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Baies et chocolat : même signature chimique que les antidépresseurs

(Relaxnews) – En cas de mauvaise humeur, rien de tel qu’un carré de chocolat, quelques baies et une tasse de thé. Les scientifiques ont découvert récemment que ces aliments sont très proches des antidépresseurs sur le plan de la structure chimique.

En étudiant la composition des myrtilles, des framboises, des fraises, de divers thés et du chocolat, les chercheurs du Torrey Pines Institute for Molecular Studies en Floride ont découvert que ces aliments affichaient une structure chimique similaire à celle de l’acide valproïque, un calmant très répandu, vendu sur ordonnance sous diverses appellations.

La découverte a été présentée au 244e National Meeting & Exposition de l’American Chemical Society à Philadelphie.

Les chercheurs insistent toutefois sur le fait que « la simple consommation de ces aliments qui peuvent améliorer l’humeur ne constitue en aucun cas une alternative aux antidépresseurs ».

Les personnes qui ne suivent pas de traitement, par contre, peuvent améliorer leur humeur avec un mode de vie sain, sans avoir recours aux médicaments.

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Manger des baies réduirait le risque de contracter la maladie de Parkinson chez les hommes

C’est ce que démontre une étude publiée dans le journal Neurology. 

Les baies comme les bleuets, les fraises, les mûres et le cassis sont riches en flavonoïdes, qui sont des antioxydants.
 
Les antioxydants aident à neutraliser les radicaux libres, des substances destructives qui se trouvent dans le métabolisme et qui peuvent causer des dommages aux membranes des cellules et à l’ADN.
 
L’étude prouve aussi que les hommes qui mangent des petits fruits au moins une fois par semaine pourraient réduire du quart leurs chances de développer la maladie de Parkinson.
 
L’étude stipule également que les effets bénéfiques proviennent d’une plus grande consommation d’anthocyanes, un type de flavonoïdes contenu dans les baies.
 
« Étant donné le potentiel des petits fruits pour la santé […] il est recommandé d’en ajouter à votre régime quotidiennement », explique le docteur de l’Harvard School of Public Health, Xiang Gao.
 
Étrangement, les chercheurs n’ont pas remarqué de résultats similaires des flavonoïdes sur le corps des femmes.
 
Rappelons que la maladie de Parkinson provoque des tremblements et de la rigidité musculaire et touche toutes les régions du corps. Il n’existe à ce jour aucun remède, aucune médication ni chirurgie pouvant guérir cette maladie.
 
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Baies et fruits rouges contre le déclin cognitif

Le Journal of Agricultural and Food Chemistry rapporte une nouvelle étude qui confirme les bienfaits des baies et fruits rouges contre le déclin cognitif.
 
Les niveaux élevés d’antioxydants contenus dans ces aliments protègeraient contre les radicaux libres nocifs.
 
Avec le vieillissement de la population, on étudie de plus en plus les différentes options possibles pour prévenir le déclin cognitif et les maladies dégénératives comme l’Alzheimer.
 
Ce type de maladie est lié au stress oxydatif et à l’inflammation. Or, les baies et fruits rouges, comme les fraises, les framboises, les mures, les myrtilles, les airelles et le cassis, modulent la signalisation dans les neurones de l’hippocampe.
 
Les antioxydants de ces fruits protègent les cellules en améliorant leur connexion et en réduisant l’inflammation qui cause les dommages au cerveau.

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Manger des baies diminue les risques de Parkinson

Une étude menée à Harvard mentionne que manger des baies réduit les risques de développer la maladie de Parkinson.
 
Ce sont les flavonoïdes qui offrent cette protection, surtout les anthocyanes, leur dérivé qui agit en protégeant les neurones.
 
49 281 hommes et 80 336 femmes ont été suivis pendant 20 à 22 ans. On a noté leur consommation de flavonoïdes et évalué un lien possible avec l’apparition de la maladie de Parkinson.
 
Les hommes qui avaient une alimentation riche en flavonoïdes avaient 40 % moins de risques de développer la maladie, mais pour les femmes, les résultats étaient moins significatifs. Toutefois, pour les anthocyanes, les risques étaient réellement diminués pour les deux sexes.
 
Les flavonoïdes se retrouvent notamment dans les bais, les pommes, le vin rouge, les oranges et le jus d’orange.