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Attention aux glaçons de restaurants!

Santé Log dévoile des statistiques troublantes, d’abord rapportées par le Daily Mail (UK), voulant que les restaurants de votre ville puissent bien renfermer un nouveau danger : les glaçons!

Ces petits morceaux ou cubes de glace aux allures inoffensives s’avèrent souvent truffés de bactéries, selon une étude britannique.

Après avoir effectué des tests et analyses sur la glace proposée dans plusieurs chaînes de restaurant, dont les plus connues sont McDonald’s, Burger King, PFK et Starbuck’s notamment, on se rend compte avec horreur que les machines à glace ne sont pas nettoyées assez souvent et posent donc un risque.

Un risque limité pour l’instant, mais cela ne veut pas dire que la population ne mérite pas de savoir ce qu’elle met dans son verre avec empressement, semblent s’accorder pour dire les journalistes et les scientifiques qui commentent ces révélations.

En effet, puisqu’on comprend de l’article publié par le Daily Mail que même la bactérie E. coli peut se cacher dans de la glace. Bref, en Europe, on souhaiterait placer ces chaînes sur une liste d’établissements à surveiller au nom de la santé publique.

Au Québec, il s’agit d’une information somme toute assez nouvelle.

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Une solution pour contrer les infections en centre hospitalier

C’est The National Library of Medicine qui rapporte la nouvelle, mais elle s’applique autant sinon plus à notre réalité québécoise.

Une étude américaine lance une suggestion pour contrer les hausses d’infections contractées en centre hospitalier, un phénomène que l’on connait bien ici avec l’éclosion du C. difficile.

Pour les chercheurs du Hunter Holmes McGuire Veterans Affairs Medical Center, un simple bain d’antiseptique pourrait régler une bonne partie du problème. Oui, un bain.

En utilisant des antiseptiques et des serviettes spéciales, il serait possible de « désinfecter » les patients sur une base quotidienne et ainsi éviter qu’ils ne développent d’autres problèmes de santé en plus de ceux qu’ils ont déjà.

À ceux qui diront que cette pratique pourrait s’avérer coûteuse et fastidieuse, on répond qu’aux États-Unis, en moyenne, le coût d’un patient qui doit être traité pour ce genre d’infection contractée en hôpital est de 40 000 $.

À vous de juger si l’idée est bonne ou non, mais dans des régions du monde comme le Québec, où l’éclosion de ces bactéries et infections est devenue un véritable fléau, il est impératif de trouver des solutions… et vite.

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Des bactéries qui influencent l’appétit et nos choix

« Avoir faim » est un processus beaucoup plus complexe qu’il n’y parait, et des études récentes démontraient, notamment, que le cerveau peut jouer un rôle important dans la notion d’appétit.

Cette fois, c’est santelog.com qui rapporte une autre étude sur le sujet, qui parle des bactéries gastro-intestinales et de leur influence sur la faim.

On apprend dans ces recherches, publiées dans une édition du Journal of Bacteriology, que ces bactéries jouent non seulement un rôle majeur dans l’organisme, mais qu’elles agissent et réagissent aussi en partenariat avec l’individu pour prendre des décisions comme quand et quoi manger.

En effet, il semble que ces bactéries (et la flore intestinale) ont un comportement de « boucle » avec le cerveau et l’organisme, et réagissent en fonction de ce que l’on mange et selon nos habitudes.

Ce que cela signifie, c’est que les bactéries gastro-intestinales réagissent presque émotionnellement et sont influençables. À l’origine de certains cancers, elles subiraient des changements selon les humeurs de l’individu et enverraient des messages au cerveau, qui lui « répondrait » à son tour.

« Les bactéries sont la reconnaissance et la synthèse des hormones neuroendocriniennes », conclut Victor Norris, de l’Université de Rouen.

Il s’agit d’une découverte qui pourrait changer la perception et l’analyse des spécialistes en matière d’alimentation, d’obésité et de certaines maladies graves.

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Un probiotique pour contrer le mauvais cholestérol

La prise quotidienne, à deux reprises, d’un probiotique ferait dramatiquement baisser le taux de LDL (mauvais cholestérol) dans le sang.

C’est ce qu’annonce l’American Heart Association, par l’entremise du site www.newsroom.heart.org. La technique permet de réduire le nombre de molécules responsables de plaques obstruant les artères, réduisant ainsi considérablement les risques d’un ACV.

