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La marche bénéfique en traitement de l’hypertension

À défaut de pratiquer un sport intense ou de s’entraîner en salle, les personnes moins motivées ou dans l’incapacité de fournir un tel effort peuvent se tourner vers une solution alternative qui n’est pas à sous-estimer : la marche.

Vantée depuis longtemps par bon nombre de spécialistes, la marche propose plusieurs bienfaits pour la santé lorsque pratiquée au moins 30 minutes, trois fois par semaine.

Le dernier avantage de la marche en date serait ses propriétés bienfaitrices contre les problèmes d’hypertension, rapporte Top Santé.

C’est une nouvelle étude sur le sujet en provenance de l’Université George Washington qui confirme les bienfaits de la marche dans le traitement de l’hypertension, après que les chercheurs en tête de l’étude aient analysé les dossiers de plus de 2000 patients.

2153 hommes de 70 ans et plus, en fait, ont été observés à la suite d’un diagnostic d’hypertension, et après avoir intégré la marche à leur style de vie. Les résultats plus que probants après neuf ans de recherche ont permis aux chercheurs américains d’évaluer la réduction des risques de mort prématurée à environ 40 % chez les plus actifs.

L’arrêt du tabagisme, la consommation de poisson, la relaxation et l’élimination du sel et du sucre sont des actions qui peuvent aussi permettre une plus grande longévité chez les personnes qui font de l’hypertension.

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Combien de vies pourraient être sauvées avec un mode de vie plus sain?

37 millions. Voilà le nombre de vies qui pourraient être sauvées ou rallongées avec de simples changements de vie au quotidien, selon une nouvelle étude britannique rapportée par Top Santé.

37 millions de personnes dans le monde pourraient donc être sauvées si elles arrêtaient de fumer, mangeaient moins de sel, mangeaient plus de fruits et de légumes ou faisaient de l’exercice physique sur une base régulière.

De petits changements relativement simples, mais qui semblent souvent représenter un défi insurmontable pour un grand nombre de gens. Ceux-ci pourraient cependant se soustraire à une mort prématurée, selon les chercheurs de l’Imperial College de Londres qui publient l’étude.

Après avoir analysé plusieurs facteurs observables dans différents pays, les chercheurs britanniques concluent qu’une réduction de la consommation d’alcool de 10 % ainsi qu’une diminution de sel dans l’alimentation de 25 % pourraient représenter des baisses de 20 % des risques de mortalité chez les 30 à 70 ans.

« Atteindre ces objectifs de vie plus saine permettrait d’accentuer la baisse de la mortalité par maladies cardiovasculaires et par maladies respiratoires chroniques, de réduire le nombre de morts causé par les cancers du poumon et de l’estomac, et d’inverser la tendance en matière de mortalité liée au diabète », explique un des auteurs de l’étude.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le magazine The Lancet.

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L’intimidation en baisse chez les jeunes Américains

Les campagnes de sensibilisation et la mobilisation globale de la population en matière d’intimidation semblent porter leurs fruits, à tout le moins de l’autre côté de la frontière.

The National Library of Medicine rapporte en effet une baisse générale du phénomène de l’intimidation chez les adolescents, aux États-Unis, depuis les dix dernières années.

L’étude proposée repose sur des sondages complétés auprès d’étudiants entre 1998 et 2010, et suggère que l’intimidation verbale et physique est en forte baisse. On parle même d’une réduction du phénomène de moitié, surtout chez les garçons.

« Au cours des récentes années, il y a eu plus d’attention accordée aux efforts anti-intimidation, comme des programmes et des politiques scolaires. On espère que ces efforts de prévention et l’attention additionnelle accordée au problème puissent être la raison de ce déclin », explique l’auteure de l’étude, Jessamyn Perlus.

Pendant ce temps au Québec, d’autres recherches semblent suggérer un effet contraire, mais de nouvelles études seront nécessaires pour offrir un véritable constat de la situation québécoise et canadienne.

Les résultats de l’étude rapportée ont été publiés dans l’American Journal of Public Health.

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Un peu de vin serait bon pour les reins

Une nouvelle étude vante les mérites d’une consommation modérée de vin sur la santé des reins, rapporte MedicalNewsToday.

Ce sont des chercheurs basés au Colorado qui ont proposé ces conclusions en faveur d’une consommation de vin quotidienne modérée lors des National Kidney Foundation’s 2014 Spring Clinical Meetings.

