Alors qu’il file le grand amour avec sa douce Carmen D’Astous depuis plus de cinq ans, Jonas Tomalty a récemment confié au magazine La Semaine qu’il était prêt à passer à la prochaine étape dans son couple : celui de fonder une famille!
Le temps des couches devrait donc se pointer le bout du nez d’ici quelques années, après que le rockeur ait pondu quelques nouvelles chansons.
« Présentement, notre bébé, c’est la maison que nous sommes en train de transformer. Je veux prendre du temps pour enregistrer, essayer des choses musicalement, mais oui, je suis absolument prêt à fonder une famille! », a-t-il avoué.
Voir cette publication sur InstagramFinally got to my ?petite petite cousine?! Needless to say, I’m madly in love ?? @caitlynraine
Après des hauts et des bas ayant mené à deux pauses, les tourtereaux sont maintenant plus forts que jamais et Carmen accompagne sa douce moitié en tournée, puisqu’elle est choriste :
« Notre relation est basée sur l’amitié et la confiance qu’on a l’un envers l’autre. C’est mon amoureuse, ma partner, mon amie. C’est aussi ma critique la plus sévère! La distinction entre le travail et l’intimité est parfois difficile, mais on y arrive. Pour moi, c’est la meilleure situation, car je ne m’ennuie jamais. C’est dur d’être en tournée quand une personne qu’on aime nous attend à la maison! »
Voir cette publication sur Instagram?? #jonastomalty #jonastomaltyinconcert (??#JesseDiMeo)
Voir cette publication sur Instagram« Nous ne fuyons plus les conflits : on les règle et on se remet rapidement sur pied », a-t-il finalement partagé au magazine. À la veille de souffler ses 40 bougies, Jonas est aussi plus zen que jamais, ayant commencé à faire du yoga et de la méditation, tout en travaillant sur son nouvel album original, qui devrait atterrir sur les tablettes à l’automne.
Longue vie à l’amour qui unit Carmen et le chanteur!
Je suis enceinte pour la deuxième fois. Je suis vraiment heureuse de cette nouvelle. Ça a été plus long cette fois-ci et, chaque mois, je vivais une déception un peu plus grande. Alors je n’ai aucun doute par rapport à cet enfant-là. Je le veux, peut-être même plus que je voulais mon premier, parce que cette fois je sais dans quoi je m’embarque. Mais il y a une chose qui me fera toujours autant peur.
On dit qu’une femme perd en moyenne 2.5 ans d’avancement professionnel par enfant. Je l’ai vu avec ma première grossesse. Et je suis convaincue que je le verrai encore. Il y a des métiers où, heureusement, on n’en est plus là. Il y a des environnements de travail qui ont compris qu’une femme peut mener sa vie sur ces deux fronts-là en même temps. Mais ce n’est pas le cas dans mon domaine. Du moins, pas de mon expérience. Pourtant, mes collègues masculins qui ont eu des enfants dans les dernières années ont gravi les échelons sans problème.
C’est spécial, parce que je suis consciente que nous sommes des privilégiées, nous les femmes canadiennes salariées, d’avoir le droit à des congés de maternité (ou congés parentaux, mais c’est encore la femme qui l’utilise dans la vaste majorité des couples hétérosexuels) assez longs, avec des lois qui nous protègent un minimum pour ne pas avoir à tout recommencer à zéro. En même temps, ça fait que les patrons se méfient, qu’on doit mettre nos carrières en veilleuse pendant le temps qu’on choisit de passer avec nos enfants. Congé trop court = culpabilité garantie. Congé trop long = carrière sur hold et opportunités qui nous passent devant les yeux pendant qu’on essuie les régurgitations sur nos épaules.
Après notre premier enfant, mon conjoint et moi avions convenu que nous allions partager le deuxième congé parental de façon égalitaire. Par contre, quand je suis tombée enceinte, il avait changé de travail et son nouvel emploi n’offre pas des conditions qui nous permettront vraisemblablement de le faire.
Alors oui, je suis super heureuse de cette petite vie qui sommeille en moi. Mais j’ai peur en même temps. Je veux le cacher le plus longtemps possible à mes patrons? mais je ne pourrai plus garder le secret très longtemps, puisque mon ventre s’avance un peu plus chaque jour depuis la minute même où j’ai vu le petit + se dessiner sur un bâton.