Le probiotique en question est un micro-organisme réagissant lorsque retrouvé dans l’estomac, et il est tout à fait naturel. On retrouve des probiotiques, par exemple, dans le yogourt et certains produits laitiers.

Présentée lors de l’American Heart Association’s Scientific Sessions 2012, l’étude dont il est question confirme que ce probiotique permet non seulement d’abaisser le taux de LDL, mais aussi le total du cholestérol néfaste pour l’organisme. Il a été élaboré à la suite du traitement de 127 patients adultes aux prises avec des problèmes de cholestérol.

L’auteur en chef de l’étude créée à Montréal, le Dr Mitchell L. Jones de l’Université McGill, raconte : « Ce genre de traitements attire l’attention de la communauté médicale et scientifique de plus en plus, alors qu’on découvre comment l’augmentation de la bactérie de l’estomac avec probiotique peut jouer un rôle pour contrer certaines maladies chroniques et cardiaques ».

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Des bactéries naturelles pour contrer le C. difficile

Le C. difficile est une bactérie puissante qui fait rage un peu partout dans le monde, surtout dans les hôpitaux. De fait, elle est responsable de 70 % des infections rapportées dans les centres hospitaliers, selon santelog.com.

Le Québec n’y échappe pas, bien au contraire. Les cas de C. difficile sont nombreux dans la Belle Province, et des chercheurs de partout tentent de l’enrayer.

La solution pourrait provenir d’autres bactéries, selon ce que proposent des chercheurs du Welcome Trust. Leur travail auprès des bactéries pourrait bien porter des fruits et permettre de contrer efficacement le fléau C. difficile.

Il faut d’abord comprendre que des bactéries naturelles de l’intestin sont en mesure de lutter naturellement contre la bactérie C. difficile, en éliminant ses formes latentes. Le problème, c’est que certains traitements d’antibiotiques peuvent affaiblir ou éliminer cette protection, laissant toute la place à l’infection et la prolifération de la bactérie.

Les chercheurs ont donc étudié le phénomène intestinal et réussi à recréer un véritable cocktail composé de six bactéries qui serait en mesure d’enrayer définitivement le problème, même dans ses formes les plus graves et agressives.

Une excellente nouvelle pour les patients et autres employés des centres hospitaliers partout dans le monde.

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Une bactérie du lait au secours des gens qui souffrent de problèmes intestinaux

Plusieurs personnes souffrent de problèmes intestinaux, ce qui peut rendre la digestion plus qu’inconfortable, ou encore mener à des maladies plus graves comme celle de Crohn.

Un traitement efficace est peut-être en train de voir le jour, et il apparaîtrait sous la forme primaire d’une bactérie contenue dans le lait. C’est du moins ce que rapporte santelog.com, qui rapporte une étude effectuée par des chercheurs du CNRS.

Ces derniers, des Français, ont reproduit artificiellement une bactérie qui permettrait de soulager tous ceux aux prises avec ce genre de problèmes. L’ayant baptisée « bactérie bénéfique » aux fins de vulgarisation, les spécialistes sont optimistes de développer des traitements à la suite de cette création.

L’élément important de ces recherches est l’élafine, une protéine capable de soulager ou de guérir les maux intestinaux, mais encore fallait-il trouver le moyen de l’injecter directement dans l’intestin. L’équipe de chercheurs de Toulouse a donc recréé artificiellement la protéine, à partir de bactéries modifiées, pour l’associer au lait, simplement.

Les tests sur des souris ont démontré que le système fonctionne. L’avenir s’annonce donc prometteur dans la lutte aux troubles intestinaux, ainsi que contre la maladie de Crohn.

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Coliques de bébé : une bactérie pourrait être responsable

Une bactérie présente dans la paroi de l’estomac pourrait développer des coliques chez les bébés, selon une étude de l’Université du Caire publiée dans la revue Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine.

Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont suivi l’état de santé de 55 enfants atteints de ce trouble. Après avoir analysé les résultats, les équipes ont donc finalement réussi à trouver l’origine des coliques.

Un système immunitaire faible, c’est-à-dire qui manque de maturité, serait en cause. En fait, les défenses des enfants ne seraient pas encore capables de combattre cette bactérie.

Pour échapper aux coliques, il est donc indispensable qu’ils aient une flore gastro-intestinale mature, indiquent les chercheurs.