L’étude estime que les gens qui consomment un verre ou moins de vin par jour auront 37 % moins de chances de développer une maladie rénale chronique, notamment.

La même chose s’appliquerait également au cœur, alors que l’on estime que cette même posologie permettrait aux consommateurs de vin de réduire de 29 % les chances de développer une maladie cardiovasculaire.

L’étude abonde dans le même sens que plusieurs autres précédemment publiées, rappelle notamment l’un des directeurs de la National Kidney Foundation, M. Thomas Manley.

Malgré cet argument de taille pour les amateurs de bons vins, rappelons que la surconsommation de vin aura un effet inverse sur la santé, et qu’il est primordial d’aborder l’alcool avec modération.

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Un peu de vin serait bon pour les reins

Une nouvelle étude vante les mérites d’une consommation modérée de vin sur la santé des reins, rapporte MedicalNewsToday.

Ce sont des chercheurs basés au Colorado qui ont proposé ces conclusions en faveur d’une consommation de vin quotidienne modérée lors des National Kidney Foundation’s 2014 Spring Clinical Meetings.

L’étude estime que les gens qui consomment un verre ou moins de vin par jour auront 37 % moins de chances de développer une maladie rénale chronique, notamment.

La même chose s’appliquerait également au cœur, alors que l’on estime que cette même posologie permettrait aux consommateurs de vin de réduire de 29 % les chances de développer une maladie cardiovasculaire.

L’étude abonde dans le même sens que plusieurs autres précédemment publiées, rappelle notamment l’un des directeurs de la National Kidney Foundation, M. Thomas Manley.

Malgré cet argument de taille pour les amateurs de bons vins, rappelons que la surconsommation de vin aura un effet inverse sur la santé, et qu’il est primordial d’aborder l’alcool avec modération.

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L’arsenic dans l’eau potable pourrait nuire aux performances du cerveau

La présence d’arsenic dans l’eau potable inquiète un grand nombre de citoyens et de spécialistes, même si celui-ci se retrouve souvent en faibles quantités.

Il n’en demeure pas moins que le fait d’associer l’arsenic à l’eau potable semble terrifiant, et une nouvelle étude en provenance de l’État du Maine donne des munitions à cette peur, selon The National Library of Medicine.

La présence de traces d’arsenic dans l’eau potable du Maine n’étant pas un secret pour ses citoyens, des chercheurs ont décidé de faire passer des tests d’intelligence et de performance mentale à des groupes de jeunes étudiants, dont certains sont davantage exposés à la présence d’arsenic.

Les craintes des chercheurs américains se sont avérées fondées, alors que ces derniers ont observé des résultats plus faibles chez les groupes exposés à l’arsenic.

« Même si le fait d’acheter un filtre standard à la quincaillerie est inadéquat pour traiter l’eau potable des puits, la bonne nouvelle est qu’il existe des étapes pour améliorer la situation », explique l’auteur des travaux, Joseph Graziano.

Ce dernier fait référence à un système appelé « inversement de l’osmose », malheureusement coûteux. Des programmes éducatifs sont également offerts aux familles du Maine pour en apprendre davantage sur le phénomène et les méthodes de prévention possible.

Les conclusions et observations de l’étude menée par M. Graziano ont été publiées dans le journal Environmental Health.

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Le café serait bénéfique en prévention de la cirrhose

Le café pourrait-il s’avérer un allié en prévention de la cirrhose? Voilà la question à laquelle ont tenté de répondre des chercheurs chinois dans une nouvelle étude, rapporte The National Library of Medicine.

Les chercheurs de l’Université de Singapour concluent vraisemblablement que oui, si l’on se fie aux résultats proposés par l’étude, qui se penchait sur pas moins de 63 000 citoyens âgés de 45 à 74 ans.

L’étude trouvait ses racines en 1993, alors que l’on a demandé aux participants de répondre à des questions concernant leurs habitudes alimentaires et leur historique médical. Suivis sur une période d’en moyenne 15 ans, les sujets ont notamment permis de démontrer l’impact positif du café en prévention de la cirrhose.

On estime que deux tasses de café par jour permettraient une réduction de 66 % des risques de décès par cirrhose causée par l’hépatite non virale, selon les chercheurs chinois en tête de ces travaux.

