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Les bactéries de la peau seraient bienfaitrices

Une étude effectuée sur des souris et publiée dans le magazine Science démontre que les bactéries de la peau seraient fort utiles pour stimuler l’immunité et prévenir les infections.

Apparemment, les chercheurs ont découvert que les bactéries comme le Staphylococcus epidermidis stimuleraient le développement des cellules immunitaires de la peau des souris.

Déjà en 2009, une étude mentionnait que les bactéries de la peau pouvaient réduire l’inflammation à la suite d’une blessure et aider à la cicatrisation.

Bien qu’on ne sache toujours pas quels sont les impacts réels de ces bactéries sur la santé, il semble qu’ils soient bénéfiques.

Par exemple, les bactéries résistantes de la peau offriraient une protection contre une infection transmise par le parasite Leishmania major.

Les études se poursuivent.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Des bactéries de l’estomac peuvent affecter l’humeur

Le système digestif joue un rôle majeur dans l’absorption des nutriments pour le corps, ce qui peut affecter la qualité de vie des gens ainsi que leur humeur.
 
Le choix des aliments que nous consommons est donc très important, car il influence toute notre santé générale.
 
Selon le journal Nature, les chercheurs ont analysé les organismes dans l’estomac de 170 personnes de 78 ans. On constate que les microbes varient selon l’endroit de résidence et les aliments consommés.
 
Les personnes âgées qui demeurent dans un environnement sain et vont ensuite habiter dans un établissement de santé changent rapidement leurs habitudes alimentaires. Cependant, les microbes prennent jusqu’à un an avant de changer complètement.
 
Le déclin de la santé n’a pas d’influence sur les changements des microbes, c’est réellement l’alimentation qui joue le plus grand rôle en ce sens.
 
Les bactéries affectent l’humeur de gens parce qu’elles peuvent communiquer avec le cerveau à travers divers composés. Il est donc important d’avoir une alimentation saine pour maintenir une bonne flore microbienne intestinale.
 
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Les plages des États-Unis trop polluées

Dans son rapport fait sur 22 ans, le NRDC a évalué plus de 3000 plages pour en venir à la conclusion qu’en 2011, le taux de fermeture de plages et d’émissions d’avertissements était le troisième plus élevé des deux dernières décennies.

En fait, deux tiers des avertissements de fermeture étaient causés par la trop grande quantité de bactéries contenues dans l’eau.

De plus, ce sont les plages de la Louisiane qui ont les pires cotes. Plus de 29 % des échantillons d’eau recueillis n’atteignaient pas les standards requis.

Cela inquiète les autorités, puisque ce test fait par le NRDC ne prenait pas en compte les autres sources de polluants que les bactéries, comme l’huile ou les algues toxiques.

Des plages dont la salubrité était discutable depuis plusieurs années ont été répertoriées dans sept États. La Californie, le New Jersey et New York en font partie.

Toutefois, douze plages ont reçu une note de cinq étoiles, trois plages californiennes ainsi que d’autres en Alabama, au Delaware, au Maryland et au Minnesota, entre autres.

Les experts recommandent d’éviter les plages près des centres urbains et de rester loin des tuyaux de déversement de l’eau de pluie dans la mer.

Rappelons qu’à l’inverse, deux tiers des plages de l’Angleterre auraient une eau d’« excellente » qualité, selon le dernier Good Beach Guide.

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La césarienne reliée au surpoids de l’enfant

Des récentes recherches de l’Université Harvard et du Boston Children’s Hospital ont permis de découvrir que les enfants nés par césarienne étaient deux fois plus à risque d’avoir un surplus de poids en vieillissant.

En fait, 16 % de ces poupons étaient cliniquement obèses à l’âge de trois ans et avaient un indice de masse corporelle trop élevé et une épaisseur anormale du pli de la peau.

