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Le clignement des yeux, inutile ? Pas si vous êtes stressé.

S’il existe un geste corporel aux allures banales, c’est bien le clignement des yeux. On savait que ce réflexe avait pour but d’humecter les yeux adéquatement, mais aucune autre vertu n’était associée à ce battement de paupières.

Inutile alors, médicalement parlant, de cligner des yeux? Pas si vous êtes stressé, lancent des chercheurs japonais en publiant une étude sur le sujet, rapportée par Top Santé.

Pour ces chercheurs, le clignement de vos yeux serait aussi un efficace moyen de contrer le stress, puisqu’il permet au cerveau de se « reposer » pendant un instant, aussi minime cet instant soit-il.

On décrit le phénomène comme un « mode veille », similaire à celui de votre ordinateur à la maison. Cette fraction de seconde de repos permettrait au cerveau de reprendre ses esprits, et ainsi d’agir plus efficacement.

Conséquemment, les chercheurs remarquent qu’une personne en pleine action, ou occupée à une tâche clignera moins des yeux que celle qui se retrouve inactive, oisive.

Bien que cela ne soit pas la découverte de l’année, elle permet de comprendre un peu mieux les fonctionnalités de « veille », ou de pause, du cerveau humain.

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Un pouls rapide au repos indique un risque de mortalité accru

Après avoir étudié l’état de santé de 31 531 personnes de plus de 55 ans pendant cinq ans, des chercheurs de l’Université McMaster, en Ontario, mentionnent qu’un cœur qui bat rapidement au repos indique un risque plus élevé de mortalité pour les personnes souffrant d’une maladie cardiaque.
 
Ce phénomène s’observe également après avoir tenu compte de différents facteurs de risque comme la sédentarité, le tabagisme et l’âge. Les résultats de cette étude ont été présentés lors du Congrès canadien de la santé cardiovasculaire.
 
Parmi les participants de l’étude, ceux qui avaient un pouls rapide au repos, soit 78 battements par minute en moyenne, avaient 39 % plus de risques de subir un incident majeur comme une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral ou une insuffisance cardiaque.
 
De plus, ils avaient 77 % plus de risques de mourir d’une maladie comme une angine ou de l’hypertension et 65 % plus de possibilités de décès, toutes causes confondues.