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L’alimentation de la mère pourrait influer sur le développement du cerveau du bébé

Des chercheurs de l’Université du Colorado ont trouvé pourquoi le bébé est porté à aimer ce que sa mère ingérait durant sa grossesse, apprenons-nous sur MailOnline

Les odeurs présentes dans le liquide amniotique atteindraient une partie du cerveau responsable du goût et de l’odorat.

Ainsi, le bébé sera porté à mieux aimer ce que sa mère aimait aussi durant sa grossesse. En effet, il croira que tout ce que la mère ingère est bon pour la santé.

Plus vieux, l’enfant aura tendance à manger de la même façon que sa mère lorsqu’elle était enceinte, car son cerveau aura appris à aimer certaines odeurs et saveurs.

Les chercheurs concluent sur l’importance de préférer une saine alimentation durant la grossesse, en plus d’éviter l’alcool pendant celle-ci et durant l’allaitement.

Pour la première fois, on aura donc fait un lien entre l’alimentation durant la grossesse et le cerveau du fœtus, ce qui met en lumière une fois de plus l’importance de favoriser la bonne santé de l’enfant le plus tôt possible.

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Les enfants ingèrent quotidiennement 80 substances chimiques

Générations futures, une association écologiste européenne, a analysé 4 repas types ingérés par des enfants de 10 ans environ.

On a ainsi découvert que les enfants ingèrent en moyenne 80 substances chimiques chaque jour, comme vu dans Le Parisien.

Les repas en question comprenaient cinq fruits et légumes frais, trois produits laitiers, un litre et demi d’eau et des bonbons. Dans ce menu, pas moins de 81 substances chimiques ont été relevées.

Parmi celles-ci, 5 étaient cancérigènes et 42 autres pouvaient l’être. De plus, 37 substances ont été reconnues comme pouvant avoir un effet négatif futur sur le système endocrinien.

Toutefois, il faut mentionner que chacune de ces substances ne dépassait pas les limites légales. Malgré tout, le grand nombre de cancers chez les enfants devraient nous inciter à évaluer notre mode de vie et notre environnement.

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Les nouvelles mamans devraient rester plus longtemps à l’hôpital

Il serait possible que les médecins revoient le nombre de jours avant le congé de la nouvelle maman et de son bébé, apprenons-nous dans Le Parisien.

C’est qu’une plus longue période à l’hôpital ou à la maison de naissance permettrait le suivi nécessaire au traitement de la jaunisse, laquelle est de nouveau en hausse chez les poupons.

La jaunisse, ou ictère, n’est pas dangereuse en soi. En fait, 80 % des bébés en sont atteints. Elle se reconnaît par une coloration jaune de la peau, laquelle est due à un taux trop élevé de bilirubine.

Elle se soigne en peu de temps et facilement, mais certains cas peuvent se solder par une atteinte du système nerveux. Il ne s’agit donc pas d’un cri d’alarme, mais d’un moyen de prévention.

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Les bébés de petit poids deviennent des adultes productifs

Un professeur d’économie de l’Université du Michigan, John Goddeeris, a voulu comparer la productivité des adultes étant nés avec un poids très faible et ceux nés avec un poids normal.

L’étude qu’il a dirigée (effectuée en collaboration avec des universités canadiennes) a prouvé qu’il n’y avait qu’une infime différence entre ces deux groupes. On a comparé le niveau d’études et le salaire de ces personnes.

Rappelons qu’un très faible poids à la naissance est ici moindre que 2,2 livres. Les participants de l’étude étaient en fait des survivants d’une naissance difficile ou prématurée.

Un enfant sur 200 naît avec un poids de 1,1 livre à 2,2 livres. Ce nombre tend toutefois à diminuer avec les avancées médicales. Les plus graves risques encourus par un tel poids à la naissance peuvent être un retard intellectuel ou des défaillances du système nerveux.

Toutefois, les conséquences peuvent être mineures, comme de légers problèmes d’apprentissage ou du comportement.

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Les bienfaits des probiotiques remis en cause chez les enfants

Un rapport clinique de l’Académie de pédiatrie américaine (APP) paru dans Pediatrics réétudie les bienfaits tant vantés des probiotiques et des prébiotiques sur la santé gastrique et intestinale des enfants.

Quoiqu’ils ne soient pas mauvais pour autant, les probiotiques ne semblent qu’avoir un très faible effet sur l’apparition de la diarrhée lors de la prise d’un antibiotique chez des enfants en santé.

Des études supplémentaires sont aussi nécessaires avant de statuer qu’ils ont un effet sur le syndrome du côlon irritable, la maladie de Crown et les coliques ou pour prévenir les allergies et les infections chez l’enfant.

De plus, leur efficacité n’est pas encore suffisamment prouvée pour qu’ils soient intégrés à du lait maternisé en vue d’une consommation régulière.

Malgré tout, l’APP a relevé des points très positifs aux probiotiques dans cette étude parallèle.

Par exemple, il semble qu’ils puissent avoir une influence chez l’enfant ou le bébé lorsqu’il contracte une gastro-entérite. Leur ingestion dès les premières diarrhées pourrait réduire la durée du virus d’un jour.