De plus, le quart des bébés en Angleterre sont nés par césarienne en 2011. Parmi ceux-ci, seulement la moitié l’ont été à cause de complications. L’autre partie des futures mères a délibérément choisi la césarienne.

« Ces femmes se seront fait mettre en garde par leur obstétricien des risques de la césarienne, les risques d’infections, de douleur à long terme et de cicatrice. Cette recherche nous donne l’occasion d’expliquer qu’une césarienne pose potentiellement des risques à long terme pour la santé de leurs bébés », dit Sue McDonald, directrice de l’éducation et de la recherche au Royal College of Midwives.

Rappelons aussi que les poupons nés par césarienne ont un moins haut taux de bactéroïdes dans la gorge, une population de microbes bénéfiques dont la composition s’ajuste à la croissance de l’enfant et à l’évolution de ses besoins.

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Des infections à l’origine de cancers

Une étude du Centre international de recherche sur le cancer de Lyon démontre qu’un cancer sur six serait causé par une infection d’origine bactérienne ou virale.
 
Ces cancers pourraient donc être évités simplement avec des actions de prévention et des traitements simples et efficaces comme des vaccins.
 
L’étude s’est penchée sur 13 millions de nouveaux cas de cancer dans le monde en 2008.
 
Selon The Lancet Oncology, on évalue maintenant que les infections causeraient deux millions de nouveaux cas de cancer chaque année.
 
Quatre bactéries, virus ou parasites seraient principalement liés à des cancers, comme la bactérie Helicobacter pylori qui causerait le cancer de l’estomac, l’hépatite B et C qui sont liées au cancer du foie, et le papillomavirus qui est associé au cancer du col de l’utérus.
 
De nombreux vaccins et traitements peuvent facilement enrayer ces infections et ainsi éviter bien des problèmes aux patients.
 
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Le lait maternel meilleur pour le bébé

Une étude de l’Université de l’Illinois montre que les oligosaccharides du lait humain, ou HMO, produiraient des acides gras qui nourriraient une population de microbes bénéfiques dans la gorge du poupon. De plus, la composition de ces bactéries s’ajusterait à la croissance de l’enfant et à l’évolution de ses besoins.

Les HMO sont présents en plus grandes quantités que les protéines dans le lait maternel. Ils sont absents, cependant, dans les formules pour bébés achetées en magasins.

« Les acides gras peuvent être utilisés comme source de bactéries bénéfiques et ils interviennent dans le développement gastro-intestinal et dans le pH de la gorge, ce qui réduit le nombre d’agents pathogènes responsables de plusieurs maladies », explique la professeure en nutrition de l’université, Sharon Donovan.

À court terme, les bactéries bénéfiques protègent l’enfant contre les infections par les bactéries nocives. À plus long terme, elles renforcent le système immunitaire du bébé et l’entraînent à se défendre contre des problèmes et maladies chroniques comme l’asthme ou les allergies alimentaires.

Rappelons que le lait maternel diminuerait aussi les niveaux de l’hormone de croissance IGF-1 et l’insuline dans le sang. Ceci ferait en sorte de ralentir le taux de croissance et le gain de poids, même après que l’enfant ait commencé à manger des aliments solides.

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Obésité infantile : des bactéries intestinales en cause?

Il semblerait que les enfants en surpoids ou obèses ont une plus faible concentration de bactéries du groupe des Bacteroides fragilis, des germes fécaux qui constituent une partie importante de la flore intestinale.

De plus, ces bambins ne consommeraient pas beaucoup de protéines, avancent des chercheurs des universités de Hasselt et d’Anvers en Belgique.

Pour arriver à ces conclusions, les selles de 26 enfants (6 à 16 ans) obèses et 27 de poids normal ont été analysées pour évaluer la présence de différents types de bactéries dans l’intestin.

Présentée à Lyon en France lors d’un congrès européen sur l’obésité, la nouvelle étude n’a révélé aucun lien significatif entre les bactéries intestinales et les niveaux d’activité physique. Toutefois, les chercheurs ont prouvé une association entre l’alimentation et les bactéries intestinales.