La cirrhose causée par l’hépatite B ne semble pas répondre de la même façon que celle découlant de la souche non virale cependant.

L’étude ne permet malheureusement pas de prouver une cause à effet de façon officielle, mais s’avère concluante.

Les résultats ont été publiés dans le magazine médical Hepatology.

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Réduire l’apport en calories de 10 % pourrait vous sauver la vie

Une nouvelle étude américaine propose des conclusions qui pourraient bien en motiver plusieurs à apporter quelques changements à leur style de vie et à leur régime alimentaire.

Selon des chercheurs du Wisconsin, réduire son apport calorique quotidien de 10 % pourrait vous sauver la vie, en plus de vous épargner potentiellement l’apparition de certaines maladies.

C’est en analysant les comportements et l’évolution du bilan de santé de 76 singes rhésus, sur une période de 25 ans, que les chercheurs sont parvenus à établir de façon claire les impacts d’une réduction calorique sur la santé.

Le premier groupe de singes s’est vu obligé de suivre une diète plus stricte avec une réduction de 30 % des calories, alors que le second groupe pouvait manger selon ses désirs. Ce deuxième groupe aurait affiché trois fois plus de cas de maladies, en plus d’un risque de décès prématuré aussi trois fois plus élevé.

30 % moins de calories pour une chance de survie qui triple, voilà un peu le constat que proposent les chercheurs du Wisconsin dans l’étude. Ces derniers croient par ailleurs qu’une réduction de l’apport calorique de 10 % peut déjà améliorer la qualité de vie et la longévité, en plus de prévenir de plusieurs maladies.

L’étude rapportée par le Daily Mail (UK) a été effectuée au Wisconsin National Primate Research Center.

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Réduire l’apport en calories de 10 % pourrait vous sauver la vie

Une nouvelle étude américaine propose des conclusions qui pourraient bien en motiver plusieurs à apporter quelques changements à leur style de vie et à leur régime alimentaire.

Selon des chercheurs du Wisconsin, réduire son apport calorique quotidien de 10 % pourrait vous sauver la vie, en plus de vous épargner potentiellement l’apparition de certaines maladies.

C’est en analysant les comportements et l’évolution du bilan de santé de 76 singes rhésus, sur une période de 25 ans, que les chercheurs sont parvenus à établir de façon claire les impacts d’une réduction calorique sur la santé.

Le premier groupe de singes s’est vu obligé de suivre une diète plus stricte avec une réduction de 30 % des calories, alors que le second groupe pouvait manger selon ses désirs. Ce deuxième groupe aurait affiché trois fois plus de cas de maladies, en plus d’un risque de décès prématuré aussi trois fois plus élevé.

30 % moins de calories pour une chance de survie qui triple, voilà un peu le constat que proposent les chercheurs du Wisconsin dans l’étude. Ces derniers croient par ailleurs qu’une réduction de l’apport calorique de 10 % peut déjà améliorer la qualité de vie et la longévité, en plus de prévenir de plusieurs maladies.

L’étude rapportée par le Daily Mail (UK) a été effectuée au Wisconsin National Primate Research Center.

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Les médicaments contre l’anxiété pourraient réduire l’espérance de vie

Vivre moins anxieux, mais moins longtemps, voilà possiblement le résultat obtenu par ceux qui consomment certains des médicaments anti-anxiété bien connus retrouvés sur le marché.

C’est le constat et la supposition que fait le Dr Scott Weich de l’Université de Warwick, qui publie une étude sur le sujet, rapporte le NY Times.

La recherche du Dr Weich et de ses collègues s’appuie sur sept ans d’analyse des dossiers de près de 35 000 patients, qui ont tous consommé certains des médicaments contre l’anxiété les plus connus, comme le Valium, le Xanax, l’Ambien, le Sonata et le Lunesta, au cours de cette période.

Après avoir compilé les données et ajouté plusieurs facteurs, les chercheurs arrivent à la conclusion que les patients qui utilisent fréquemment ces médicaments ont deux fois plus de chances de mourir prématurément que les autres.

« Cette recherche s’ajoute aux preuves qui s’accumulent que ces drogues sont dangereuses. Je prescris ces médicaments, et ils sont difficiles à abandonner. Moins de temps vous passez sous ces traitements et mieux c’est », lance le Dr Weich.

L’étude de ce dernier a été publiée par le BMJ.