagnante?

Puisqu’il s’agit d’un service offert au privé, en l’absence de financement public, le prix varie en fonction des services reçus. Le prix varie aussi d’une accompagnante à l’autre. Il est aussi possible pour une accompagnante de créer un fonds pro bono pour pouvoir offrir le service à tous.

Comment les gens te contactent habituellement?

Pour l’instant c’est par le bouche-à-oreille [ou par un texte sur TPL Moms], puisque les gens ne sont même pas au courant que ce type d’accompagnement existe. Plus la profession sera connue, plus les femmes pourront trouver une accompagnante par une recherche en ligne.

Pour d’autres informations ou pour contacter Mélina, c’est ici.

Pour connaître davantage son rôle, c’est ici.

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La clinique Morgentaler ferme ses portes après 20 ans

Triste nouvelle ou bonne chose, selon le point de vue, la nouvelle concernant la fermeture de la clinique Morgentaler de Fredericton rapportée par Le Devoir risque de créer plusieurs réactions.

Le Dr Henry Morgentaler est un personnage emblématique pour le mouvement pro-choix et s’est inscrit dans l’histoire du Québec dès 1967 en devenant le porte-étendard et le leader du mouvement des droits des femmes à l’égard de l’avortement.

20 ans après la création de la clinique Morgentaler de Fredericton, celle-ci devra maintenant fermer ses portes faute de revenus et de fonds, rapporte cette même source. Les procédures d’avortement ne sont pas remboursées systématiquement pas le régime médical public du Nouveau-Brunswick.

Les frais de la procédure oscillant autour de 800 à 900 dollars, les dirigeants doivent maintenant se résigner à fermer la clinique privée.

Le Dr Morgentaler avait intenté un recours contre le gouvernement du Nouveau-Brunswick afin que ce dernier rembourse les frais, mais la cause a été suspendue depuis le décès du célèbre médecin de famille, en mai 2013.

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Trouble alimentaire et grossesse, une combinaison dangereuse

Cependant, Science World Report ajoute à cela les indications de l’International Journal of Eating Disorders, dans lequel on cite également les risques élevés de fausse couche, d’avortement ou de mort-né.

Selon les données recueillies par la Dre Milla Linna, de l’Université finlandaise de Helsinki, 5 à 10 % des femmes souffrent de troubles alimentaires. L’étude comparative a été menée sur une période de 15 ans (de 1995 à 2010) auprès de 11 000 femmes.

Sur le lot, 2257 jeunes femmes souffraient de troubles alimentaires et étaient suivies par la Clinique du centre hospitalier de l’Université d’Helsinki.

La conclusion :

– Les femmes souffrant de boulimie étaient 3 fois plus à risque de fausse couche et 2 fois plus enclines à l’avortement.

– Chez les femmes anorexiques, la moitié des grossesses se sont terminées par une fausse couche.

Dre Linna est catégorique. Sans un suivi adéquat, les conséquences sont désastreuses. « Il faut absolument détecter le problème tôt, apporter les soins adéquats et assurer un suivi sur une période plus longue pour prévenir les risques. »

L’obésité et la sous-alimentation conséquentes des troubles de boulimie et d’anorexie sont reconnues comme des facteurs de risque de grossesse accidentelle. En effet, ils sont souvent accompagnés d’irrégularités ou d’absence du cycle menstruel, et par conséquent, les femmes se préoccupent moins des moyens de contraception.

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Potins

Mark Ruffalo défend sa mère

Dans une lettre ouverte, Mark Ruffalo explique sa position prochoix en matière d’avortement, se référant au cas de sa mère, qui a dû avoir recours à une procédure illégale dans sa jeunesse.

L’acteur demande aux législateurs de ne pas céder aux pressions pour interdire l’accès à l’avortement, donnant en exemple l’expérience vécue par sa propre mère.

« Je suis un homme, et je pourrais dire que cela n’a rien à voir avec moi. J’ai toutefois deux filles, et j’ai aussi une mère, qui a été forcée d’avoir un avortement illégal dans sa jeunesse, lequel avait coûté 600 $. Cela a été une chose traumatisante pour elle, honteuse, sordide et dégradante. […] Ma propre mère a dû lutter, et elle a vécu sa vie comme une mère qui a choisi du moment où elle aurait des enfants et qu’elle pourrait gagner sa vie. Je veux que mes filles puissent avoir le même choix », explique Ruffalo.

La star a deux filles et un fils avec sa femme, Sunrise Coigney.