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Preuves scientifiques quant aux liens de l’alimentation et du sexe du bébé

On peut lire dans le Daily Mail qu’une récente étude aurait jeté officiellement les bases pour qu’une grossesse résulte en un bébé de sexe féminin.

En effet, selon des chercheurs des Pays-Bas, un couple qui souhaiterait avoir une fille devrait suivre certains principes quant à la fréquence de ses relations sexuelles et l’alimentation de la future mère.

Ainsi, une femme devrait consommer beaucoup d’aliments contenant du calcium (yogourt, fromage, épinards, tofu, etc.) et du magnésium (noix de cajou, figues, céréales à grains entiers, etc.).

D’autres aliments devraient être évités, tels que ceux contenant beaucoup de sel et de potassium.

Les chercheurs de l’étude en question recommandent aussi aux couples souhaitant une fille d’avoir des relations sexuelles sur une base régulière, mais pas nécessairement avant ou après l’ovulation.

Pour tirer ces conclusions, ils ont suivi 172 femmes âgées de 23 à 42 ans. Toutes les participantes avaient déjà eu un garçon et souhaitaient avoir une fille.

On leur a demandé de suivre une diète et d’avoir des habitudes sexuelles comme il a été décrit plus haut. Or, plusieurs des participantes n’ont pas suivi toutes les règles à la lettre.

Malgré tout, parmi les 21 femmes qui avaient suivi le régime proposé de façon stricte, 16 ont accouché d’une petite fille.

Il semble que les deux méthodes combinées augmentent les chances de concevoir un bébé de sexe féminin.

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Les stimulations tactiles à la naissance influencent le comportement

Il semble que les nouveau-nés ne réagiraient pas de la même façon envers les autres, selon qu’ils ont reçu des stimulations tactiles ou non au moment de leur naissance.

C’est la conclusion des chercheurs du Centre national de recherche scientifique (CNRS) en France, à la suite d’une récente étude.

Parue dans Biology Letters, elle a porté sur 28 poulains. À leur naissance, 10 ont été manipulés du côté droit, 10 du côté gauche et 10 n’ont reçu aucune manipulation.

Ceux qui avaient été manipulés du côté droit ont ensuite eu tendance à éviter les contacts avec l’humain, comparativement aux autres sujets de l’étude.

Selon ces chercheurs, lesdites stimulations pourraient avoir une influence sur le développement comportemental et neurologique, voire sur l’asymétrie du cerveau.

Ces résultats ouvrent donc une nouvelle voie quant aux soins néonataux apportés aux bébés.

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Les répercussions d’une dépression durant la grossesse

Des chercheurs ont remarqué certaines différences physiques et émotives chez les bébés dont la mère a souffert de dépression durant la grossesse.

L’étude en question de l’Université du Michigan, parue dans l’Infant Behaviour and Development, indique que les cascades d’émotions vécues par la mère pourraient influer sur le développement du cerveau de son enfant.

Une fois venu au monde, celui-ci aurait moins de tonus musculaire et un taux plus élevé d’hormones du stress. Il y serait donc plus sensible et y répondrait de manière plus forte. Il pourrait aussi avoir plus de difficulté à gérer ce stress.

Cette étude et d’autres pourront mener à un meilleur encadrement des femmes enceintes souffrant de dépression et à la mise en place de programmes efficaces dans le traitement du post-partum.

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Nouvelle avenue pour les bébés de mères toxicomanes

Un nouveau médicament, la buprénorphine, permettrait aux bébés nés de mères toxicomanes de rester moins longtemps à l’hôpital et de vivre un sevrage plus supportable, et ce, à un moindre coût.

Les résultats d’une étude publiée dans le New England Journal of Medicine indiquent en effet que ce médicament est tout aussi efficace chez la mère et chez son bébé que la méthadone.

Dans le cadre de cette étude, les bébés qui ont reçu de la buprénorphine ont eu besoin de moins de morphine que ceux soignés avec la méthadone pour traiter leur syndrome d’abstinence néonatale.

De plus, moins de jours ont été nécessaires au traitement de ce syndrome (4,1 au lieu de 9,9). Les poupons ont donc été hospitalisés moins longtemps, soit 10 jours au lieu de 17,5.

Beaucoup d’espoir réside donc en ce médicament qui pourrait réduire en plus les coûts liés au sevrage de la mère et de l’enfant. Finalement, les bébés en cause connaîtraient un soulagement plus rapide de leurs souffrances.

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Un test sanguin prénatal pourrait prédire de nouveaux syndromes

On pourrait déchiffrer le code génétique de l’enfant à venir en utilisant un échantillon sanguin prélevé à aussi peu que 12 semaines, apprend-on dans Science Translational Medicine.

Ce nouveau test sanguin pourrait prévenir des syndromes et des maladies, et ce, en analysant l’ADN du foetus. On entend par là l’autisme, le syndrome de Down, voire les possibilités d’Alzheimer et de cancer.

Bien sûr, ce test éliminerait les risques actuels de fausse couche qu’entraîne par exemple l’amniocentèse, lorsqu’il faut pousser les analyses sur le fœtus. On sauverait ainsi une centaine de bébés par année.

Or, des scientifiques mettent en garde la venue d’un tel test. Les futurs parents pourraient tomber dans le piège de la recherche de l’enfant parfait en sachant tout sur sa santé future dès les premiers mois de grossesse.

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Les enfants apprennent mieux un mot en jouant avec plusieurs objets le décrivant

On peut lire dans Psychological Science que les jeunes enfants apprennent un mot deux fois plus vite s’ils ont accès à plus d’une version de celui-ci.

