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Attention aux graines germées

De plus en plus populaires ces dernières années, les graines germées sont notamment très prisées en restauration, car elles ajoutent un élément un peu décoratif aux plats, que ce soit de la luzerne, du soja, du radis ou autres.
 
En ce moment toutefois, elles seraient à l’origine de l’épidémie de diarrhées mortelles qui sévit en Europe, faisant 30 morts jusqu’à présent.
 
Il y a tout de même des précautions à prendre avec les graines germées, car on les mange habituellement crues ou peu cuites dans certains cas, donc les bactéries qu’elles contiennent ne sont pas détruites par la cuisson.
 
Entre 1973 et 2005, on relate 37 éclosions de maladies reliées aux graines germées, la majorité étant due à la bactérie E. coli ou à la salmonelle.
 
« Les agents pathogènes trouvés dans les graines germées viennent très probablement des graines elles-mêmes, contaminées dans les champs ou au cours de la récolte, de la conservation ou du transport. Pendant la germination, quand se forme la plantule, un petit nombre d’agents pathogènes présents à la surface des graines peuvent se développer rapidement et devenir suffisamment nombreux pour provoquer une maladie », mentionne l’Organisation mondiale de la santé.

Donc, prenez garde avec les graines germées.

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Nouvelle souche de la bactérie E. coli

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a confirmé que la bactérie E. coli qui a infecté 1 500 personnes en Europe jusqu’à présent est une nouvelle souche plus virulente, qui n’avait jamais été détectée jusqu’ici.
 
Selon les premières données, il s’agirait d’une mutation des deux souches porteuses du gène mortel, ce qui expliquerait pourquoi la contamination se propage et se fait plus inquiétante.
 
On dénote en ce moment 16 décès en Allemagne, le pays le plus touché, et un mort en Suède.
 
On croyait que les concombres d’Espagne étaient la source de la contamination, mais des chercheurs viennent de rectifier les affirmations et les concombres espagnols sont disculpés. On ignore donc l’origine de cette prolifération soudaine et virulente.
 
La Russie a décidé de suspendre toute importation de légumes provenant des pays européens.
 
Pour le moment, le Canada n’est pas affecté par cette contamination. Hier (1er juin), les autorités du pays se faisaient rassurantes à ce sujet.
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Pas d’inquiétude au pays pour la bactérie E. coli

Alors que l’Europe est aux prises avec la bactérie E. coli et que l’on soupçonne les concombres espagnols d’être la source de la contamination, on se fait rassurant au Canada.
 
L’Agence canadienne d’inspection des aliments affirme qu’il n’y a pas de danger aux pays en ce moment. « Il n’y a pas de tomates, de concombres ni de laitues qui viennent d’Espagne au Canada en ce moment », a indiqué le porte-parole de l’Agence, Tim O’Connor, à La Presse.
 
La dernière livraison provenant de l’Espagne remonte à deux mois déjà. De plus, le Canada importe de l’Espagne surtout des produits comme le vin, le raisin, les olives, les poivrons, les mandarines et quelques légumes. En ce moment, on ne rapporte aucun cas de bactérie E. coli issu des légumes, donc aucun danger pour les Canadiens.
 
Le Canada importe plus de produits de l’Allemagne, où la bactérie a fait 14 victimes jusqu’à présent. On y importe du chocolat, de la bière maltée et d’autres préparations alimentaires.
 
Rassurez-vous, vous pouvez manger des légumes frais sans aucune crainte au Canada, nous ne sommes pas touchés par cette contamination.
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La césarienne rendrait obèse?

Une étude de l’Université fédérale du Rio Grande do Sul a démontré que si une femme doit avoir recours à la césarienne lors de son accouchement, son enfant se trouve plus exposé à des risques futurs d’obésité.

Cette recherche, parue dans l’American Journal of Clinical Nutrition, a comparé les risques d’obésité chez des enfants nés par césarienne à d’autres qui étaient nés par voie naturelle, suivant 2 000 enfants nés de mères âgées de 23 ans.
 
Pour ceux qui étaient nés par césarienne, 58 % couraient le risque de devenir obèses. Il semble, à l’inverse, qu’une mère mettant au monde un bébé par césarienne avait 15 % plus de risques d’avoir un enfant obèse.
 
La raison en serait bactérienne. En effet, en naissant par voie vaginale, les enfants se trouvent exposés à une bactérie qui serait bénéfique pour la santé, notamment en ce qui concerne le développement de l’obésité.

Les chercheurs concluent toutefois qu’il ne faut pas sauter aux conclusions, car ils rappellent que de toute façon, l’allaitement exclusif jusqu’à six mois protègerait l’enfant de l’obésité et de certaines maladies. La mère pourrait donc créer un effet inverse.

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Une maladie des gencives pourrait être reliée à un problème médical beaucoup plus grave

L’équipe du Dr Jean-Baptiste Michel vient de mettre en lumière qu’une inflammation des gencives pouvait cacher quelque chose de plus important.
 
Leur étude, faite à l’Institut national de santé et recherches médicales (Inserm), établit un lien de cause à effet entre la présence de la bactérie Porphyromonas gingivalis, responsable de la maladie des gencives, et la digestion de la paroi de l’aorte abdominale qui peut causer l’anévrisme.
 
Cette bactérie affecte les cellules immunitaires et libère l’élastase qui gruge la paroi de l’aorte en empêchant la cicatrisation habituelle.
 
