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Compenser le stress professionnel par de saines habitudes de vie

Le stress dû aux activités professionnelles est l’un des importants facteurs de risque dans le développement de troubles cardiovasculaires et d’AVC, mais il semble qu’il soit au moins possible de changer la donne grâce à de bonnes habitudes de vie.

C’est le constat optimiste que propose une étude, rapportée ici par The National Library of Medicine, alors que des chercheurs croient maintenant dur comme fer que les gens stressés par leur travail et ce qui l’entoure peuvent réduire les risques de crise cardiaque en adoptant des habitudes saines.

Cesser de fumer, de boire et de trop manger sont les trois premiers gestes à adopter, puisque ces facteurs de risque se décuplent lorsque mêlés au stress professionnel.

Publiées dans l’édition du 13 mai du Canadian Medical Association Journal, ces conclusions ont été tirées à la suite de l’analyse de données recueillies auprès de plus de 100 000 patients un peu partout dans le monde.

Pour les chercheurs en tête de l’étude, il ne fait aucun doute que les gens stressés par leur emploi ou leurs activités professionnelles ont leur mot à dire dans le développement ou non d’éventuels problèmes cardiaques.

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Faire baisser les risques d’accidents cardiaques grâce aux animaux de compagnie

Amateurs d’animaux de compagnie, le fait de posséder un compagnon poilu pourrait bien avoir une incidence positive sur votre santé sans que vous le sachiez.

C’est que The National Library of Medicine rapporte une étude fort intéressante qui laisse croire que la présence d’un animal de compagnie dans une demeure peut faire baisser les risques de problèmes cardiovasculaires éventuels chez son propriétaire.

Publiées par l’American Heart Association, ces conclusions font également état d’une meilleure santé globale chez les propriétaires d’animaux de compagnie, qui afficheraient en moyenne des taux d’obésité, de mauvais cholestérol et de pression sanguine moins élevés.

« Posséder un animal, plus particulièrement un chien, est probablement associé avec une diminution des risques de maladies du cœur », lance le professeur Glenn N. Levine, de Houston.

On comprend donc que cette mention du chien fait référence au fait que le propriétaire d’un canidé doit le promener, et donc faire une certaine activité physique.

On parle également d’une réduction du stress et de l’anxiété, des facteurs de risque importants, chez tous les propriétaires d’animaux.

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Le soya et la tomate en prévention du cancer de la prostate?

Les aliments à base de soya, lorsque combinés à la bonne vieille tomate, pourraient-ils prévenir le cancer de la prostate?

C’est ce que croient plusieurs scientifiques, rapporte Science Daily, dont ceux basés à l’Université de l’Illinois qui publient cette plus récente étude sur le sujet.

Les deux aliments sont déjà vantés pour leurs propriétés anti-cancer, mais c’est la combinaison des deux qui a attiré l’attention des chercheurs américains.

« Dans notre étude, on a utilisé des souris qui étaient créées de façon à développer une forme agressive du cancer de la prostate. La moitié des animaux qui ont consommé de la tomate et du soya ont développé la maladie, alors que la totalité de ceux du groupe de contrôle (donc sans tomate ni soya) a développé cette forme de cancer », explique John Erdman, professeur en sciences et nutrition.

Avec ces résultats et ceux de quelques tests subséquents, on pourrait donc conclure que l’ajout du soya et de la tomate dans un régime alimentaire peut réduire les risques de développer un cancer de la prostate de près de 50 %.

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Le jus de betterave en solution à la haute pression?

Plusieurs méthodes ou traitements connus peuvent venir en aide aux gens qui souffrent de haute pression, mais en voilà un nouveau tout simple et peu coûteux qui pourrait bien améliorer votre situation.

C’est l’American Heart Association qui publie cette révélation voulant que le simple fait de boire du jus de betterave permette de réduire les risques liés aux problèmes de haute pression.

Une simple tasse par jour suffirait à faire baisser la pression de 10 mm/HG, en plus d’aider à détendre les vaisseaux sanguins et d’améliorer la circulation.

