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Les médicaments contre l’anxiété pourraient réduire l’espérance de vie

Vivre moins anxieux, mais moins longtemps, voilà possiblement le résultat obtenu par ceux qui consomment certains des médicaments anti-anxiété bien connus retrouvés sur le marché.

C’est le constat et la supposition que fait le Dr Scott Weich de l’Université de Warwick, qui publie une étude sur le sujet, rapporte le NY Times.

La recherche du Dr Weich et de ses collègues s’appuie sur sept ans d’analyse des dossiers de près de 35 000 patients, qui ont tous consommé certains des médicaments contre l’anxiété les plus connus, comme le Valium, le Xanax, l’Ambien, le Sonata et le Lunesta, au cours de cette période.

Après avoir compilé les données et ajouté plusieurs facteurs, les chercheurs arrivent à la conclusion que les patients qui utilisent fréquemment ces médicaments ont deux fois plus de chances de mourir prématurément que les autres.

« Cette recherche s’ajoute aux preuves qui s’accumulent que ces drogues sont dangereuses. Je prescris ces médicaments, et ils sont difficiles à abandonner. Moins de temps vous passez sous ces traitements et mieux c’est », lance le Dr Weich.

L’étude de ce dernier a été publiée par le BMJ.

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Des épices et herbes pour abaisser la consommation de sel

Une nouvelle étude vante les mérites des épices et des herbes pour contrer le phénomène de surconsommation de sel, un véritable fléau de l’ère moderne en alimentation, rapporte MedicalNewsToday.

L’étude en provenance de San Diego s’est intéressée aux substituts possibles du sel dans notre alimentation et a demandé à un groupe d’adultes de se prêter au jeu, en tentant d’incorporer des épices et herbes à leurs repas.

55 participants ont d’abord dû suivre un régime à faible teneur en sodium sur une période de quatre semaines. Le groupe a ensuite été scindé en deux, une moitié devant tenter de conserver une faible consommation de sel par sa seule volonté, et le deuxième par des herbes et épices.

Le deuxième groupe est parvenu à abaisser sa moyenne de consommation de sel quotidienne de près de 1000 milligrammes, un résultat non négligeable.

« Les personnes du groupe ont appris des stratégies pour régler le problème, utiliser des herbes et épices, comment faire le suivi de leur diète, comment choisir les bons aliments en commande et comment rendre une faible consommation de sel permanente », explique Cheryl A.M. Anderson, auteure de l’étude et professeure associée à l’Université de San Diego.

L’étude démontre donc que des substituts moins néfastes pour la santé permettent de lutter contre la surconsommation de sel dans l’alimentation quotidienne.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans l’American Journal of Hypertension et présentés lors d’une réunion de l’American Heart Association.

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Un souper aux chandelles serait littéralement bon pour le coeur

Si un bon souper aux chandelles est une méthode réputée pour enflammer les cœurs, notamment ceux de la gent féminine, il serait aussi littéralement bon pour le cœur, selon ce que rapporte Top Santé.

Selon une étude dirigée par des chercheurs de l’Université Lund, en Suède, un souper aux chandelles affecterait positivement le rythme cardiaque, notamment à cause de la fumée dégagée.

13 couples ont participé à la sympathique étude et ont été d’abord placés dans une situation sans chandelle, puis dans une pièce avec chandelles. Les couples dégustant le repas à la lueur de ces flammes ont vu leur niveau de stress et leur pression sanguine descendre en flèche.

La Dre Christina Isaxon, qui mène la recherche, croit qu’il faut regarder du côté des composantes de la chandelle pour mieux comprendre le phénomène. Elle pense que la présence de sodium et de potassium a un rôle à jouer dans cette réaction bénéfique sur le rythme cardiaque.

Elle recommande donc aux gens de retrouver le bonheur d’un souper aux chandelles en amoureux, mais déconseille les bougies colorées et parfumées pour un effet santé maximal, ainsi que celles à base de paraffine.

Aucune contre-recherche sur les possibles effets néfastes de la fumée de chandelle n’a été conduite pour l’instant.

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Le traitement précoce de la dépression réduit les risques d’AVC

Il existe un lien connu des spécialistes entre la dépression et un risque accru d’accident cardiovasculaire, rapporte The National Library of Medicine, et une nouvelle étude vient maintenant donner l’espoir de combattre le phénomène.

Ce sont des chercheurs américains qui se sont penchés sur la question, en analysant les impacts de deux types de traitement de la dépression sur la santé cardiovasculaire et les risques d’AVC.

235 personnes ont participé à l’étude, dont la moitié a bénéficié d’un traitement précoce de la dépression composé d’antidépresseurs et de psychothérapie. La deuxième portion du groupe a dû se contenter d’un traitement « standard » choisi par un médecin praticien.