C’est la conclusion d’une expérience réalisée par une équipe de l’Université de l’Iowa ayant porté sur 16 bébés de 18 mois. Ils savaient tous environ 17 mots au départ.

Les résultats ont été probants. Par exemple, si l’on prend deux jeunes enfants, celui qui aura vu plusieurs sortes de tasses aura une meilleure idée du mot « tasse » que celui qui aura vu trois tasses identiques.

De plus, à la suite de l’expérience, les bébés qui avaient appris de nouveaux mots en jouant avec plusieurs jouets s’y rapportant ont vu leur apprentissage du langage progresser plus rapidement que les autres.

Ceux qui avaient appris les mots par différenciation ont ensuite eu une moyenne de 10 nouveaux mots appris par semaine. Le second groupe a conservé une moyenne de 4 nouveaux mots, ce qui constitue le taux habituel d’un enfant de cet âge.

Les chercheurs ne savent pas si cette capacité pourra durer dans le temps, mais ils peuvent expliquer le phénomène, qui se résume en l’aptitude à concevoir la forme, laquelle apparaît habituellement plus tard dans le développement.

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Les dommages collatéraux des tests durant la grossesse

Un professeur de sociologie de l’Université de la Californie à Los Angeles s’est penché sur les répercussions à long terme d’une absence de diagnostic clair quant à la santé du bébé à venir.

Stefan Timmermans et son équipe ont donc publié les résultats d’une étude sur les dommages collatéraux des tests prénataux dans l’édition actuelle du Journal of Health and Social Behaviour.

Ils ont suivi, durant 3 ans, 75 familles qui avaient reçu un résultat de test incertain quant à l’incapacité de digérer les gras, les protéines et le sucre de l’enfant à naître.

Parmi elles, 40 sont devenues ce que les chercheurs appellent des « parents de l’attente » : leur enfant n’a jamais eu de symptômes par la suite.

Ils ont répertorié parmi ces derniers de nombreux cas de symptômes liés à un choc post-traumatique. Ainsi, certains parents allaient réveiller l’enfant en pleine nuit, lui imposaient une diète sévère préventive ou empêchaient même quiconque de l’approcher pour éviter toute contamination.

On recommande donc d’accélérer les procédures pour obtenir des résultats de tests supplémentaires, advenant le cas d’une incertitude de diagnostic durant la grossesse.

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Les bénéfices à long terme de la garderie sur la santé de l’enfant

Une récente étude de l’Université de Montréal a démontré que la vie en groupe à l’âge préscolaire est bénéfique pour le système immunitaire des enfants.

Parue dans Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine, elle a été réalisée auprès de 1 238 enfants.

On y apprend donc que si un enfant a deux fois plus de risques de contracter une infection s’il entre en garderie vers l’âge de deux ans et demi, il en est autrement à l’école primaire.

Vers l’âge de huit ans, ces enfants ont un taux moindre d’infections et de maladies que ceux qui ont passé les mêmes années à la maison.

On a par ailleurs remarqué que la différence entre les deux groupes s’amenuise vers l’âge de trois ans et demi : les enfants en garderie sont dès lors malades à la même fréquence que ceux à la maison.

Il semble donc que la vie en groupe dès un jeune peut avoir des répercussions positives sur le système immunitaire de l’enfant.

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Les bébés de l’été seraient plus heureux que les autres

Une étude des plus surprenante nous apprend que les bébés qui naissent durant la saison estivale sont les plus heureux.

Le résumé de cette étude, paru dans le journal Nature Neuroscience, ouvre la porte à une possible influence de l’ensoleillement durant nos premiers mois de vie sur l’humeur.

Pour tirer ces conclusions, des chercheurs ont donné 16 heures d’ensoleillement à un groupe de nouveau-nés, pour 8 heures de noirceur. Un second groupe n’a reçu que 8 heures d’ensoleillement, pour imiter les journées d’hiver.

Après quelques semaines et changements de groupe si nécessaire, les chercheurs ont plongé tous ces bébés dans le noir et ils ont observé leurs réactions.

Ceux qui avaient été élevés durant la saison estivale reproduite ont gardé leur routine quotidienne. Quant aux poupons qui avaient passé leurs premières semaines sous un ensoleillement d’hiver, ils ont eu de la difficulté à s’adapter au changement.

Il faudra maintenant vérifier à quel point et à quel moment notre horloge biologique se règle, de même que si cela est permanent ou temporaire.

Des études précédentes avaient déjà démontré que les personnes nées en hiver présentaient un plus haut taux de problèmes de santé mentale, comme la dépression saisonnière.

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Les enfants peuvent évaluer la quantité

Des chercheurs de l’Université du Missouri ont fait une découverte des plus surprenante sur les capacités des tout jeunes bébés, peut-on lire sur Science Daily

Dès l’âge de 10 mois, un jeune enfant serait en mesure d’évaluer la quantité d’une substance, aussi difficile soit-elle à mesurer visuellement que de l’eau, des céréales ou du sable.

Le bébé est donc en mesure de faire un choix éclairé et il optera pour la plus grande quantité, particulièrement lorsqu’il s’agit de nourriture.

Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs ont proposé aux enfants deux contenants opaques. L’un d’eux contenait une petite quantité de nourriture et l’autre en contenait une grande.

Chaque fois, les enfants ont choisi la plus grande quantité, tant que la différence entre les deux était considérable.

La présente étude contredit donc les 15 années de recherche passées et la croyance populaire voulant que les bébés ne comprennent aucunement le monde qui les entoure.