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Les foetus avortés utilisés comme ingrédient culinaire?

Aussi spécial que cela puisse paraître, il semblerait, selon cet élu républicain, que des cellules souches embryonnaires ou de fœtus soient utilisées pour rehausser la saveur et le goût de certains aliments.

Provenant de fœtus avortés, ces cellules joueraient un rôle d’édulcorant naturel.

Outré, Ralph Shortey a partagé ses intentions et son opinion lors de diverses entrevues. Il vient de déposer un projet de loi et demande à ce que les fœtus avortés ne soient plus utilisés à cette fin.

Le peuple américain semble être méfiant et avoir une opinion mitigée quant aux affirmations du politicien, qui semble chercher des poux où il n’y en a pas depuis quelques années.

Rappelons qu’en 2008, Ralph Shortey avait réclamé que les candidats à la Maison Blanche prouvent leur citoyenneté américaine, visant ainsi directement Barack Obama, accusé de ne pas être né sur le sol américain.

Depuis un an, Shortey affirme enquêter sur l’utilisation des fœtus humains dans l’alimentation, après avoir découvert que des groupes anti-avortement avaient soi-disant appris que le géant Pepsi avait recours à ce genre de pratique peu éthique.

L’entreprise Pepsico a immédiatement démenti de fait par voix de communiqué, et la FDA n’a fait aucun commentaire.

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De plus en plus d’avortements ne sont pas sécuritaires dans le monde

Selon une étude du Guttmacher Institute et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le taux d’avortement a augmenté pour les femmes âgées de 15 à 44 ans entre 2003 et 2008, passant ainsi de 41,6 millions à 43,8 millions par année.

Au cours des 30 dernières années, 20 % des grossesses sur la planète se sont terminées par un avortement.

Selon les données de l’OMS, la plupart des avortements sécuritaires sont réalisés quotidiennement en Europe et en Amérique du Nord.

En Afrique, 97 % des avortements sont considérés non sécuritaires, tandis qu’en Asie, le continent est divisé en deux, alors que l’est se révèle être règlementaire dans sa manière de faire et que 65 % de l’Asie du Sud centrale exposeraient les femmes enceintes à un réel danger.

50 % des grossesses non désirées seraient dues à un manque de contraception dans certains pays ou à un oubli de la part d’autres femmes.

Selon les spécialistes, condamner l’avortement en le qualifiant de crime pour l’humain n’aide guère à la condition de la femme qui, par cause de jugement ou pour respecter la loi dans son pays, prend trop souvent des décisions dangereuses pour sa santé.

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Grossesse : au bout de cinq semaines, une prise de sang dévoile le sexe du bébé

Grâce à un test non invasif, la prise de sang, les chercheurs de l’Hôpital général de Cheil, à Séoul en Corée du Sud, ont constaté que divers éléments de deux enzymes — qui peuvent être extraits du sang de la femme enceinte — indiquent le sexe du bébé dès cinq ou six semaines.

Avec ce test, qui est moins dangereux, les scientifiques disent qu’ils peuvent maintenant réduire de moitié l’attente des tests invasifs (extraire un échantillon de la poche amniotique qui protège le fœtus), qui exigent 11 semaines de grossesse pour identifier le sexe du bébé.

Le Dr Hyun Ryu Mee a déclaré que connaître aussi tôt le sexe est important si la mère est porteuse d’un gène du chromosome X qui peut causer une maladie comme la dystrophie musculaire ou l’hémophilie. Si le fœtus est porteur de la maladie, les parents pourraient choisir l’avortement plus tôt.

Toutefois, l’équipe fait une mise en garde : « Cette méthode pourrait aussi favoriser le potentiel de la sélection du sexe, surtout en Asie. Par conséquent, il devrait y avoir un examen attentif de l’utilisation de cet outil d’analyse dans les situations cliniques ».

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Échographies : ne pas révéler le sexe du bébé pour sauver la vie de fillettes canadiennes

Ne pas révéler le sexe de l’enfant à naître avant la 30e semaine de la grossesse afin d’éviter des avortements de foetus féminins trop fréquents dans certains groupes d’immigrants asiatiques au Canada, voilà la solution que suggère un important journal médical canadien.

Quoique plus rare en Amérique du Nord, le foeticide en fonction du sexe de l’enfant touche des millions de personnes en Inde et en Chine.