En effet, certains aliments contenant des prébiotiques ou probiotiques peuvent aider à prévenir l’obésité, car ces derniers peuvent stimuler la croissance des bactéries utiles dans le tractus digestif et ainsi combattre le gain de poids.

Les chercheurs croient que certaines lignes directrices existantes sur la consommation de protéines auraient besoin d’être révisées.

Les données et les conclusions de cette recherche doivent être considérées comme provisoires jusqu’à une publication dans une revue médicale.

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La flore intestinale jouerait un rôle dans le développement du diabète

Chez certaines personnes, une alimentation riche en graisse pourrait causer des troubles du métabolisme.
 
Ceci en raison des bactéries que l’on retrouve dans la flore intestinale, rapporte la revue Gut. Le nombre et le type de bactéries pourraient favoriser l’apparition de troubles comme le diabète.
 
Les recherches menées sur des souris montrent que certaines ayant une alimentation riche en graisses sont devenues diabétiques et d’autres non. On a alors remarqué que le nombre et le type de bactéries de leur flore intestinale n’étaient pas les mêmes.
 
Les chercheurs ont pu modifier la flore en ajoutant des fibres alimentaires et des gluco-oligosaccharides à l’alimentation. Le métabolisme des souris diabétiques est donc devenu très similaire à celles qui n’avaient pas développé la maladie.
 
On croit donc qu’avec certains additifs nutritionnels qui visent la flore intestinale en agissant sur les bactéries, on pourrait freiner le développement de troubles du métabolisme et éviter plusieurs cas de diabète notamment.

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Attention aux bactéries dans la viande que vous consommez

L’étude faite par la Food Standards Agency UK (FSA) démontre plus précisément que 18 % des volailles vendues au Royaume-Uni étaient contaminées par la bactérie Campylobacter, tandis que 17 % porteraient une forme de listeria pathogène.

En fait, la bactérie Campylobacter a été responsable de plus de 370 000 cas d’empoisonnements alimentaires au Royaume-Uni.

De plus, dans 1,5 % des échantillons de poulet frais, les scientifiques ont trouvé de la salmonelle, selon le Dailymail.

« Le risque d’empoisonnement peut être éliminé en cuisant très bien la viande », explique le chef exécutif du British Poultry Council, Peter Bradnock.

Ce genre de contamination a également eu lieu aux États-Unis, dans le Maine. Un distributeur de boeuf a dû retirer ses produits qui contenaient la bactérie E. coli. Cette bactérie peut être très dangereuse puisqu’elle cause d’importants troubles de la digestion et peut même entraîner la mort.

Rappelons qu’il a été prouvé dans le passé que les viandes transformées pouvaient entraîner une hausse des risques de développer le cancer du pancréas.

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Nourrissons : les bactéries intestinales stimulent leur immunité

L’ajout de probiotiques et de prébiotiques aux préparations pour nourrissons permet de coloniser leur tube digestif avec des bactéries bénéfiques.

Les probiotiques renforcent le système immunitaire des bébés, indiquent deux études de l’Université de l’Illinois.

« Les bactéries bénéfiques qui vivent dans l’intestin d’un bébé sont très importantes pour la santé d’un nourrisson, sa croissance et sa capacité à combattre les infections », a déclaré Kelly Tappenden, professeure de nutrition et de physiologie gastro-intestinale. « Les bébés allaités acquièrent cette protection naturelle. »

Les probiotiques sont des bactéries vivantes qui sont essentielles pour la santé intestinale, explique la chercheuse. Les bébés en ont besoin pour la stimulation de leur microbiote intestinal parce qu’ils sont nés avec un intestin stérile.

Les prébiotiques sont des hydrates de carbone qui résistent à la digestion et stimulent la croissance et l’activité des bactéries bénéfiques dans le tractus gastro-intestinal.