Va falloir que je travaille sur moi, que j’arrête d’essayer de contrôler ce qui n’est pas de mon ressort. Je veux cet enfant dans ma vie. Et j’ai beau dire ce que je veux, travailler deux fois plus fort pour être une employée exemplaire, ou jouer cartes sur table comme je l’ai fait la première fois, exposant ma vulnérabilité à ceux qui ont une partie de mon avenir entre leurs mains? je ne sais pas et je ne contrôle pas la façon dont mon patron va traiter cette information.
Et si je sens encore que je regarde le train des autres passer, assise sur ma tablette, ça sera à moi d’en descendre et d’aller voir ailleurs si j’y suis. Être une employée hyper loyale depuis des années ne m’a pas apporté grand retour de balancier. Je commence à être lasse d’être tenue pour acquise.
Mais qui engagera une femme enceinte? J’ai donc une grossesse et un congé pour décider de ce que je veux vraiment pour rembarquer dans le bon wagon.
Tchou tchou, sur les rails de la conciliation travail-famille, comme dirait l’autre.
Nous qui étions en amour par-dessus la tête avec Amélie B. Simard et son petit Noah-James… Nous serons comblés! La belle vient tout juste de dévoiler son nouveau projet : une émission Web diffusée sur Canal Vie, illustrant la vie de nouveaux parents et étalant quelques conseils pour ces derniers.
Dans 4e Trimestre, on verra le duo mère-fils, mais aussi le conjoint de l’actrice, Jonathan Sbrollini. C’est sur Instagram qu’on a découvert cette belle nouvelle : « Behind the scenes de 4IÈME TRIMESTRE, notre nouvelle émission produite par RF2 (Miracle Mart et Roméo et Fils) et qui sera diffusée dès l’automne sur la plateforme Web de Canal Vie. La vie de nouveaux parents et aussi quelques humbles conseils en format de six épisodes. Bien excitant ce petit projet! », a annoncé Amélie.
Voir cette publication sur InstagramDès septembre, on plongera donc dans le journal de bord du couple, le suivant durant les trois premiers mois de leur nouvelle vie à trois. Ça promet d’être cute à souhait, mais aussi totalement authentique!
Voir cette publication sur InstagramSi vous attendez un enfant, vous avez peut-être déjà entendu parler de la babymoon.
Il s’agit d’un voyage que l’on fait pendant qu’on est enceinte et que certains qualifient de lune de miel pré-bébé. Avant même de découvrir ce terme assez sympathique, j’avais déjà dans l’idée de partir quelque part avec mon amoureux pendant ma grossesse.
Nous sommes partis en Europe pendant 3 semaines et on en revient tout juste. Ça a vraiment été un super voyage et les quelques trucs que j’ai envie de vous partager m’ont permis de gérer mon anxiété et mes inconforts de femme enceinte avec un peu plus d’aise pendant notre séjour.
Les voici :
- Choisir une destination safe: Je parle ici du risque de contracter certaines maladies qu’on veut particulièrement éviter quand on est enceinte (ex : malaria). Si vous comptez sortir du continent, confirmez votre choix de destination avec votre médecin.
- Bas de contention: Ils m’ont sauvé la vie (aka les pieds!). Ils seront utiles les jours de longues marches et surtout, surtout, dans l’avion.
- Planifier des pauses, beaucoup de pauses: Être enceinte, c’est fatigant! Lors de ma planification, j’étais dans une phase pleine d’énergie, mais ma médecin m’a rappelé que je me sentirais sûrement de plus en plus fatiguée avec le temps. Merci doc!
- S’amener des habits confortables: On a beau être en vacances, notre bedon, lui, il ne chôme pas. Si vous partez quelque temps comme moi, préparez-vous à l’éventualité d’une poussée de croissance bedonesque.
- Voyager léger: Autant que possible, tentez de réduire le poids de vos bagages, votre dos vous en sera reconnaissant!
Je n’ai jamais autant décroché que dans ce voyage, peut-être parce que j’imagine bien le chaos qui m’attend sous peu… Je vous souhaite de belles vacances reposantes!
Aimez-vous l’idée d’une babymoon? Quelle destination choisiriez-vous?
