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Justin Bieber embarrassé par sa mère

Le film s’intitule Crescendo et parle de l’avortement, ou plus précisément des arguments contre l’avortement.

Alors que Justin Bieber a suffisamment de publicité sous le nez dernièrement avec sa rupture avec Selena Gomez et la photo de lui fumant de l’herbe, sa mère ne fait que mettre de l’huile sur le feu.

Crescendo devrait être lancé le 28 février prochain. Pattie Mallette souhaite, à l’aide de ce court métrage, amasser de l’argent pour les femmes enceintes à travers le pays.

Une source a confié au Sun-Times : « Justin est très mal à l’aise lorsqu’il s’agit de politique – surtout lorsqu’il s’agit de sujets délicats comme l’avortement. Il veut être avec ses fans, sur scène et promouvoir sa musique. Qui plus est, je ne crois pas qu’il soit en accord avec ce que sa mère vient de faire ».

Malheureusement pour Bieber, les écrits restent. Lors d’une entrevue avec Rolling Stone en 2011, la jeune star a affirmé : « Je ne crois pas du tout à l’avortement… C’est comme tuer un bébé ».

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La poursuite contre Justin Bieber a été abandonnée

La requête provenait de Stacey Betts, qui accusait le chanteur de lui avoir causé des dommages permanents à l’ouïe, après que celle-ci ait assisté à l’un de ses concerts en 2010.

Plus précisément, une source a confié à TMZ que Betts a rempli le formulaire la semaine dernière, expliquant qu’elle n’avait pas d’avocat et sentait qu’il lui était impossible de poursuivre seule les démarches juridiques.

La femme, qui a assisté avec sa fille au concert de Bieber à Portland, en Oregon, affirmait que le jeune chanteur mettait volontairement ses fans dans un tel émoi que leurs cris avaient causé des lésions permanentes à ses tympans.

Une autre femme, entretemps, essaie de tirer profit de la notoriété de Bieber. Il s’agit de sa mère, Pattie Mallette, qui a produit un nouveau film contre l’avortement et souhaite attirer l’attention sur son œuvre.

Pattie, qui a donné naissance à Justin Bieber alors qu’elle n’avait que 19 ans, a aussi été abusée sexuellement durant son enfance. Elle espère amasser 10 millions de dollars avec son court métrage Crescendo. Les fonds seraient remis aux différents centres de grossesse à travers le monde entier.

La mère de 37 ans croit que son agression sexuelle et ses dépendances l’ont menée à tomber enceinte à un jeune âge. Elle espère donc prévenir cette situation chez les autres jeunes femmes.

Une belle façon de signifier à la planète entière qu’elle regrette d’être tombée enceinte de son fils…

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Offrir des contraceptifs gratuitement réduit le nombre d’avortements

Une nouvelle étude publiée dans la revue médicale Obstetrics & Gynecology présente les conclusions d’un projet d’une durée de trois ans, ayant procuré des contraceptifs sans frais à 9256 adolescentes et femmes.

Celles-ci étaient conseillées sur la meilleure méthode contraceptive pour elles, et 76 % ont choisi une méthode dite de longue durée (par exemple les implants sous-cutanés et les dispositifs intra-utérins, aussi appelés stérilets).

Ces méthodes sont plus efficaces que les autres contraceptifs comme les anovulants et les préservatifs, mais sont moins utilisées, entre autres parce qu’elles sont plus coûteuses.

Cette étude est importante dans une perspective où environ la moitié des grossesses aux États-Unis ne sont pas prévues, ce qui coûte 11 milliards aux contribuables américains chaque année, ont remarqué les auteurs.

Ceux-ci soulignent que les taux d’accouchement chez les adolescentes participant à l’étude ont également diminué « beaucoup en deçà » des moyennes nationales.

La Dre Alice Mark a affirmé que l’étude procure « un soutien accru en faveur d’un plus grand accès à la contraception gratuite, particulièrement pour les femmes à haut risque ainsi que les très jeunes femmes, incluant les méthodes de longue durée », tel que rapporté par Medscape.

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Une nouvelle étude se penche sur l’avortement

Selon cette étude, l’Angleterre (incluant le Pays de Galles) avait le taux d’avortements le plus élevé, soit 22 sur 1000, suivi de près par la Suède, avec 21 pour 1000. Les taux les plus bas ont été observés en Allemagne et en Slovaquie.

Lorsqu’étudié par tranche d’âge, l’avortement était plus susceptible d’arriver à une femme dans la vingtaine, souvent à cause d’un problème avec un moyen de contraception.