Selon Healthychildren.org, environ 20 % des nourrissons développent des coliques. Souvent, l’enfant pleure sans cesse durant plusieurs heures. Les coliques se développent généralement entre la deuxième et la sixième semaine du nourrisson.

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Feu vert pour un médicament contre le C. difficile

Santé Canada vient d’approuver la commercialisation de la fidaxomicine au pays afin de traiter la diarrhée qui est causée par la bactérie C. difficile.
 
Les études démontrent que de 20 à 30 % des patients vivent une rechute après un premier traitement conte le C. difficile. La bactérie devient alors plus difficile à traiter.
 
La fidaxomicine a réduit de 45 % les épisodes récurrents chez les patients lors des essais cliniques effectués auprès de 629 personnes.
 
Ainsi, le fabricant Optimer Pharmaceuticals Canada pourrait mettre en marché le médicament sous le nom de Dificid et le proposer pour le traitement de la bactérie.
En 2009, des recherches avaient permis de mieux comprendre la structure du C. difficile. Les cellules de cette bactérie sont entourées d’une couche formée de deux protéines qui se lient pour former une carapace, ce qui rend la bactérie très résistante. On a obtenu de premières images haute résolution d’une de ces deux protéines.
 
En comprenant mieux la structure du C. difficile, on espère pouvoir enfin développer un médicament, et peut-être même éventuellement un vaccin.
 
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Le fromage en grains St-Fidèle pourrait avoir été contaminé

L’Agence canadienne d’inspection des aliments et la Fromagerie St-Fidèle demandent aux consommateurs de ne pas manger le fromage en grains St-Fidèle, qui pourrait avoir été contaminé par une toxine de la bactérie Staphylococcus.
 
La liste des produits concernés se retrouve sur le site de l’Agence d’inspection des aliments. Ces produits ont été distribués au Québec.
 
Aucun cas de maladie associé à la consommation de ces produits n’a toutefois été signalé.
 
Les aliments contaminés par une toxine de la bactérie Staphylococcus ne présentent pas nécessairement d’altération visible ni d’odeur suspecte. Cette toxine n’est pas facilement détruite aux températures normales de cuisson.
 
Les symptômes habituels d’intoxication à la bactérie Staphylococcus sont des nausées, des vomissements, des crampes abdominales et de la fièvre. Dans les cas graves, l’intoxication peut s’accompagner de maux de tête, de douleurs musculaires ainsi que de variations du pouls et de la tension artérielle.
 
Le fabricant, Fromagerie St Fidèle Inc., situé à La Malbaie (Québec), retire volontairement du marché les produits visés. L’ACIA surveille l’efficacité du rappel.
 
Pour de plus amples renseignements, les consommateurs et les gens de l’industrie peuvent communiquer avec la Fromagerie St-Fidèle Inc. au 1-866-934-2220 ou encore l’ACIA au 1-800-442-2342 / ATS 1-800-465-7735 (du lundi au vendredi de 8 h à 20 h, heure de l’Est).
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Le mode d’accouchement influence la grosseur des bébés

L’étude américaine de l’Hôpital pour enfants de Boston ne s’attarde pas ici sur le fait qu’il y a des bébés de plus gros poids parce qu’ils ont des antécédents familiaux ou que les mères obèses ont plus souvent recours à la césarienne pour accoucher.
 
Il s’agit plutôt d’expliquer que l’accouchement par voie naturelle permet à l’enfant, durant le processus de naissance, de se munir d’anticorps et de s’exposer à des bactéries bénéfiques pour son métabolisme.
 
La césarienne ferait donc en sorte que le bébé est davantage en contact avec de mauvaises bactéries qui feraient en sorte qu’il brûle éventuellement moins bien les mauvaises calories.
 
En fait, les bébés qui naissent par césarienne ont deux fois plus de chances (16 %) de devenir des enfants obèses avant l’âge de trois ans, comparativement à ceux nés par voie vaginale (7,5 %), révèle l’étude parue dans le Journal Archives of Disease in Childhood.
 
Alors que la césarienne est utilisée majoritairement pour sauver la vie de bébés ou de mères, 7 % des cas ont lieu sans raison médicale.
 
Devant ce constat d’obésité infantile et cette hausse de césariennes accordées, Sue MacDonald, du Collège royal des sages-femmes, déclare : « Cela met en évidence la nécessité d’éviter les césariennes qui ne sont pas médicalement nécessaires ».