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La transmission du sida par la femme enceinte est très faible

Il y a plusieurs années, lorsque le sida était encore chose nouvelle, le risque de transmission de la mère à son bébé était de 50 %. Grâce à la trithérapie, ce taux se situe aujourd’hui à seulement 1 %.

En effet, nous pouvons constater que les progrès médicaux offrent maintenant de l’espoir aux femmes atteintes d’avoir un enfant sans danger.

Ainsi, à la condition que la femme enceinte suive un traitement, que sa charge virale soit indétectable et que son accouchement soit sécuritaire, les risques que le bébé soit porteur du VIH sont presque nuls.

Toutefois, une fois l’enfant né, la mère séropositive ne doit pas allaiter, car le lait maternel contient des traces du virus du sida.

Rappelons finalement que la propagation du virus du sida a chuté de 19 % dans le monde depuis 1999.

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Les bénéfices du vaccin contre la grippe pour les bébés

Plusieurs ont cru jusqu’ici que le vaccin contre la grippe était inefficace pour les bébés. Or, les études concordent pour révéler qu’il y a des avantages financiers à les faire vacciner.

Cela est dû au fait que les bébés de moins de deux ans ont le plus haut taux de contagion de la grippe. Ils ont ainsi tendance à la transmettre à leur famille et à la population en général.

Des chercheurs de l’Hôpital universitaire de Turku, en Finlande, ont observé 631 enfants âgés de 9 à 40 mois qui avaient contracté l’influenza de type A ou B.

D’après leurs résultats parus dans The Lancet Infectious, les vaccins seraient efficaces à 66 % en général et à 84 % contre la grippe A.

Ces chercheurs souhaitent que les autorités des autres pays envisagent l’obligation de vacciner les très jeunes enfants, la Finlande étant l’unique pays d’Europe à recommander la vaccination à partir de 6 mois, et ce, jusqu’à 35 ans.

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Les médicaments contre les brûlures d’estomac durant la grossesse : aucun danger

Une femme enceinte peut prendre des médicaments, sous ordonnance ou non, pour soulager ses brûlures d’estomac sans s’inquiéter.

Une étude danoise parue dans le New England Journal of Medecine, basée sur plus de 840 000 naissances de 1996 à 2008, soutient que les problèmes de naissance ne peuvent être que finement liés aux médicaments cités.

Sur le lot, 3,4 % des bébés dont la mère avait pris des médicaments contre les brûlures d’estomac avaient reçu un diagnostic de problèmes majeurs de naissance, contre 2,6 % pour ceux dont la mère n’en avait pas pris.

Les analyses ont été faites en deux parties. Pour l’une, il s’agissait des femmes qui avaient ingéré de tels médicaments 4 semaines avant la conception jusqu’à la 12e semaine de gestation. Pour l’autre, les femmes en avaient pris de la semaine 0 jusqu’à la semaine 12 de gestation. Cela correspond au premier trimestre de grossesse.

Il n’y a donc aucun lien assez fort qui peut être soutenu, et ce, même en ayant retiré tous les autres facteurs de risque pouvant influer sur les résultats.

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Les bébés tardivement prématurés et les problèmes durant l’enfance

Une naissance survenant avant la 37e semaine augmente le risque de problèmes émotifs et cognitifs, selon Pediatrics.

Une étude de l’Université de l’État du Michigan a ciblé la période entre la 34e et la 36e semaine de grossesse comme celle présentant les plus fortes proportions de troubles futurs.

Ainsi, les bébés tardivement prématurés courraient de deux à trois fois plus de risques d’avoir un quotient intellectuel plus faible vers l’âge de six ans.

De plus, ces enfants seraient plus sujets à démontrer des signes d’anxiété et présenter certains troubles d’inattention.

Ces résultats ont été obtenus d’après la comparaison entre des enfants nés au Michigan entre 1983 et 1985, une fois leurs 6 ans atteints, sans regard au QI de la mère ni au contexte démographique.

Les chercheurs devront maintenant trouver les véritables raisons se cachant derrière ces premiers résultats.

Pour l’instant, on se doute qu’ils proviennent de problèmes obstétriques, de complications néonatales ou d’autres problèmes postnataux. Une combinaison de ces trois facteurs est bien sûr envisageable.

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Une bonne nouvelle pour les mamans épileptiques

Les résultats d’une étude attendue sur les effets de certains médicaments pris par les mères épileptiques sont très rassurants, pouvons-nous lire dans Neurology.

Des médicaments tels que la carbamazépine, la lamotrigine ou la phénytoïne ne causent aucun effet sur le QI du bébé lorsque la maman allaite.

Des chercheurs de l’Université Emory à Atlanta ont suivi 194 patientes épileptiques qui devaient prendre des médicaments pour empêcher leurs crises.

Sur les 199 bébés conçus par ces femmes, 42 % étaient allaités. Trois ans plus tard, des tests de quotient intellectuel ont été passés par tous ces enfants.

La différence était si mince que l’on peut la qualifier d’inexistante. En effet, le QI des enfants allaités était de 99 en moyenne, alors que celui des autres était de 98.

Toutefois, ceux dont la mère prenait du valporate, qu’ils aient été allaités ou non, avaient un QI plus faible.

L’Académie américaine de neurologie recommande donc d’éviter ce médicament durant la grossesse, pour cause de dommages aux capacités cognitives et d’autres problèmes de naissance.