Lorsque cette action est faite au Canada, celle-ci est à la demande de parents d’origine indienne, chinoise, coréenne, vietnamienne ou philippine.

Des études basées sur le recensement de 2000 aux États-Unis ont confirmé des ratios déséquilibrés en faveur des garçons dans les familles d’origine asiatique, en raison de cette réalité morbide.

Dans son éditorial, le rédacteur en chef par intérim du Journal de l’Association médicale canadienne (CMAJ), le Dr Rajendra Kale, déclare que ne pas révéler le sexe du foetus avant la 30e semaine de grossesse « est un prix modeste à payer pour sauver des milliers de filles au Canada ».

« Si le Canada est incapable de contrôler cette pratique répugnante, quel espoir peut-on avoir en Inde et en Chine? » a-t-il dit, insistant sur le fait que l’information sur le sexe du foetus est « médicalement sans importance ».

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Plus d’un bébé sur 50 naît avec une malformation

Le nombre de naissances avec anomalies aurait presque doublé au cours de la dernière décennie, passant ainsi d’un bébé touché sur 80 à un bébé sur 50.

Ceci est le compte-rendu d’un rapport de Joan Morris, professeure du département de statistiques médicales de l’Université londonienne Queen Mary, et du British Isles Network of Congenital Anomaly Registers (Binocar).

Les dernières statistiques ont révélé que ces bébés étaient atteints majoritairement de trisomie 21, d’anomalies du tube neural comme le spina-bifida (un cas sur 1000), de gastroschisis (un cas sur 1000) et de cardiopathie congénitale (plus de 5 bébés sur 1000). Six pour cent des bébés atteints de cette dernière malformation mourront avant d’avoir eu un an.

Seulement en Angleterre et au Pays de Galles, les chercheurs estiment que 14 500 bébés seraient nés avec l’un de ces handicaps en 2009. Cinquante-trois pour cent de ces cas ont été détectés durant la grossesse, et 43 % de ceux-ci se sont terminés en avortement. Soixante-huit pour cent ont été diagnostiqués à la naissance, 9 % après une semaine, et 17 % après un mois.

Selon un sondage, les parents qui ont un bébé malade parlent peu de leur vie personnelle. Il existe tout de même de plus en plus de registres avec divers renseignements, dans différents pays, pour permettre l’avancée des recherches.

L’environnement dans lequel on vit, un jeune âge chez la mère et la consommation de drogue, de cigarettes et d’alcool sont tous des facteurs qui entreraient en ligne de compte.

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Effet de l’avortement sur la santé mentale

Une étude présentée par l’Academy of Medical Royal Colleges remet les pendules à l’heure quant aux prétendus risques de problèmes de santé mentale engendrés par un avortement.

Il vient d’être démontré, comme nous le lisons sur Mail Online, qu’un avortement n’augmente pas ces risques chez une femme. En fait, qu’il y ait interruption ou non de la grossesse, ils existent.

En effet, il semble qu’une grossesse non désirée, qu’elle soit interrompue ou menée à terme, double les risques de problèmes de santé mentale. Cette constatation a été faite après la revue de 44 études qui englobaient des centaines de milliers de femmes.

Dans la population en général, près de 12 % des gens souffriront d’une dépression ou d’anxiété à un moment de leur vie. Cette proportion passe à près du tiers chez les femmes qui ont vécu une grossesse non désirée.

Les chercheurs ont par ailleurs souligné que les femmes qui avaient connu des problèmes de santé mentale avant cette grossesse étaient plus enclines à en souffrir une nouvelle fois.

On ne saurait statuer, finalement, qu’une grossesse non désirée peut provoquer des problèmes de santé mentale; ils pouvaient être latents, ou ce pourrait être une combinaison de facteurs qui les déclenche.

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Plus d’accès à la césarienne

On en parle beaucoup depuis quelque temps, l’accouchement par césarienne est de plus en plus commun. Ce type de naissance serait d’ailleurs plus facilement accessible aux femmes en réponse à la peur de l’accouchement que certaines peuvent avoir.

Mentionnons que dans certains cas, des femmes ont si peur d’accoucher qu’elles songent à l’avortement, comme le rapporte Mail Online.

Ainsi, au Royaume-Uni par exemple, une femme qui est très inquiète quant au travail de l’accouchement pourra le faire par césarienne, et ce, sans aucune justification médicale.