En comparant les résultats après une période de suivi de huit longues années, les chercheurs de l’Indiana ont constaté une baisse significative des risques d’AVC liés à la dépression chez les patients du premier groupe.

« Ultimement, cette ligne de recherche pourrait produire une nouvelle approche en prévention des maladies cardiovasculaires », croit l’auteur de l’étude, Jesse Stewart.

L’étude initiale se voulait davantage une analyse des traitements contre la dépression, mais ses résultats pourraient contribuer à améliorer la santé cardiovasculaire des patients qui en souffrent, en plus de celle des patients à la santé cardiaque fragile.

Ces résultats sont considérés comme préliminaires, mais ouvrent la porte à de nouvelles révélations et percées en matière de prévention des AVC et des maladies cardiovasculaires.

L’étude de Jesse Stewart a été publiée dans l’édition de janvier du Psychosomatic Medicine.

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L’incroyable effet des aquariums sur la santé

Quiconque possède un aquarium moindrement élaboré à la maison, ou qui a déjà passé quelques heures dans un aquarium public, comprendra parfaitement la teneur de cet article et des révélations qui s’y trouvent.

C’est que Top Santé s’est attardé au phénomène et à l’impact des aquariums sur notre santé mentale et physique, et rapporte des opinions d’experts qui peuvent surprendre.

Cités dans Le Figaro, ces experts français notent d’abord un impact direct d’un moment passé à observer des poissons dans un aquarium sur la tension artérielle et sur le niveau de stress.

Un simple aquarium permettrait donc de calmer l’angoisse et l’anxiété, mais aussi de calmer la douleur! Toujours selon ces chercheurs, une baisse de la douleur ressentie par un patient donné est souvent observable après cinq minutes passées devant un aquarium, un effet qui pourrait perdurer jusqu’à 30 minutes.

Plus encore, les poissons dans leur habitat permettraient même à des personnes atteintes de maladies graves comme l’Alzheimer d’améliorer leur qualité de vie au quotidien, notamment en ce qui concerne leur apport alimentaire. Dans la même veine, le fait de nourrir des poissons aurait aidé des jeunes aux prises avec des troubles alimentaires.

En bref, les poissons et les aquariums permettent de calmer de façon générale et ouvrent ainsi la porte à une foule de bienfaits sur la santé, et même sur le personnel médical, alors que plusieurs estiment qu’un aquarium installé dans une salle d’attente calme l’impatience des patients!

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Réduction majeure des risques de décès dus au cancer d’ici 2020

Il est rare de recevoir une bonne nouvelle, ou à tout le moins une encourageante, lorsqu’il est question de la terrible maladie qu’est le cancer, mais en voici une rapportée par le Daily Mail (UK) qui permet d’entrevoir une lueur d’espoir.

C’est que selon des statistiques et analyses proposées le Centre de Recherche en Cancer Macmillan, les risques de décès dus au cancer auront chuté de près de la moitié d’ici l’an 2020, soit une baisse de 44 % depuis 1990, au total.

D’ici la fin de la décennie, croient les chercheurs, 65 % des femmes qui recevront un diagnostic de cancer du sein survivront à la maladie. 65 % des hommes souffrant d’un cancer de la prostate auront droit au même sort, une statistique qui s’arrête à 61 % pour les patients atteints du cancer du côlon.

Malheureusement, ces hausses statistiques ne semblent pas s’appliquer en ce qui concerne le cancer du poumon, qui semble déterminer à demeurer aussi meurtrier.

Bien que la victoire définitive dans la lutte au cancer ne soit pas encore à notre portée, ces baisses statistiques des taux de mortalité dus au cancer semblent en progression constante et s’avèrent une excellente nouvelle.

On explique le phénomène par une meilleure compréhension de la maladie, des méthodes de traitement, des nouvelles technologies, et par un dépistage plus agressif. Les chercheurs rappellent d’ailleurs l’importance de subir des tests de dépistage à différents stades de la vie, afin de continuer à améliorer les chances de survie en matière de cancer.

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Des baisses statistiques des cas de démence

Bien que les cas de démence, par exemple en ce qui concerne la maladie d’Alzheimer, sont pris au sérieux et confrontés plus que jamais par les spécialistes, il semble que ceux-ci soient généralement en baisse et moins hâtifs, selon des chiffres étonnants rapportés par Santé Log.

En fait, il semble qu’au cours des dernières années, les maladies dégénératives cérébrales liées au vieillissement, comme l’Alzheimer, ont ralenti en termes de progression moyenne, et frapperaient même plus tard dans la vie de plusieurs patients qu’auparavant.

Plusieurs facteurs peuvent expliquer le phénomène, à commencer par l’amélioration de la technologie et des soins de santé dans de tels cas, ainsi qu’une meilleure sensibilisation aux facteurs qui peuvent encourager le développement, à court ou très long terme, de maladies comme l’Alzheimer.

