L’enquête se poursuit, mais rappelons que les autorités françaises avaient d’abord fait fausse route en accusant les concombres espagnols d’être la cause de la première éclosion.
Étiquette : Bactérie E. coli
Les germes de soya pointés du doigt
- noix de Grenoble Amira, crues, écalées, vendues en vrac;
- noix de Grenoble Amira, crues, écalées, préemballées (moitiés, morceaux, noix hachées);
- noix de Grenoble Tia, crues, écalées, préemballées (moitiés, morceaux, noix hachées);
- noix de Grenoble Sélection Mérite, crues, écalées, préemballées (moitiés, morceaux, noix hachées);
- mélange mistral Amira contenant des noix de Grenoble;
- mélange mistral Tia contenant des noix de Grenoble;
- énergiseur de salade Amira contenant des noix de Grenoble;
- énergiseur de salade Tia contenant des noix de Grenoble.
D’après Postmedia News, c’est une variété de près de 20 salades Fresh Express, à base de laitue romaine, qui auraient des chances d’avoir été contaminées par la bactérie E. coli.
C’est mercredi dernier (14 juillet) que l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) a annoncé à la population qu’il était préférable d’éviter de consommer les salades à base de laitue romaine Fresh Express.
Les emballages visés sont ceux dont la date de péremption se situe entre le 9 et le 12 juillet et dont le code du produit commence par un S.
Le fabricant Fresh Express, basé aux États-Unis, avait d’abord émis une mise en garde concernant 18 salades à base de laitue romaine.
Au Canada, ces salades sont vendues au Québec, mais aussi en Ontario, en Colombie-Britannique, au Manitoba et en Alberta. L’ACIA s’assure par ailleurs que tous ces produits seront retirés des magasins.
Manger de la nourriture contaminée par la bactérie E. coli pourrait provoquer de sérieuses ou mortelles maladies.
Le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec souligne l’importance des règles de base dans la préparation des viandes à consommer.
La raison de ce rappel est la confirmation de plusieurs cas d’intoxication à la maladie du hamburger, soit la bactérie E. coli, depuis le début de l’été.
Selon le Centre québécois d’inspection des aliments, 11 personnes touchées par cette bactérie proviennent de la ville de Québec. Ce nombre représente près de la moitié des cas au Québec, c’est-à-dire 46 %.
La bactérie E. coli peut être évitée par une cuisson adéquate des viandes avant de les consommer. Ainsi, les gens éviteront l’intoxication, qui dans certains cas peut se compliquer et induire de graves problèmes de santé.