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Voici comment les parents devraient agir derrière le banc

Mauvais perdant, ambiance de compétition, adversité, stress, énergie électrisante sont tous des éléments qui peuvent transformer un parent encourageant en un fan désagréable et impoli.

Le site Parentingquad a émis quelques conseils pour éviter que le parent soit mal perçu dans les gradins et même, qu’il fasse honte à son jeune.

Bien que sur le jeu ils soient en compétition, les enfants ne sont pas des joueurs professionnels. Ils ont besoin de s’amuser, de développer leur esprit sportif et d’apprendre des leçons de vie.

Encourager et féliciter tout le monde, même les gens de l’équipe adverse est l’une des meilleures choses à faire pour un parent. Dans les estrades, votre enfant sera peut-être porté à vous regarder, gardez un visage impassible, ne démontrez pas votre colère ou négativité.

Dans le domaine sportif, l’adulte devrait éviter de critiquer. Transformer ses mauvais mots en pensée positive est la formule magique.

Qu’ils soient criés dans les estrades, chuchotés à l’oreille de votre jeune ou dictés en voiture, les reproches n’aideront pas votre enfant à jouer mieux une prochaine fois.

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Le siège d’appoint délaissé par les parents

Depuis le 1er janvier, le gouvernement fédéral a adopté de nouvelles exigences au Canada. Ainsi, le pays est devenu le premier au monde à obliger l’utilisation de ceinture de sécurité à trois points d’ancrage pour mieux retenir les sièges d’auto pour enfant à la banquette, selon le journal Le Droit.

De plus, la limite de poids maximal admissible de l’occupant d’un siège d’auto pour enfants a augmenté, passant de 22 à 30 kilos. Cela signifie que bébé reste dorénavant plus longtemps dans son siège avant de s’asseoir dans un siège d’appoint.

À partir de 36 kilos (80 livres), l’enfant peut être retenu par une ceinture de sécurité conventionnelle.

Les futurs acheteurs de siège d’autos pour enfants devront tenir compte de ces nouvelles normes, tout comme les fabricants.

En ce qui concerne les sièges d’appoint, aux États-Unis, une étude menée par des experts de santé infantile à l’Hôpital universitaire du Michigan CS Mott Children a révélé que la plupart des parents déclarent que leurs enfants âgés de 4 à 8 ans utilisent un siège de sécurité dans la voiture familiale.

Cependant, 45 % des parents disent abandonner le siège en situation de covoiturage, faute d’espace dans les véhicules et en raison des difficultés de coordination et d’arrangements entre conducteurs.

Aux États-Unis, 70 % des parents disent utiliser le covoiturage, ce qui inquiète les chercheurs qui se fient aux réflexions des parents dans ces conditions.

La plupart des lois des États exigent que les enfants se retrouvent dans un siège d’appoint jusqu’à 8 ans. Quant à elles, les recommandations nationales encouragent l’utilisation de sièges d’appoint jusqu’à ce qu’un enfant atteigne 57 pouces, qui représentent la hauteur moyenne d’un enfant de 11 ans.