Ainsi, les femmes de 20 à 24 ans étaient les plus touchées par une interruption volontaire de grossesse. Aux États-Unis, par exemple, 40 avortements sur 1000 étaient subis par une femme dans la jeune vingtaine, de même que 34 avortements sur 1000 en Estonie, et 33 avortements sur 1000 en Suède.

Les adolescentes de 15 à 19 étaient moins touchées par le phénomène, mais celles-ci comptaient tout de même pour 18 % de l’ensemble des avortements, une proportion qui s’est avérée semblable en Europe comme en Amérique du Nord.

L’étude a été publiée dans la revue médicale International Perspectives on Sexual and Reproductive Health. 

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De plus en plus de femmes avortent pour des raisons économiques

Selon 7 sur 7, les femmes choisissent d’avorter si leur bébé n’arrive pas au bon moment. En fait, elles tiendraient plutôt à ce que leur bébé arrive au moment opportun tant dans leur vie familiale que professionnelle.

Les femmes qui estiment ne pas avoir les moyens d’élever un enfant préfèrent donc reporter le moment où elles fonderont leur famille.

Selon la directrice générale du British Pregnancy Advisory Service, Ann Furedi, l’avortement est le plan d’urgence des femmes.

« Les femmes ont recours à l’avortement comme plan B quand la contraception échoue », soutient-elle.

Rappelons que le fait d’allaiter coûte cher aux mamans. Souvent contraintes d’arrêter de travailler pour pouvoir allaiter aisément, les femmes se condamnent à gagner moins d’argent ou tout simplement à dépendre de leur conjoint, car elles demeurent à la maison plus longtemps.

De plus, selon une étude effectuée en 2011, un enfant coûte aux parents environ 14 500 $ par an jusqu’à ses 21 ans.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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La trisomie ne brime pas une vie familiale

Plus de 332 parents vivant ou ayant vécu avec 272 enfants atteints de trisomie 13 ou 18 ont été interrogés dans le cadre d’une étude réalisée par la Dre Annie Janvier, du Centre universitaire de l’Hôpital Sainte-Justine et de l’Université de Montréal, et par Barbara Farlow, mère d’un enfant décédé de la trisomie 13.

Alors que les enfants atteints de trisomie 13 et 18 ont une espérance de vie courte et sont gravement handicapés, la majorité des parents se sont fait dire par les spécialistes que leur vie ne serait pas facile.

Parmi les parents, 87 % confirment qu’un professionnel de la santé leur a déjà dit que leur enfant serait « incompatible à leur vie », 50 % que leur petit serait « légume », 57 % auraient une « vie de souffrance », et 23 % se sont même fait dire que leur bébé « ruinerait leur vie familiale ou leur couple ».

Cependant, il s’avère que 97 % d’entre eux considèrent que leur enfant est ou était heureux, et que sa présence a enrichi la vie de leur famille et leur vie de couple, indépendamment de sa durée de vie.

Généralement, les enfants trisomiques (13 et 18) ne survivent pas au-delà de leur première année de vie. Ceux qui réussissent à passer ce cap ont une incapacité grave et une vie courte.

Plusieurs parents décident d’interrompre la grossesse lorsqu’ils reçoivent un diagnostic de ce genre. Ceux qui donnent naissance à un enfant dans cette condition sont souvent jugés et étiquetés par la société et même par les professionnels de la santé, confient les parents interrogés.

Barbara Farlow espère que « les résultats amélioreront la capacité des médecins à comprendre, communiquer et prendre des décisions avec ces parents ».

La trisomie 13 ou 18 est rare, elle touche environ un cas sur 10 500 naissances.

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Qu’est-ce qui pousse les mères qui ont eu recours à la FIV à avorter?

Tous les 15 jours, un bébé qui a été conçu par fécondation in vitro voit sa vie cesser dans le ventre de sa mère, parce qu’on lui diagnostique une possible forme de handicap. Ce sont en fait 123 fœtus qui meurent, selon une étude anglaise.

Il est ressorti que la trisomie 21 est la principale cause des avortements des bébés éprouvette.

Ce sont 31 mères parmi les dénombrées qui choisissent de mettre un terme à leur grossesse pour cette raison.

En raison d’une anomalie fœtale, 19 ont recours à l’avortement, 15 parce qu’elles ont appris que leur petit souffrirait du syndrome d’Edward, et 22 ont préféré ne pas révéler les raisons qui les ont poussées à se faire avorter, même si elles ont investi temps, argent et énergie dans la fécondation in vitro.

