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Les canneberges de nouveau vantées dans une étude finlandaise

Les canneberges jouissent de toute une popularité depuis un certain temps, moussées par toutes sortes d’études et de recherches publiées sur le sujet.

Les spécialistes en nutrition et en alimentation commencent à confirmer plusieurs effets bénéfiques de la canneberge sur la santé, et Top Santé rapporte maintenant une nouvelle étude finlandaise qui abonde dans le même sens.

En effet, ces chercheurs en provenance d’Helsinki et basés à l’université du même nom ont effectué des tests en laboratoire sur des rats « stressés » afin de déterminer l’impact des canneberges sur l’hypertension artérielle.

Après avoir nourri ces rats uniquement avec le petit fruit pendant huit semaines, ils sont catégoriques : la tension de ces animaux a baissé de façon spectaculaire.

« Jusqu’à preuve du contraire, personne n’avait étudié les vertus de ce fruit sur l’hypertension artérielle. Or, on sait que ces baies qui poussent à l’état sauvage dans les forêts nordiques sont extrêmement riches en flavonoïdes et en polyphénols, bons pour le cœur. On pourrait donc ajouter ce fruit dans le régime quotidien des personnes qui souffrent d’hypertension », concluent à l’unisson les chercheurs finlandais. 

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Les grains entiers à forte teneur en fibres efficaces en prévention du diabète

The National Library of Medicine rapporte une nouvelle analyse qui prône et vante les mérites des grains entiers, particulièrement ceux à forte teneur en fibres, dans la prévention du diabète.

Selon les chercheurs de la Harvard School of Public Health de Boston, chargés d’effectuer ces recherches par l’American Society for Nutrition, l’impact des grains entiers sur les risques de diabète est tout simplement non-négligeable.

« Les fibres de céréales pourraient bien être l’ingrédient protecteur des grains entiers qui permet de faire baisser les risques de développer du diabète », lance Lu Qi, l’un des auteurs de l’étude en question.

Après avoir révisé un nombre considérable d’études précédentes sur le sujet et en conduisant quelques tests, Qi et son équipe arrivent à la conclusion que d’ajouter cet aliment à une diète permettrait de réduire les risques de diabète jusqu’à 43 %, selon les cas.

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Une nouvelle façon de faire dans le traitement de l’AVC

Il serait possible de voir apparaître une nouvelle façon de faire en matière de traitement d’AVC (accident vasculaire cérébral), selon Santé Magazine.

Cette dernière source rapporte en effet que plusieurs études, dont une récente effectuée en Chine, concluent qu’un nouveau type de traitement pourrait s’avérer plus efficace que les méthodes utilisées en ce moment.

Pourtant, ce « nouveau » traitement utilise des éléments déjà bien connus par les patients et les professionnels de la santé. Il s’agit d’un mélange entre la bonne vieille aspirine et un anticoagulant.

Les chiffres avancés font état d’une baisse des risques de rechute après un accident vasculaire cérébral d’environ 30 %, un chiffre considérable.

Aujourd’hui, la plupart des prescriptions post-AVC se contentent d’aspirine et de suggestions alimentaires, mais la combinaison proposée ici permettrait de meilleurs résultats.

D’autres études du même genre sont en cours, notamment une aux États-Unis, dans le but de confirmer la théorie.

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Un vaste plan de réduction du sel alimentaire adopté en Amérique

Les quantités de sel retrouvées dans les plats des Américains (du Nord et du Sud) pourraient finalement être réduites de façon considérable d’ici sept ans, selon les informations rapportées par Medical News Today.

En effet, on rapporte la ratification d’un vaste plan d’action consistant à faire baisser de moitié la consommation de sel en Amérique par deux grandes associations de la santé, soit la Pan American Health Organization et la World Health Organization.

Baptisé SaltSmart, le consortium propose quelques recommandations et quelques actions qui seraient mises en place dès cette année (2013), en plus d’intensifier les campagnes de sensibilisation sur le sujet.

« Les diètes modernes mènent vers des quantités de sel excessives. Réduire ces apports en sel est la meilleure approche pour réduire les risques de crise cardiaque et d’attaques », lance Branka Legetic, coordinatrice du projet.

Les citoyens des deux Amériques devraient voir apparaître sous peu des mesures et des campagnes signées SaltSmart, et on les invite à emboîter le pas!

Le plan d’action promet de s’échelonner jusqu’en 2020.

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15 h : l’heure fatidique au travail

Si vous devenez inopérant, obsolète dans vos fonctions professionnelles lorsque sonne 15 h, vous n’êtes probablement pas seul, rapporte Top Santé

Selon une étude britannique, 14 h 55 serait le dernier moment de productivité ressenti par les 400 travailleurs interrogés par les chercheurs anglais, ce qui démontre une tendance.

Il s’agit bien sûr d’une moyenne établie par l’équipe de recherche, qui a constaté qu’il serait certainement plus utile de prendre une pause pour se dégourdir ou pour se faire un café que de tenter de pousser la machine en milieu d’après-midi.

De plus, les chercheurs découvrent certains cycles de travail qui leur permettent de conclure deux choses : « La plupart du temps, si les personnes ont un élan d’énergie et abattent beaucoup de travail en une heure, ils ont tendance à être en sous-régime les deux heures suivantes. On recommande de prendre plusieurs petites pauses de cinq minutes pendant la journée ».

Michael Davies, qui dirige l’étude, croit donc qu’il ne faut pas lutter contre ce que l’on ressent, notamment lors des baisses de régime, qu’elles soient à 15 h ou ailleurs dans la journée.

Il termine en expliquant : « Nous connaissons tous des pics et de creux de productivité, mais l’astuce est de maintenir un niveau de travail constant plutôt que d’osciller d’un extrême à l’autre ».

