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Les barres de céréales ne sont pas aussi saines qu’on le croit

Une analyse de 30 barres de céréales différentes démontre que l’image saine que l’on en a n’est qu’un simple mythe.
 
Selon l’association des consommateurs britanniques Which, ces barres de céréales contiennent beaucoup de sucre, et des sucres différents. Seulement, on ignore la quantité totale que contiennent ces collations.
 
On utilise notamment le sirop de glucose, le miel, le sirop de maïs, le sirop brut de canne, le sirop de sucre inverti (mélange de glucose, fructose et saccharose), la mélasse, le sirop de glucose-fructose, le sirop de malt d’orge, le sirop de glucose déshydraté, le fructose, le lactose, le sirop d’oligofructose, le concentré de jus de raisin, le dextrose. Une barre peut contenir plusieurs de ces ingrédients, qui sont en réalité des sucres.
 
En ce qui concerne les calories, 11 des barres étudiées en contenaient autant que plusieurs biscuits, et une en contenait 277.
 
10 des barres étaient aussi riches en gras saturés, alors que l’une d’elles avait jusqu’à 30 % de matières grasses.
 
Le sel est aussi très présent dans les barres de céréales, surtout dans trois des trente analysées.
 
On demande donc des règles plus strictes, surtout pour les barres qui s’adressent principalement aux enfants.
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Un niveau d’arsenic inquiétant dans les barres de céréales

Des chercheurs américains viennent de publier des données plutôt inquiétantes dans l’Environmental Health Perspectives.
 
Sur 29 sortes de barres de céréales testées, 22 contenaient un niveau préoccupant d’arsenic. Leur concentration était de 23 à 126 parties par milliard, soit deux à douze fois la limite recommandée par Santé Canada pour l’eau potable.
 
« Il est urgent de fixer une concentration maximale acceptable d’arsenic dans la nourriture », affirment les auteurs de l’étude.
 
L’arsenic est un élément naturel qui est cancérigène pour l’homme.
 
Les sept autres types de barres de céréales testées avaient une concentration d’arsenic qui se situait de 8 à 27.
 
Santé Canada a pris connaissance de l’étude, car plusieurs de ces produits ne sont pas seulement vendus aux États-Unis, mais aussi au Canada. L’organisme fera des analyses supplémentaires si elle juge que la situation le nécessite.
 
On tente de rassurer la population en mentionnant que si les niveaux sont anormalement élevés, des procédures seront prises pour remédier à la situation.