La popularité grandissante des banques de lait maternel apporte son lot d’inquiétudes et de recommandations.
Finalement, le lait maternel offert ou vendu doit avoir été testé en laboratoire, puis pasteurisé et congelé.
La popularité grandissante des banques de lait maternel apporte son lot d’inquiétudes et de recommandations.
Finalement, le lait maternel offert ou vendu doit avoir été testé en laboratoire, puis pasteurisé et congelé.
Une femme de Montréal, Emma Kwasnica, a mis en place une page Facebook ayant pour thème le partage de lait maternel.
Jusqu’ici, plusieurs groupes connexes se sont formés au Canada, regroupant chacun de 100 à 280 personnes.
Or, on peut lire sur Canada.com les avertissements provenant de l’Agence fédérale, émis il y a quelques jours, sur ce sujet.
On y apprend entre autres que ce lait, dont on ne connaît pas la provenance, peut contenir plusieurs virus, dont le VIH, en plus de bactéries pouvant mener à des intoxications alimentaires.
L’initiatrice du projet a répondu à ces mises en garde en affirmant qu’une mère saura être en confiance en rencontrant la donneuse et que plusieurs d’entre elles fournissaient les résultats de leurs analyses sanguines.
La Société canadienne de pédiatrie, qui regroupe plus de 3 000 spécialistes, rappelle quant à elle que le lait maternel n’ayant pas été préalablement analysé de manière adéquate ne doit pas être partagé.