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Les statines associées à des problèmes musculaires

Le dossier des statines commence de plus en plus à ressembler à un début de fiasco, alors que les études énumérant les nombreux effets secondaires et problèmes de santé subséquents pullulent.

Cette fois, on note un lien entre les statines, retrouvées sur le marché sous la forme de traitements comme le Zocor et le Lipitor, et des problèmes musculaires et d’articulations.

On note, entre autres, un affaiblissement des muscles ainsi que des crampes, des problèmes récurrents aux tendons et une prédisposition plus accrue aux foulures et aux étirements, selon The National Library of Medicine.

Les traitements par statines, comme le très populaire Lipitor, semblent cependant efficaces en ce qui concerne leur but premier, soit d’abaisser les niveaux de cholestérol dans le sang et de prévenir d’éventuels troubles cardiovasculaires.

Plusieurs spécialistes croient que ces nouveaux traitements et médicaments ont jusqu’à maintenant sauvé plusieurs vies. En contrepartie, les effets néfastes semblent abondants, et il est conseillé d’avoir une bonne discussion avec son médecin pour déterminer si ce genre de traitement vous serait favorable.

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Un don de sang peut aussi améliorer votre propre santé

Les personnes qui donnent du sang par pure générosité et souci d’autrui pourraient bien recevoir une récompense autre que celle de la simple satisfaction.

En effet, selon une étude rapportée pas plusieurs sources, dont Top Santé, les donneurs de sang pourraient bénéficier de plusieurs avantages sur la santé jusqu’ici méconnus.

Publiées dans le Journal of the American Medical Association, les conclusions font état d’un risque d’infarctus à la baisse et même d’un risque moins élevé de cancer.

On explique la chute des risques de crise cardiaque par le fait que donner du sang permet d’abaisser le taux de fer sanguin, responsable en partie de l’épaississement du sang et, par conséquent, des risques accrus de crise cardiaque.

L’étude finlandaise se base sur des résultats obtenus auprès de près de 3000 hommes de plus de 40 ans, dont certains donnaient du sang tous les six mois. Ces derniers auraient vu leurs chances de développer un infarctus baisser de près de 90 %!

Même son de cloche en ce qui concerne les donneurs et les risques de cancer, qui chuteraient de beaucoup, mais on stipule que ces variations de risques ne s’appliquent qu’aux donneurs réguliers (exemple : deux fois par an).

Une autre belle raison de faire le don de vie… et de peut-être sauver la sienne du même coup.

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Baisse de popularité des boissons sucrées chez les jeunes Américains

Un nouveau rapport des CDC américains révèle une tendance qui a de quoi rendre les spécialistes et nutritionnistes de ce monde optimistes envers l’avenir.

Selon les statistiques rapportées par The National Library of Medicine, la popularité des diverses boissons à forte teneur en sucre serait à la baisse chez les jeunes Américains.

Comme on sait que les jus sucrés, les boissons énergisantes et les boissons gazeuses sont parmi les principaux facteurs qui expliquent le fléau du surpoids en Amérique du Nord, on peut se réjouir de voir que les campagnes de sensibilisation commencent à porter des fruits.

C’est également vrai du côté des adultes, ce qui laisse croire que le changement observable chez les enfants, les adolescents et les jeunes adultes pourrait aussi s’expliquer par de meilleurs choix parentaux.

Les chercheurs qui publient ces chiffres affirment se réjouir de ce résultat, mais blâment encore les compagnies de boissons sucrées et gazeuses qui, selon eux, font du marketing qui vise directement les jeunes.

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La longévité des parents pourrait diminuer le risque de cancer des enfants

Si vos parents mènent ou ont mené une vie sous le signe de la longévité, il est possible que cela se traduise par une baisse des risques de cancer dans votre cas.

C’est le Daily Mail (UK) qui rapporte ces conclusions, initialement proposées par des chercheurs de l’Université d’Exeter.

En somme, on note une baisse des risques de cancer substantielle chez les gens dont les parents atteignent au minimum le plateau des 65 ans. Chaque tranche d’âge atteinte par les parents signifierait des chances de moins pour leur progéniture de développer un cancer, et ce, jusqu’à 25 %.

Les taux de mortalité dus au cancer chutent même de 40 % lorsque les parents d’un individu atteignent 85 ans!

Encore une belle preuve de l’impact de la génétique sur la santé d’un individu et les problèmes auxquels il risque de faire face au cours de sa vie.

Ces conclusions ont été proposées à la suite de recherches effectuées sur plus de 10 000 Américains, sur une période de 18 ans. 

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Moins de calories en prévention des maladies neuro-dégénératives

Des chercheurs du MIT et de l’Institut Howard Hugues publient une étude sur la restriction calorique et ses impacts sur la préservation des cellules et en prévention des maladies neurodégénératives comme l’Alzheimer, par exemple.

Les conclusions, rapportées par Santé Log et publiées dans l’édition du Journal of Neuroscience du mois de mai, font état de tests concluants effectués sur des animaux, qui confirment qu’un apport calorique moindre peut permettre une meilleure protection contre les changements dus au vieillissement.

On note particulièrement la production d’une enzyme, appelée SIRT1, lorsqu’un animal est placé en situation de restriction calorique. Un phénomène que l’on croit tout aussi vérifiable chez l’être humain.

Mais voilà, la découverte de cette enzyme et de ses effets sur la défense de l’organisme pourrait permettre aux chercheurs de créer un traitement permettant une simulation d’une baisse calorique, sans les effets néfastes liés à une alimentation trop faible.

Il s’agit d’une percée très intéressante, qui ouvre la porte à de nouvelles possibilités dans le domaine neurologique et en recherche de traitement des maladies neurodégénératives.