C’est d’ailleurs ce que rapprochent les militants pro-vie à ces femmes. Un article du site 7sur7.be relate que ces derniers disent « que certaines mères traitent leur bébé comme des biens de concepteur : elles paient une fortune pour le concevoir, mais ensuite, elles avortent quand elles apprennent qu’il ne sera pas parfait ».

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Un test pour dépister des problèmes génétiques avant la naissance

En fait, les médecins pourront prédire le code génétique complet du poupon en prenant un échantillon de sang d’une femme enceinte depuis 18 semaines ou moins, ainsi qu’un échantillon de salive du père.

Les experts croient qu’avec le temps, le test en question, qui deviendra accessible à tous, sera plus sophistiqué et permettra de détecter plus de 3500 défauts génétiques.

De plus, ce test serait nettement plus sécuritaire. La technique actuelle de dépistage consiste à insérer une sonde dans l’utérus afin de prélever le fluide du sac foetal ou de prélever un échantillon du placenta, ce qui peut être dangereux pour la mère et son bébé.

Cette percée de la science présentée dans le journal Science Translational Medecine suscite des inquiétudes quant au nombre d’avortements qui pourrait augmenter considérablement.

« On espère toujours, en vain, que les tests in utero profiteront à l’enfant à naître. Mais tandis que ce nouveau test n’est pas invasif en soi, si l’on se fie à nos antécédents, c’est difficile de ne pas imaginer qu’il mènera à plus d’avortements », déplore la fondatrice de la Pro-Life Alliance, Josephine Quintavalle.

Rappelons que l’avortement répété est en hausse depuis le début des années 2000. Il concerne surtout les femmes de 35 ans et plus. Cela pousse certains experts à croire que des femmes considèrent cette méthode comme un moyen de contraception.

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L’avortement est-il perçu comme un moyen de contraception?

Celles qui ont recours à l’avortement à répétition ont souvent déjà plusieurs enfants à leur charge, sont sur le chômage ou vivent des situations instables dans leur vie personnelle ou relationnelle, indique un précédent rapport de l’Observatoire régional de la santé de Bourgogne paru en 2005.

Le taux d’interruption volontaire de grossesse (IVG) répétée augmenterait d’ailleurs avec l’âge, révèle un nouveau rapport du National Health Service britannique, qui vient de mettre en garde la population quant à l’utilisation de l’avortement comme simple moyen de contraception.

En effet, selon les dernières statistiques, le nombre d’IVG à répétition pratiquées au Royaume-Uni serait passé de 30 % en 2000 à 34 % en 2010.

Il semblerait que le pays dépense l’énorme somme d’un million de livres par semaine pour mettre volontairement un terme à des grossesses non désirées.

Avec un taux de 35 % d’avortements répétés, le problème est également à prendre en considération en France, selon le rapport.

Malgré des statistiques déplorables et un portrait typique des femmes qui sont le plus susceptibles d’avoir recours à l’IVG répétée, le document ne fait pas état des raisons et motivations qui peuvent pousser les femmes à mettre un terme à leurs grossesses.

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Accouchement : les femmes éduquées meurent moins

Une analyse scientifique du Chili, qui a accumulé pendant 50 ans les données concernant la mortalité chez les mères, a conclu que les femmes qui ont une certaine éducation réduisent leurs risques de mourir pendant la grossesse ou à l’accouchement.

En effet, ces dernières seraient plus portées à se renseigner, à pratiquer de saines habitudes de vie, à accéder à des ressources de santé et à faire affaire avec des médecins ou des sages-femmes reconnus, dévoile la recherche publiée dans la revue PLoS ONE.

C’est en se basant sur les données recueillies entre 1957 et 2007 au Chili que les chercheurs se sont aperçus que le niveau d’éducation pouvait avoir un meilleur impact sur le taux de survie des mères, comparativement à d’autres facteurs susceptibles d’affecter la mortalité maternelle, comme le revenu par habitant, le nombre de grossesses de la femme, l’approvisionnement en eau propre, etc.

Les chercheurs ont tenté de démontrer que l’éducation est le modulateur majeur qui a permis au Chili d’atteindre une position parmi les pays les plus sûrs pour la maternité, avec le Canada et les États-Unis.

L’éducation contribue également à diminuer le nombre de grossesses non désirées à un jeune âge, tout comme à éviter que les femmes attendent trop tard pour la maternité et courent de graves risques, selon les experts.