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Les bébés prématurés auront plus de problèmes respiratoires

Des chercheurs ont étudié des bébés nés entre la 36e et la 38e semaine avec des malformations congénitales majeures. Ils ont comparé leur maturité pulmonaire fœtale à celle de bébés nés entre la 39e et la 41e semaine.

 Selon les résultats présentés lors de la rencontre annuelle de la Society for Maternal-Fetal Medicine, les bébés nés entre la 36e et la 38e semaine sont plus à risque d’avoir des problèmes respiratoires plus tard, et ce, malgré le complet développement de leurs petits poumons.

Parmi les problèmes rencontrés, on note le syndrome de détresse respiratoire et l’hypoglycémie. Cela peut même mener à un décès.

Toutefois, des experts tiennent à préciser que les résultats présentés lors du congrès sont préliminaires et doivent être soumis à des recherches plus approfondies pour confirmer les résultats. Les naissances avant la 39e semaine comportent tout de même certains risques à considérer.

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L’effet de la déprime sur une nouvelle maman

À l’aide d’images par résonnance magnétique, des chercheurs ont découvert que les pleurs d’un bébé provoquaient une réaction moins positive dans le cerveau des mères qui étaient déprimées que dans celui des mères qui ne l’étaient pas, rapporte HealthDay News.

L’auteure principale de cette étude, Heidemarie K. Laurent, a déclaré que contrairement à une étude précédente, « il semble que les mères déprimées ne répondent pas de manière plus négative que les mères non déprimées. Ce que nous avons observé était plus comme une lacune quant à la réponse positive ».

Cette étude, qui apparaît en ligne dans le journal Social Cognitive and Affective Neuroscience, est la première à examiner la façon dont le cerveau de mères déprimées répond aux pleurs du bébé.

Les chercheurs ont étudié le cerveau de 22 femmes en utilisant une technique d’imagerie par résonance magnétique, ce qui mesure l’activité du cerveau à travers les changements du débit sanguin. Toutes les mères ayant été observées durant l’étude avaient un enfant de 18 mois et étaient mères pour la première fois.

Laurent révèle : « Dans ce contexte, il était intéressant de voir que les mères non déprimées étaient capables de répondre au son de pleurs par un signal positif. Leur réponse était constante dans leur désir de vouloir s’approcher de leur enfant. Les mères déprimées avaient clairement un manque, du côté de cette réaction. »

Le but de cette étude est donc de démontrer que la dépression peut avoir un impact de longue durée sur les relations entre une mère et son enfant en affaiblissant la réponse du cerveau face aux signaux émotionnels d’un bébé.

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Les bébés passent trop peu de temps sur le ventre

De nos jours, les bébés passent énormément de temps dans une balançoire, leur siège d’auto ou autres « contenants » du genre. Les experts ont décrit le phénomène comme les « bébés-sceaux ».

 

De plus en plus, on note un retard de développement chez des bébés normaux, notamment dans les choses de base comme saisir un crayon ou attraper une balle. Selon des chercheurs, ceci serait directement relié au fait que les bébés passent trop peu de temps sur le ventre.

Cette position serait essentielle au développement de votre enfant : elle renforce le haut du corps, ce qui aura une influence directe sur sa vie future.

Le nombre d’enfants avec un retard de développement a considérablement augmenté, il est donc impératif de faire en sorte d’arrêter cela. Les bébés passent notamment beaucoup de temps dans des « conteneurs » qui limitent les mouvements, ce qui entraîne des problèmes de développement », a mentionné l’ergothérapeute Charlene Young à KY3.

Ainsi, un enfant qui ne passe pas de temps sur le ventre en verra sa motricité et son développement sensoriel affectés. Plus tard, il pourrait avoir des problèmes dans des tâches simples comme écrire ou frapper une balle. Les experts ont aussi noté que ces bébés répondent moins bien à leurs cinq sens et que certains présentent même des problèmes de comportement.

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Les antipsychotiques dangereux pour le foetus

On apprend sur Bloomberg qu’un avis vient d’être émis quant à la prise d’antipsychotiques durant la grossesse. Ils auraient des effets néfastes sur la santé du bébé à venir lorsqu’ils sont ingérés durant le troisième trimestre. On a relevé plus de 20 médicaments du même type pouvant entraîner des séquelles une fois l’enfant né.