On expliquerait le phénomène par l’apport en nitrate (alimentaire) que procure le jus de betterave. Les spécialistes veulent encourager les gens à ajouter ce genre de produits dans leur régime alimentaire.

« Notre espoir est d’augmenter la consommation de légumes à forte teneur en nitrate, comme les légumes à feuilles vertes ou la betterave, ce qui pourrait constituer une approche facile à aborder dans une routine quotidienne. Ceci pourrait grandement améliorer la santé cardiaque des gens », explique la Dre Amrita Ahluwalia, auteure de l’étude sur le sujet.

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Les Américains se lasseraient-ils de la malbouffe?

Un rapport aussi encourageant qu’improbable, en provenance des États-Unis, fait état d’une baisse de popularité de la malbouffe chez nos voisins du sud.

Pourtant reconnus comme capitale de la restauration rapide et des repas malsains dans le monde, les États-Unis voient leurs statistiques de consommation de malbouffe diminuer pour la première fois.

C’est Top Santé qui rapporte cette nouvelle étonnante, alors que l’organisation du NHANES (National Center For Health Statistics) constate certaines modifications dans la relation des Américains avec leurs chaînes de restauration rapide préférées.

« La baisse est significative, mais beaucoup d’efforts restent à faire », mentionne Cheryl D. Fryar, coauteure de ces recherches.

Cette dernière croit que la baisse enregistrée est en partie due à la sensibilisation massive effectuée au cours des dernières années en Amérique concernant les dangers reliés à la consommation de malbouffe.

Malgré tout, si on regarde les chiffres d’une autre façon, on constate que la malbouffe en général compte encore pour 11 % des calories ingérées quotidiennement par le peuple américain.

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Réduire le sel dans l’alimentation collective pourrait sauver 500 000 vies

Si l’on réduisait l’apport en sel dans le régime alimentaire collectif des citoyens, on pourrait sauver jusqu’à 500 000 vies sur une période de dix ans, rapporte The National Library of Medicine.

Comme ces chiffres sont basés sur la population des États-Unis, on pourrait même s’attendre à ce qu’il soit sérieusement bonifié si on incluait le Canada à ces prévisions.

Ce constat est le fruit d’une étude américaine, dont les résultats ont été publiés dans la plus récente édition du journal Hypertension. Pour les chercheurs de San Francisco en tête de l’étude, réduire la quantité de sel consommée par les Nord-Américains est une quête primordiale et prioritaire.

Si on regarde les statistiques de mortalité, on se rend compte que le principal tueur en Amérique prend maintenant la forme des maladies cardiaques, cardiovasculaires et de la haute pression. Or, l’un des grands contributeurs à ces problèmes de santé est le sel.

Les chercheurs rappellent que le citoyen moyen consomme trop de sel par rapport à l’apport quotidien suggéré, et ce serait particulièrement vérifiable chez la gent masculine.

On recommande d’abord d’éviter la malbouffe (restauration rapide, burgers, etc.), les restaurants à outrance et les repas-minutes congelés.

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Moins de cancers en Alberta

Une nouvelle aussi bonne qu’intrigante nous arrive de l’Alberta, alors que l’on constate des taux de cancer en chute libre au sein de la population de la province canadienne.

Selon Radio-Canada, qui rapporte la nouvelle, il appert que le phénomène n’est pas tout nouveau dans la région, puisque les taux de mortalité et de diagnostic de cancer en Alberta sont en baisse depuis 2004.

Pour Paul Grundy, vice-président affecté aux soins de santé liés au cancer et directeur médical en chef, il s’agit d’une preuve concrète du succès de certaines des mesures implantées dans la province depuis quelques années. Notamment, les campagnes anti-tabac, de prévention des rayons UV et celles qui prônent le dépistage régulier contre le cancer semblent toutes avoir porté des fruits.

On souligne aussi la qualité des soins de santé offerts en Alberta, en plus du travail exceptionnel des oncologues de la province.