Une nouvelle réglementation permettra en effet aux femmes qui présentent des symptômes d’anxiété, qui ont peur ou qui présentent des signes d’un problème de santé mentale de subir une césarienne.

Ici comme au Royaume-Uni, en général, on planifiera une césarienne si une femme est enceinte de jumeaux, si elle souffre de diabète ou qu’elle a une forte pression artérielle, ou si le bébé est placé dans une position problématique.

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L’avortement médicamenteux, une pratique qui banalise l’interruption de grossesse

Genethique.org rapporte les récentes statistiques publiées dans le Liberté Politique en France. L’auteur de la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DRESS), Pierre-Olivier Arduin, fait le résumé des résultats de l’étude.

La recherche indique que l’interruption volontaire de grossesse (IVG) supplante désormais en nombre la méthode d’avortement assistée par le corps médical. Des données plutôt alarmantes, qui banalisent le geste d’avortement.
 
L’ingestion du RU 486 a été autorisée en 1988 en Europe. Depuis, le nombre de femmes qui l’utilise a quintuplé. Aujourd’hui, il n’est même plus nécessaire d’aller à l’hôpital. Un cabinet privé peut tout autant vous prescrire le médicament, que vous prenez devant le praticien, puis vous retourner chez vous, dans une totale solitude, pour avorter dans votre toilette.
 
La France ne s’arrête pas là. Des moyens de pression sont en cours pour permettre aux sages-femmes d’administrer la médication, puisque cette montée exponentielle nécessite, aux dires de Arduin « de nouveaux personnels pour répondre à la demande qui s’emballe ». Il ajoute qu’il s’agit « d’un véritable bouleversement de la pratique de l’avortement en France ». Et comment!
 
La DRESS affirme que le taux d’avortement le plus élevé se situe chez les femmes de 20 à 29 ans. Pourtant, la France détient le record du monde quant à l’utilisation des moyens contraceptifs.

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Les avortements ne causent pas plus de problèmes psychiatriques

Une nouvelle étude confirme des résultats antérieurs disant qu’un avortement ne provoque pas de dépression chez la femme.
 
Selon le New England Journal of Medicine, des chercheurs danois ont noté très peu de différence entre les visites psychiatriques avant ou après un avortement.
 
Les scientifiques ont suivi 84 620 filles et femmes ayant subi un avortement et 280 930 ayant eu un premier accouchement.
 
Les femmes qui avaient vécu un avortement ne vivaient pas plus de dépression ou de syndrome de stress post-traumatique. Plusieurs études n’ont jamais réussi à établir un lien clair.
 
Bien que les femmes qui avaient eu un avortement aient eu un peu plus de problèmes de santé mentale, le nombre de visites chez le psychiatre avant et après la procédure marquait une différence de seulement 0,5 %.
 
On croit également que ces problèmes de santé mentale sont déjà présents avant même l’avortement, ce qui fait sans doute que les femmes choisissent cette option d’ailleurs.
 
Pour les femmes ayant accouché, les visites avant et après la naissance chez le psychiatre augmentaient de 0,4 %.
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Un lien entre l’anorexie et les grossesses non désirées

Les femmes atteintes de ce trouble alimentaire seraient en fait plus à risque de connaître une grossesse non désirée, voire un avortement, nous apprend le journal Obstetrics & Gynecology.

Une étude menée en Norvège démystifie les présupposés liés aux anorexiques. Il serait donc faux de croire que si leurs menstruations deviennent irrégulières ou absentes, elles ne peuvent tomber enceintes tout de même.

Cynthia M. Bulik a mené cette étude de l’Université de la Caroline du Nord. Elle est la directrice du programme des troubles alimentaires de cette université.

Ses collègues et elle ont suivi 62 060 Norvégiennes. 62 d’entre elles étaient reconnues comme étant anorexiques.

Une grossesse imprévue a été rapportée par la moitié des femmes souffrant d’anorexie, contre 18,9 % chez les autres.

De plus, 24,2 % des femmes présentant ce trouble alimentaire avaient déjà subi un avortement. Les autres femmes l’avaient vécu selon un taux de 14,6 %.

Madame Bulik rappelle donc que les conséquences physiques liées à l’anorexie ne peuvent en aucun cas devenir un moyen de contraception.