N.B. 1: Le meilleur moment pour partir serait dans le 2e trimestre (la plupart des lignes aériennes ne permettent pas aux femmes enceintes de prendre l’avion à partir du 7e mois de grossesse).
N.B. 2: Peu importe vos plans, discutez-en avec votre médecin.
(chronique)
Je n’arrive toujours pas à comprendre pourquoi, mais depuis que notre plus vieux est né il y a 9 ans, mon conjoint et moi n’avions jamais eu recours aux services d’un gardien ou d’une gardienne. Mais voilà qu’il y a deux mois, nous avons osé et l’expérience fut concluante… tant pour notre couple que pour nos enfants!
Il faut dire que depuis l’arrivée de notre premier bébé, les grands-parents ont toujours été très présents et disponibles (yes!!!). C’est pourquoi nous avons su organiser nos sorties et passe-temps autour de leur horaire. Jusqu’à présent, cette façon de faire nous avait bien servis.
Par ailleurs, puisqu’ils ont une vie mouvementée, ces chers grands-parents, leurs disponibilités se font parfois plus rares le week-end. Mon conjoint et moi, on se disait que ce n’était pas bien grave, qu’on allait faire nos sorties la semaine ou profiter du moment où les enfants se couchent pour se faire un petit souper en tête-à-tête plutôt que d’aller au resto. ERREUR! La semaine, nous étions trop fatigués pour sortir et la routine souper-devoirs-bains accaparait toute notre énergie. Les vendredis et samedis, nous préférions finalement manger en famille. Après tout, c’est l’un des seuls moments pendant lesquels nous sommes tous réunis et qu’on peut jaser tous ensemble.
Alors voilà qu’il y a quelques semaines, notre couple avait besoin de se retrouver. On y rêvait, à ce petit repas tranquille au resto. On avait aussi le goût d’aller souper chez des amis sans se restreindre à des demi-conversations pendant que nos 4 mousquetaires envahissent la maison de nos hôtes.
On s’est donc mis à la recherche de la perle rare à qui nous accepterions de laisser nos 3 grands et notre bébé, le temps d’une soirée. Nous avons songé à plusieurs possibilités vu notre famille nombreuse : embaucher 2 gardiennes à la fois (ka-ching $$$), demander à l’une des éducatrices au CPE si elle désirait arrondir ses fins de mois, faire une petite annonce au CEGEP?
C’est finalement en prenant connaissance d’une offre de service publiée sur le groupe Facebook de mon village que j’ai eu un coup de coeur. L’annonce était simple, mais m’a donné le goût de rencontrer cette étudiante de 18 ans qui disait avoir envie de faire une foule d’activités avec les enfants plutôt que de les parker devant un écran. C’était LA fille de la situation!
Nous nous sommes empressés de la contacter pour valider son intérêt. Après une première rencontre et avoir donné beaucoup trop de conseils inutiles, on l’a fait! Nous sommes partis seuls, un samedi soir, comme dans l’temps, il y a 10 ans! Et croyez-moi qu’on a récidivé par la suite?
Les enfants l’adorent, leur gardienne! Chaque fois qu’elle vient, c’est la fête. C’est donc facile de se déculpabiliser et de multiplier les sorties en amoureux, ça crée une situation win-win à tout coup. Avoir su, on n’aurait jamais attendu si longtemps avant d’en profiter.
(chronique)
Toutes les années, mes amis font un gros party de la Saint-Jean. En 2013, j’étais fébrile d’y aller, car personne ne savait encore que j’étais enceinte. J’avais tout planifié avec mon chum pour faire semblant que je buvais. À seulement 6 semaines de grossesse, je ne me sentais pas prête à l’annoncer.
Quand je suis allée aux toilettes pendant la soirée et que j’ai vu une petite tache de sang sur le papier, j’ai immédiatement eu le mauvais feeling que tout était terminé. Voyez-vous, ça faisait déjà un an qu’on avait commencé les essais bébés et j’étais un peu découragée du processus. Je sais que plusieurs femmes ont des saignements pendant leur grossesse, mais lorsque les saignements ont augmenté de jour en jour, je n’avais plus beaucoup d’espoir pour ce bébé tant désiré.