L’anévrisme de l’aorte abdominale peut toucher jusqu’à 9 % des adultes et Le Parisien mentionne qu’il est responsable de 1 à 2 % des décès des hommes de plus de 65 ans.
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Boire du lait cru augmente le risque de maladies

Plusieurs personnes boivent du lait cru, croyant qu’il est plus frais parce qu’il n’a pas été pasteurisé et conserverait ainsi tous ses bons nutriments.
 
Cependant, une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) dévoile que le procédé de pasteurisation ne supprime aucunement les éléments essentiels ni ne réduit la valeur nutritive du lait.

En fait, les experts ne recommandent pas du tout de consommer du lait cru, surtout pas pour les enfants, car leur système immunitaire est plus faible.

 
Le lait cru est plus susceptible de contenir de nombreuses bactéries comme la Listeria, la Salmonella et la E.coli. Il peut également favoriser la croissance de bactéries pathogènes qui causent des maladies et désagréments comme une intoxication, de la diarrhée, des douleurs abdominales, des vomissements, de la fièvre, des maux de tête et d’autres complications qui pourraient même s’avérer mortelles.
 
La consommation de lait cru ne devrait jamais être choisie, car les personnes s’exposent à un risque accru de maladies.
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Empoisonnement du sang : risques pour les nouveau-nés

Selon Pediatrics, l’empoissonnement du sang est plus fréquent que l’on croit. Les autorités en matière de santé devraient poser plus d’actions pour prévenir ce type de problème. Aux États-Unis seulement, on estime que 1 nouveau-né sur 1 000 en souffre.

La majorité de ces infections sont causées par le streptocoque de type B et la bactérie E. coli. Une infection sanguine touchant tout le corps peut s’ensuivre, menant à des complications et un haut risque de décès chez le poupon.
 
On recommande donc que des tests soient faits auprès des femmes enceintes entre la 35e et la 37e semaine de grossesse. Par la suite, selon le cas, on pourrait administrer des antibiotiques pour limiter les conséquences.

Par ailleurs, on a noté que si le streptocoque B est le plus grand responsable des infections chez les bébés nés à terme, c’est la bactérie E. coli qui cause le plus de dommages chez les enfants prématurés.

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La propreté peut rendre dépressif

Une grande propreté peut non seulement affecter la santé physique, mais aussi la santé mentale.
 
Une maison propre affaiblit le système immunitaire et affecte également le cerveau, selon des chercheurs.
 
Le journal Molecular Psychiatry mentionne que des études ont déjà établi un lien clair entre un environnement propre et un système immunitaire plus faible. On a aussi remarqué que les enfants exposés aux bactéries développaient plus de résistance à certaines maladies.
 
Un système immunitaire affaibli réagit de façon excessive à la poussière et à la saleté, notamment avec une inflammation ou des allergies. Cependant, les chercheurs ont également découvert que cela ralentit la production de substance chimique de bonheur, comme la sérotonine, dans le cerveau. Cela peut donc entraîner une dépression.
 
Le système immunitaire serait ainsi lié au risque de dépression chez une personne.
 
D’ailleurs, la dépression est beaucoup plus présente dans les pays développés que dans les régions les plus pauvres de la planète où, généralement, c’est moins propre également.
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De nombreuses graines germées contiendraient des bactéries

L’Université de la Colombie-Britannique a analysé des échantillons de salades, d’épinards, de fines herbes et de graines germées. Selon CBC, les résultats démontrent que 90 % des graines germées, comme la luzerne, contiennent des bactéries entérocoques, une contamination par matière fécale.
 
« Ces bactéries proviennent de notre appareil digestif et nous ne voulons pas que le contenu de notre appareil digestif se retrouve sur nos aliments », mentionne le chercheur Kevin Allen.
 
Bien que cela soit préoccupant, surtout pour les personnes dont le système immunitaire est affaibli, la plupart des gens ne devraient pas s’inquiéter. Même si elles sont résistantes aux antibiotiques, ces bactéries causent peu de problèmes à la majorité de la population.
 
Santé Canada mentionne que 11 millions de personnes par année souffrent d’intoxication alimentaire au pays.
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Les lamas pour nous aider à combattre la C. Difficile

Les lamas pourraient détenir la clé contre la bactérie C. Difficile qui affecte des milliers de personnes chaque année.
 
En fait, des chercheurs de l’Université de Calgary croient que des anticorps des lamas nous aideraient à combattre la bactérie.
 
« Nous avons trouvé que des anticorps relativement simples peuvent interférer avec les toxines produites par la C. difficile », mentionne un des auteurs de l’étude, Kenneth Ng.
 
La bactérie est de plus en plus résistante aux traitements actuels et les anticorps des lamas aident à neutraliser l’effet nocif de la toxine. Ces animaux possèdent des anticorps similaires aux nôtres, en plus d’en avoir de plus petits et de plus simples.
 
« Cette structure simple nous permet d’introduire des modifications et de conduire de nombreuses études simples qui ne sont pas faciles à faire avec les autres anticorps », ajoute Kenneth Ng dans le Journal of Biological Chemistry.
 
5 % de la population est porteuse de la C. Difficile sans avoir de problèmes de santé, mais il n’en reste pas moins que certains traitements antibiotiques peuvent déclencher la diarrhée.