Catégories
Uncategorized

Un test d’ADN pour connaître le sexe du bébé vers la septième semaine

Selon Mail Online, il s’agit ici d’un test sanguin tout simple. En relevant ainsi l’ADN du bébé à naître, on connaîtrait son sexe à 99 %, sans aucun risque pour lui.

Jusqu’ici, il fallait patienter jusqu’à la 20semaine pour connaître le sexe du bébé.

Ce test a été développé par la Dre Esther Guetta du Centre médical Sheba à Tel-Aviv, en Israël. Il sera dorénavant offert dans plusieurs cliniques privées à travers le monde.

Il consiste à repérer le chromosome Y propre aux hommes, les femmes présentant quant à elles deux chromosomes XX.

Déjà, des partisans pro-vie se soulèvent, car cette mesure pourrait encourager des avortements, en particulier en Chine et en Inde. Comme nous le savons, ces pays dénombrent de nombreux avortements et abandons de fillettes.

La Dre Guetta a donc fait appel à un comité d’experts pour traiter de la question éthique qu’entraîne ainsi son nouveau test.

Catégories
Uncategorized

L’avortement augmente les risques de cancer du sein

Un avortement triplerait les risques de cancer du sein pour une femme en fin de vie. C’est ce que révèle la nouvelle étude d’une équipe de chercheurs de l’Université de Colombo, au Sri Lanka, publiée dans la revue Cancer Epidemiology.
 
Les scientifiques voulaient faire la lumière sur la façon dont l’allaitement protégeait des maladies potentiellement mortelles comme le cancer, mais ils ont découvert que dans les facteurs de risque, on retrouvait l’avortement, en plus bien entendu du tabagisme et de l’apparition de la ménopause qui augmentent aussi les risques de cancer du sein.
 
Cette étude est toutefois contestée. Certains médecins disent que les femmes n’ont pas à s’inquiéter, car seulement 300 personnes ont participé à la recherche et que le taux d’erreurs statistiques est plus grand avec un petit échantillon.
 
Le Collège royal des obstétriciens et gynécologues reconnait qu’il y aurait un lien possible entre l’avortement et le cancer du sein, mais la grande majorité des professionnels britanniques n’est pas convaincue.
Catégories
Uncategorized

Le nombre d’avortements diminue dans le monde

De moins en moins de femmes ont des grossesses non désirées et, par conséquent, elles n’ont pas recours à l’avortement.

Selon une étude de l’Institut Guttmacher aux États-Unis, le nombre d’avortements a diminué dans le monde au cours des dernières années. Il est passé de 45,5 millions en 1995 à 41,6 millions en 2003.

Pour les grossesses non désirées, on est passé de 69 pour 1 000 femmes en 1995 à 55 pour 1 000 femmes en 2008.

Ce recul est toutefois modeste comparativement à ce qu’il pourrait être selon les spécialistes. L’usage plus rependu des contraceptifs est la principale cause de cette baisse.

Selon l’Institut, le nombre de femmes mariées qui ont recours aux contraceptifs est passé de 54 % en 1990 à 63 % en 2003.

On rappelle que l’avortement est encore interdit dans 32 pays et que 70 000 femmes meurent chaque année pour y avoir eu recours clandestinement.

Catégories
Uncategorized

Aucun lien entre la dépression et l’avortement

Des chercheurs, associés à l’Université Johns Hopkins de Baltimore aux États-Unis, ont analysé 21 études portant sur les conséquences psychologiques d’un avortement et concluent que les femmes ne sont pas plus dépressives à la suite de cet évènement.

« La meilleure recherche ne démontre pas l’existence d’un syndrome post-avortement qui pourrait se comparer au syndrome du stress post-traumatique », a mentionné le Dr Robert Blum. Il déplore que le mouvement pro-vie se serve de l’argument des conséquences traumatisantes d’un avortement pour convaincre les femmes de poursuivre leur grossesse.

Catégories
Uncategorized

L’avortement, de moins en moins accessible

Une recherche, menée par Marie-Eve Quirion, chercheuse associée à l’Institut de recherche et d’informations socio-économiques (IRIS), démontre qu’il est de plus en plus difficile pour les femmes qui souhaitent interrompre leur grossesse d’avoir accès à l’avortement.

C’est le sous-financement de la part du gouvernement provincial qui en est la cause, selon Mme Quirion. D’ailleurs, le remboursement des avortements pratiqués en clinique privée n’a pas amélioré l’accessibilité pour autant.

« Le gouvernement n’a pas suffisamment développé l’offre publique du service d’avortement. Les délais sont plus longs dans le public et les femmes sont poussées vers le privé. Donc, le gouvernement encourage les avortements dans des cliniques privées, qu’il rembourse pour un montant plus élevé que ce qu’il aurait dépensé dans le public », déplore Mme Quirion.