C’est le 1er juillet, après avoir passé la journée au complet à l’urgence, qu’on me confirmait que ma grossesse ne passerait pas le cap des 7 semaines. Fausse couche précoce. On m’a donné un rendez-vous pour une prise de sang dans une semaine et on m’a renvoyée à la maison avec la seule consigne de ne pas utiliser de tampons.
C’est fou comment une balloune peut crever rapidement. J’étais tellement contente d’être enfin enceinte. De penser aux noms, à la chambre, à comment on allait l’annoncer à la famille. Mais voilà, j’étais de retour à la case départ, avec des crampes à ne plus finir et des saignements qui allaient durer pendant HUIT semaines. Oui, j’ai saigné plus longtemps que j’ai été enceinte. Génial.
Quand on fait une fausse couche si tôt, il n’y a pas vraiment de ressources ou de support offerts. Après en avoir vécu deux, je me rends compte que j’aurais apprécié que quelqu’un me dise que c’est absolument normal d’avoir de la peine. Que c’est normal de faire le deuil de cet univers qu’on venait tout juste d’attraper du bout des doigts. Ce n’est pas parce que notre grossesse a été courte qu’on devrait juste move on comme si rien n’était arrivé.
Il y a aussi ce sentiment de culpabilité qui nous ronge; est-ce que c’est de ma faute? Il faut savoir qu’environ une grossesse sur cinq finira en fausse couche et que la raison principale est une anomalie génétique du foetus. Il n’y a pas de honte à en parler; au contraire, ça enlève le stigma autour d’une situation plus que normale. Autour de moi, je connais des dizaines de femmes qui sont passées par là. L’important, c’est d’en parler ouvertement avec notre partenaire et de mettre des mots sur les émotions qu’on ressent.
Ça m’aura pris près de 2 ans supplémentaires avant de retomber enceinte (et un petit coup de pouce médical), mais dans la plupart des cas, il est possible d’avoir une grossesse normale suite à une fausse couche. Mais je dois avouer que ça teinte la joie et que ça met un petit nuage gris sur le prochain test positif.
Quand mon garçon Théodore est arrivé par surprise à 28 semaines, je n’étais pas du tout préparée à son arrivée. True story, je me suis rendue à l’hôpital ce soir-là avec seulement ma sacoche. Jamais je n’aurais pensé que cet épisode de crampes finirait par une hospitalisation de 76 jours pour mon bébé-pas-fini-de-cuire.
Avec du recul, nous avons été chanceux de recevoir beaucoup de support pendant que nous traversions cette tempête. Surtout avec un plus grand à la maison et beaucoup de temps passé dans le trafic des allers-retours vers l’hôpital.
Je partage avec vous aujourd’hui une liste des choses qui nous ont vraiment aidés et qui pourraient vous être utiles si jamais un de vos proches passait par là.
1- De l’aide avec la logistique
Ce qui aide vraiment à alléger le chaos des premiers jours, c’est d’enlever la lourdeur de tout ce qui déborde d’un vase déjà trop plein. Par exemple, est-ce que quelqu’un peut aller s’occuper du chien, déplacer une voiture pour éviter une contravention, aller chercher des médicaments à la pharmacie ou appeler pour annuler un rendez-vous?
2- Demander des nouvelles, mais pas trop souvent
C’est normal de vouloir être au courant, mais quand tout le monde nous écrit et nous appelle en même temps, ça tire beaucoup d’énergie. La meilleure façon est de se relayer l’information entre amis et de ne pas s’offusquer si les parents ne nous répondent pas.
3- Prendre en charge les autres enfants
Durant notre 2e mois d’hospitalisation, je me souviens à quel point je me sentais coupable de ne plus rien faire d’amusant avec mon plus vieux. Pas de temps, pas d’énergie. Les sorties spéciales qu’il a faites avec ses grands-parents ou avec des amis ont vraiment été un baume sur mon coeur de maman.
4- Aider les parents à se changer les idées
Le personnel médical nous disait souvent à quel point il est important de se changer les idées. Une sortie au cinéma en après-midi, une promenade autour de l’hôpital ou se présenter à la maison avec un bon repas fait maison – ça vaut plus que tous les cadeaux du monde.