Pour M. Grundy, il s’agit d’une bonne nouvelle, mais encore beaucoup de travail reste à faire. Le cancer demeure un fléau même en Alberta, et on doit poursuivre la lutte.

Le taux de diagnostic de cancer a chuté de 1 % annuellement depuis 2002 en Alberta, et le nombre de décès liés à la maladie est en baisse de 2,8 % depuis 2004.

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Plus de fruits et légumes abaisseraient les risques de cancer du sein

La réputation des fruits et légumes en matière de santé et nutrition n’est plus à faire, mais voilà que The National Library of Medicine propose une nouvelle étude qui parle d’une vertu bien précise de ces aliments.

Il s’agit du cancer du sein, plus particulièrement dans certaines de ses formes les plus agressives, qui pourraient voir ses chances de se développer baisser dramatiquement chez les femmes qui consomment régulièrement des fruits et des légumes.

Bien que les chercheurs précisent qu’ils ne sont pas parvenus à prouver directement une cause à effet, et que ce comportement ne ferait pas baisser les chances de développer un cancer du sein en général, ils sont convaincus qu’il est tout de même efficace contre les formes les plus difficiles à traiter de la maladie.

Ces formes, notamment, sont définies comme des « cancers du sein de type récepteur œstrogène négatif ». Ces tumeurs ne réagissent donc pas au flux d’œstrogène chez la femme et compteraient pour 15 à 20 % de tous les cancers du sein.

Les chercheurs du département de nutrition de Harvard avancent que les femmes qui mangent quotidiennement des fruits et légumes présentent des statistiques inférieures en ce qui a trait à ce type de cancer que leurs consœurs qui n’en consomment pas ou peu.

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Des chercheurs tracent un lien entre le gras saturé et le sperme faible

www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui trace un lien entre des cas de sperme déficient et les gras saturés.

Ce sont des chercheurs danois qui sont en tête de ces recherches. Selon eux, le lien est clairement vérifiable. Pour prouver leur théorie, ils ont analysé les dossiers de plusieurs hommes, dont certains recevaient des aliments forts en gras saturés.

Résultat : les sujets ayant reçu plus de gras saturés que les autres dans leur alimentation ont vu leur nombre de spermatozoïdes descendre en flèche. Étonnant? Pas tant que ça, si l’on considère que plusieurs autres études du genre sur le sujet ont déjà été publiées, mais que la population semble tarder à les prendre au sérieux.

Par exemple, à l’inverse, des chercheurs brésiliens avaient déterminé que le fait de manger des grains entiers, de l’avoine et du blé pouvait contribuer grandement à une fertilité plus abondante.

Les chercheurs danois expliquent qu’ils ne peuvent encore parler de cause à effet directe, car le phénomène de la baisse des spermatozoïdes est aussi influencé par d’autres facteurs. Ces facteurs seraient par contre pour la plupart tous liés au style de vie.

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Le cancer fait moins de morts en Amérique du Nord

C’est un constat rempli d’optimisme que publie www.cancer.org, alors que les taux de mortalité dus au cancer seraient encore en baisse en Amérique du Nord, notamment aux États-Unis.

Ces résultats proviennent du rapport annuel sur le sujet (Annual Report to the Nation on the Status of Cancer), publié cette année dans le Journal of the National Cancer Institute.

On remarque que les décès à la suite d’un cancer sont en baisse, malgré une hausse des diagnostics. Il s’agit d’un déclin constant depuis les années 90, affirment les spécialistes, ce qui a de quoi surprendre.

Ainsi, on note des baisses respectives de 1,8 % et 1,4 % de mortalité chez les hommes et les femmes atteints d’un cancer. De plus, ces statistiques touchent la plupart des cancers connus, comme ceux du poumon, du sein et de la prostate, pour ne nommer que ceux-là.

« La continuité de la baisse de la mortalité par cancer depuis deux décennies est certainement une raison de célébrer. Le défi auquel nous faisons maintenant face est de continuer cette progression malgré l’apparition de nouveaux problèmes comme l’obésité et le VPH, entre autres. »