Les symptômes les plus courants sont des mouvements anormaux des muscles ainsi que l’absence de certains réflexes, tels que la difficulté à respirer ou à manger.
 
Aux États-Unis, la FDA (Food and Drug Administration) a fait savoir que depuis 2008, 69 cas de nouveau-nés présentant des mouvements anormaux des muscles et dont la mère avait pris des antipsychotiques durant la grossesse ont été rapportés.
 
Toutefois, les patientes qui doivent prendre des antipsychotiques ne doivent en aucun cas arrêter leur traitement sans avoir eu l’avis de leur médecin. L’arrêt abrupt de ce type de médicaments peut entraîner de graves conséquences.

Les antipsychotiques sont en grande partie utilisés pour maîtriser les symptômes de la schizophrénie et des troubles bipolaires.

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Des ultrasons pour réduire les césariennes

Des chercheurs italiens ont mis au point un nouveau dispositif pouvant suivre la progression de l’accouchement de manière non invasive, selon Euro News.

Portant le nom d’Amolab, ce nouvel outil est en fait un système d’imageries par scanneurs 3D. Il permettra aux médecins de suivre par exemple le rythme cardiaque du bébé et ses autres fonctions vitales. Ainsi, on pourra se tourner vers la césarienne en sachant plus clairement si elle est nécessaire.

L’accouchement par césarienne se fait en effet de manière systématique et cette intervention médicale pourrait être évitée dans bien des cas.

L’Organisation mondiale de la santé recommande un taux de 15 % de ce type d’accouchement. Pourtant, il est beaucoup plus élevé, même dans les pays en voie de développement. Il n’est pas qu’un problème des pays industrialisés.

L’invention d’Amolab a donc été faite dans le but de diminuer le nombre d’erreurs de diagnostic et, par le fait même, celui des césariennes. Cet outil a reçu le prix de l’innovation en Italie l’an dernier.

Rappelons finalement que l’accouchement par césarienne implique des risques, tant pour la santé du bébé que pour celle de la mère, et qu’il constitue une intervention chirurgicale nécessitant une convalescence subséquente.

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La maladie mentale chez les tout-petits

Une étude publiée par l’Association américaine de psychologie dans l’American Psychologist nous apprend que nous pouvons souffrir d’une maladie mentale à un tout jeune âge.

Une analyse de chercheurs des universités du Massachusetts, de Boston et d’Osofsky a fait la lumière sur la naissance de ces troubles et leurs répercussions chez les enfants de la naissance à l’âge de cinq ans.

On croit à tort que les tout-petits sont à l’abri de la maladie mentale et qu’ils sont à l’abri des effets d’un traumatisme, qui peuvent conduire à des problèmes de comportement et à des difficultés émotives.

En effet, les enfants comprennent mieux que nous le pensons leur relation avec eux-mêmes, avec les autres et avec leur environnement. Les sévices que vivent de nombreux enfants sont aussi une cause majeure de l’apparition d’un tel trouble.

Les enfants peuvent eux aussi se sentir désespérés et seuls, ce qui peut les rendre dépressifs et apathiques. Certains peuvent aussi développer une vigilance trop aigüe et devenir anxieux. Une grande tristesse ou de l’agressivité peuvent apparaître si l’enfant n’arrive pas à trouver le sens de ses relations avec les autres.

Malheureusement, il est encore difficile de leur venir en aide, car peu de programmes de soutien sont en place pour les plus jeunes et il est difficile pour les parents de détecter les signes d’une maladie mentale chez leur enfant.

Pourtant, selon les chercheurs de cette recherche, nous aurions tous à y gagner, eux les premiers.

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Le postpartum influencé par le mode de vie

Une récente étude ayant porté sur 60 nouvelles mamans nous apprend que l’augmentation de leur IMC (indice de masse corporelle) est liée à la façon dont elles vivent leur postpartum.

Précisément, ce gain de poids serait causé par l’impact que le stress d’être parent a sur l’activité physique.

Chez les participantes de la recherche, la dépression était liée à une vie peu active et un IMC élevé. À l’inverse, peu ou pas de signes de la dépression était très lié à une vie active et un faible IMC.