En fait, le meilleur soutien reste de faire sentir qu’on sera toujours là dans le besoin
Comment soutenez-vous votre famille et vos amis lorsqu’ils traversent des moments difficiles?
Quand vient le temps de trouver une application de grossesse, les choix pullulent dans l’iTunes Store et on se demande vraiment par où commencer pour en choisir une! Afin de faciliter votre choix, j’ai demandé aux TPLMoms quelles sont leurs applications préférées, et pourquoi.
Voici donc notre petit guide non exhaustif et tout à fait intuitif des applications de grossesse/allaitement qui ont été les plus utiles aux TPLMoms, avant et après la naissance de leurs minis.
Les applications parfaites pendant la grossesse
Carolane :
J’aimais vraiment celle de Thyme maternité (Bumpfie) parce que tu peux faire un timelapse de tes photos de grossesse et que c’est en français avec des références québécoises !
Cynthia :
À ma première grossesse, j’utilisais Grossesse +. J’aimais beaucoup les images du bébé de semaine en semaine et les petites informations sur les nouveautés liées à la semaine d’aménorrhée dans laquelle tu es.
Julie :
Ma grossesse commence à dater ! Mais moi j’avais The Bump. J’aimais les comparaisons de la grosseur de mon bébé, le look, les options, elle faisait exactement ce dont j’avais besoin. Y’avait toute une communauté à laquelle je ne participais pas trop, moi j’étais plus sur les fonctions qui me convenaient parfaitement.
Marianne :
Ovia Pregnancy, mais celle de The Bump est nice aussi !
Odile :
J’ai utilisé Baby box, Grossesse +, Grossesse, Prenatal yoga et Babylist, mais il me semble que ce que j’ai fini par préférer ça a été l’infolettre de Naître et grandir.
Caroline :
Moi aussi l’infolettre de lettre de Naître et grandir !
L’ application idéale pendant l’allaitement
Véronique :
J’ai aimé MyMedela surtout pour après l’accouchement. L’application était sur le cell de mon chum et le mien et je pouvais rentrer le moment des boires (au sein ou au biberon). Comme ça le matin, mon chum savait si le bébé pleurait parce qu’il avait soif ou s’il me laissait dormir. Un truc pour impliquer l’autre parent dans la grossesse c’est qu’il ait l’application lui aussi. En les connectant sur le même compte, il sera au courant des trucs lui aussi.
Autres suggestions en vrac : What to expect, Pregnancy Tracker et I’m Expecting Pregnancy App.
Quelles sont vos applications de grossesse préférées ?
La cigogne est passée chez Larissa Corriveau et Maxime Gaudette! L’Échos Vedettes annonce aujourd’hui que le couple de comédiens a accueilli leur premier enfant à la fin du mois d’avril. D’après ce que l’agente de l’actrice et réalisatrice a confirmé au magazine, ils sont maintenant parents d’une petite fille prénommée Thelma.
Les amoureux, qui sont plutôt discrets, sont ensemble depuis cinq ans et ont notamment joué ensemble dans Polytechnique.
On avait pu voir le baby bump de la nouvelle maman sur le tapis rouge de la Biennale à la fin février, alors que le dernier film de Denis Côté dans lequel elle joue, Répertoire des villes disparues, y était présenté.
CatégoriesFrancisco Randez ne veut pas d’enfant
Le chroniqueur Francisco Randez, qui a présenté son amoureuse au monde entier (comprendre: à ses abonnés Instagram) à l’occasion de la Saint-Valentin, a confié au Échos Vedettes qu’il ne souhaite pas devenir papa. Ni aujourd’hui, ni demain, ni les jours suivants.
« J’adore les enfants, la plupart de mes amis en ont. Je pense, par exemple, à mon cousin, que j’adore: il vit à Lorraine avec sa femme et leurs trois enfants. Nos quotidiens sont totalement à l’opposé et pourtant, il est un des êtres les plus précieux dans ma vie. Mais la paternité, ce n’est pas pour moi, et cette décision est le fruit d’une longue réflexion. Je pense qu’on vit à une époque où chacun est libre de faire ses choix, sans jugement », a-t-il révélé.
Rappelons par ailleurs que Francisco et sa copine, Ariane Brien Chicoine, ont la plus cute des histoires de rencontre puisque c’est une blind date qui a uni leurs destinées.