Catégories
Uncategorized

Le projet de loi C-484 condamné

Lors de leur congrès annuel, 88 % des 300 membres de l’Association médicale du Canada (AMC) ont voté pour une résolution s’opposant au projet de loi C-484 déposé par le gouvernement conservateur.

Selon l’AMC, ce projet de loi C-484 aura pour conséquence de compromettre l’accès à des services médicaux d’interruption de grossesse et ainsi reculer par rapport au droit des femmes de contrôler leur corps et leur désir de maternité.

Pour le Dr Paul Robinson, un généraliste de Gatineau spécialisé en santé mentale, le gouvernement de Stephen Harper fait fausse route en définissant le foetus comme une personne à part entière. « Toute personne a le droit de contrôler son corps », a-t-il souligné en parlant des femmes qui souhaitent interrompre leur grossesse.

Catégories
Uncategorized

Une recherche sur les conséquences de l’avortement très attendue

L’American Psychological Association (APA) vient de mettre un terme à un vieux débat entre les groupes pro-vie et pro-choix en présentant une recherche dans le cadre de son congrès annuel, qui se tient à Boston.

Les chercheurs concluent que l’avortement n’augmente pas l’incidence de troubles mentaux chez les femmes qui l’ont subi.

Pour en arriver à ces conclusions, l’équipe menée par la psychologue Brenda Major a analysé plusieurs recherches sur le sujet. Il en ressort qu’aucune d’entre elles n’est valide d’un point de vue méthodologique.

Bien que certains symptômes, comme la tristesse, la dépression et l’anxiété, soient observés à la suite d’une interruption de grossesse, le risque de souffrir de ces troubles mentaux n’est pas automatique.

« Les femmes qui vivent un avortement ne risquent pas plus de souffrir de troubles psychologiques que les femmes qui font une fausse couche durant leur premier trimestre », a conclu le rapport.

Catégories
Uncategorized

Chute du nombre d’avortements au pays

Statistique Canada rapporte que le nombre d’avortements au pays a encore connu une baisse en 2005, particulièrement auprès de la clientèle de moins de 20 ans.

96 815 avortements ont été pratiqués en 2005, comparativement à 100 039 l’année précédente, ce qui représente une baisse de 3,2 %.

Depuis plusieurs années, le taux d’avortement ne cesse de chuter au Canada. À titre d’exemple, 111 659 femmes ont interrompu leur grossesse en 1996.

Pour Corinne Leclercq, la présidente de l’Association des obstétriciens et gynécologues du Québec, plusieurs facteurs peuvent expliquer ce phénomène. Elle mentionne l’accès plus facile à la pilule du lendemain et la présence accrue d’infirmières dans les écoles afin de discuter de contraception avec les étudiants.

Catégories
Uncategorized

Moins d’avortements aux États-Unis

Selon un récent rapport, le nombre d’avortements aux États-Unis ne cesse de diminuer.

En 2005, 1,2 million d’interruptions volontaires de grossesse ont été pratiquées, comparativement à 1,6 million en 1990, ce qui représente une chute de 25 %.
 
En 2005, 19,4 femmes sur 1 000 âgées de 15 à 44 ans ont choisi l’avortement. En 1981, cette statistique atteignait 29,3 femmes pour 1 000.
 
Les adolescentes aux prises avec une grossesse non désirée sont également moins nombreuses. Étant de 12,8 jeunes femmes enceintes sur 1 000 en 1990, ce taux glisse à 10 sur 1 000 en 2005.
 
L’étude de l’Institut Guttmacher, spécialisé dans les analyses sociologiques et de santé publique, note que « le taux d’avortement est maintenant à son plus bas niveau depuis 1974. »
 
Parmi les raisons pour expliquer ce taux si bas, on note la hausse des moyens contraceptifs et une plus grande facilité d’accès à la pilule du lendemain, qui doit être consommée dans les 72 heures suivant une relation sexuelle non protégée ou comportant un risque de grossesse.

Toutefois, il n’en demeure pas moins qu’une grossesse sur cinq se termine par un avortement.

Catégories
Uncategorized

Une fausse couche influence le poids du bébé

Une équipe de chercheurs de l’Université Virginia Commonwealth ont analysé les dossiers médicaux de 45 500 femmes, ainsi que celui de leur enfant, afin de déterminer les facteurs à risques pour justifier leur poids sous la normale à leur naissance.

Ils ont découvert que le taux de naissance prématurée (en dessous de 37 semaines de gestation) et de bébés ayant un petit poids augmentent lorsque les mères sont d’origine africaine, sont jeunes ou âgées, avec un faible niveau d’éducation ou célibataires.

De plus, il semble que celles qui ont connu une fausse couche ou un avortement ont 67 % plus de chances d’accoucher prématurément que les femmes qui n’en ont pas connu.

L’étude est publiée dans le Journal of Epidemiology and Community Health.