Les mères qui présentaient plus de symptômes dépressifs reconnaissaient tout de même leurs qualités en tant que parent.

D’autre part, on a relevé que l’interaction sociale, qui est reconnue comme un indice de bien-être, était étroitement liée à un IMC plus élevé.

On croit donc que les nouvelles mamans voient beaucoup leurs proches, mais qu’en général, elles sont portées à privilégier une vie sédentaire, comme regarder beaucoup la télévision au lieu d’aller se promener avec leur bébé.

Malgré tout, on a pu démontrer, dans le cadre de cette étude parue dans Women & Health, que ce qui influence le plus le mode de vie des mères est leur façon de vivre le stress.

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Christina Applegate comblée par la maternité

Depuis la naissance de sa fille, Sadie Grace LeNoble, le 27 janvier dernier, Christina Applegate vit des moments d’intense bonheur, selon People.

Rappelons que l’actrice de 39 ans a traversé de dures épreuves ces dernières années, ayant subi une double mastectomie après avoir reçu un diagnostic de cancer du sein en 2008.

Applegate a donc ressenti une profonde émotion en serrant son petit bébé contre sa poitrine, une partie de son corps avec laquelle elle n’est pourtant plus à l’aise depuis son cancer.

Le père de son enfant est le musicien Martyn LeNoble, qui est aussi son fiancé. Il a su accompagner sa conjointe durant l’accouchement qui a nécessité 18 heures de travail.

Malgré son épidurale, la nouvelle maman dit avoir vécu beaucoup de souffrance : « C’était une douleur très profonde. » Elle a aussi mentionné qu’elle avait un plan quant à cette mise au monde, mais qu’il est ridicule de penser en avoir un lorsqu’on donne la vie.

Une fois sa petite Sadie née, Christina a connu une immense joie : « C’est la plus belle chose qui ne me soit jamais arrivée. »

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Dangers possibles de l’acide folique

Toutes les femmes enceintes doivent prendre de l’acide folique pour la santé de leur bébé. Cette vitamine prévient la spina-bifida, les malformations et permet de maintenir le bon développement du cerveau du fœtus.

Or, des chercheurs de l’Université McGill ont découvert qu’une absorption excessive d’acide folique pouvait causer des problèmes durant la grossesse.

L’étude en question a porté sur des rates enceintes. On leur a administré 20 fois plus d’acide folique que la dose quotidienne de 8 mg par jour.

Le muscle cardiaque des fœtus s’en est trouvé plus mince. De plus, les bébés nés lors de cette recherche présentaient des malformations de naissance ainsi qu’une plus petite ossature.

La Dre Rima Rozen, directrice de ce projet de recherche, a affirmé que même si l’acide folique est essentiel, il n’y a aucune raison d’en consommer trop, comme nous pouvons le lire dans le National Post.

Bien entendu, il ne faut pas cesser de prendre de l’acide folique si l’on est enceinte, car ses bienfaits sont véridiques. Toutefois, il faut savoir qu’une trop faible ou trop forte dose peut causer une interruption de grossesse.

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Attention aux accouchements provoqués

Selon une étude publiée dans le Journal of Reproductive Medicine, il est risqué de provoquer la naissance du bébé.

En plus de ne comporter aucun avantage pour celui-ci, la mère se retrouverait plus exposée à vivre une césarienne, à perdre plus de sang et à demeurer à l’hôpital plus longtemps.

Bien que le nombre de naissances provoquées soit en constante augmentation, les femmes devraient être mieux informées quant aux risques auxquels elles s’exposent.

En effet, 34 % des accouchements provoqués se terminent en césarienne, contre 20 % des naissances naturelles.

L’étude en question incluait 485 femmes qui ont accouché de leur premier enfant au Centre médical de l’Université de Rochester en 2007.

On ne se pose que trop peu de questions quant au recours à la césarienne. Pourtant, il s’agit d’une intervention médicale majeure qui peut entraîner de graves complications.

De plus, alors que les femmes souhaitent bien organiser leur vie, on oublie trop souvent qu’il y a de très bonnes raisons pour qu’un bébé soit porté jusqu’à terme.

Les obstétriciens devraient donc mieux conseillers les femmes au lieu de considérer l’enclenchement du travail comme une mesure de routine comprise dans la plupart des grossesses.