Du nombre, bien sûr, l’alimentation, le tabagisme, les habitudes en termes d’activité physique, le taux de sucre et le poids moyen.

Même si le combat contre la démence due au vieillissement n’en est pas à ses dernières batailles, les spécialistes américains (Californie, Michigan, Washington) qui publient leurs observations croient qu’il est important d’être optimiste et de continuer à miser sur la prévention pour les années à venir, le temps que l’on développe de nouveaux traitements.

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Attaquer la fatigue hivernale de plein fouet

Avec les premières neiges qui s’installent arrive souvent la fameuse dépression saisonnière, mais aussi ce qu’il serait convenu d’appeler la « fatigue hivernale », alors que notre corps se met à l’heure d’une nouvelle saison froide et grise, en plus du changement apporté à l’horloge qui provoque l’obscurité plus tôt qu’à l’habitude.

Inutile de sous-estimer le phénomène ou d’attendre que celui-ci se pointe sournoisement, alors que Top Santé fait part de quelques conseils pour attendre cette vague de fatigue de pied ferme et pour la contrer de façon proactive.

Certaines sources font état d’une statistique qui indique qu’une personne sur deux serait frappée de ce mal à l’arrivée de l’hiver, notamment à cause d’une alimentation inadéquate, d’un manque de sommeil, du stress quotidien et du manque de luminosité.

Il est donc convenu de mettre en veilleuse les vieilles habitudes alimentaires néfastes et axées vers la nourriture grasse, au profit d’un festival de fruits et légumes, de vitamines et de repas équilibrés.

La vitamine B, notamment, semble être l’une des clés du bon fonctionnement en hiver, alors que la B1, la B6, la B9 et la B12 permettent une amélioration du système immunitaire et des hausses d’énergie.

On suggère aussi fortement de ralentir le rythme professionnellement, c’est-à-dire de prévoir une charge moins lourde de travail, en plus de congés. Il est important de s’offrir un ou deux mois de réduction de stress, et ce genre de tour de force n’est possible que par la volonté personnelle.

Dans la même veine et en terminant, la première étape pour éviter la fatigue ou le surmenage d’hiver, c’est d’avouer que le phénomène existe et de ne pas jouer au surhomme avec votre corps.

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La carotte et ses nombreuses vertus

À lire la série de bienfaits de la carotte mentionnée dans la liste proposée par Top Santé, il y a de quoi donner envie d’en manger tous les jours.

Car si on connaissait certaines vertus de la carotte, plusieurs autres demeurent inconnus, alors que certains semblaient carrément relever du mythe.

On pense entre autres à cette affirmation qui dit, depuis des lunes, que « la carotte est bonne pour les yeux ». Loin d’être un remède de grand-mère ou un proverbe ancestral, il appert plutôt que la carotte et son précieux bêta-carotène permettraient réellement de protéger les cellules de l’œil et de la rétine.

Il semble que manger des carottes trois ou quatre fois par semaine soit une posologie acceptable pour protéger les yeux, mais aussi pour faire baisser les risques de certains cancers, notamment du poumon, parfois de 40 %!

Dans le cas des accidents vasculaires, la consommation régulière de carottes ferait baisser les risques de 60 % en protégeant les parois des vaisseaux sanguins, notamment grâce aux antioxydants que la carotte contient aussi.

Globalement, la carotte permet donc de ralentir la dégénérescence due à l’âge à plusieurs niveaux, et peut grandement contribuer à une vie en pleine santé.

Elle est également bien sûr fortement conseillée pour les enfants.

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La superstition en traitement de l’anxiété

Superstitieux, mais moins anxieux? C’est un peu la logique qui se cache derrière les révélations rapportées par Top Santé, qui font état des bienfaits de la superstition en « traitement » des troubles anxieux.

Des chercheurs américains, de l’Université de Chicago, tracent un lien direct entre certaines actions superstitieuses et des niveaux de stress et d’anxiété plus bas, ce qui porte à croire que l’on pourrait utiliser cette méthode pour traiter certains troubles anxieux de façon partielle.

Bien que la superstition soit associée à la magie, au mystique, au karma et au cosmique, les psychologues sont loin de réfuter son utilité. Ils expliquent simplement que ces gestes, comme celui de toucher du bois ou de placer un porte-bonheur à un endroit clé, touchent une fibre importante de la psychologie humaine et permettent à l’individu qui pose le geste de se rassurer.

« Nous pouvons chercher à nous débarrasser des superstitions au nom de la modernité et du progrès, mais cela risque d’être difficile, car même si ces gestes nous semblent superficiels et irrationnels, ils sont parfois nécessaires. Les rituels superstitieux marchent vraiment. Ce n’est pas de la magie, c’est de la psychologie », peut-on lire dans les conclusions de l’étude publiée par le Journal of Experimental Psychology.