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L’hypertension plus présente chez les bébés afro-américains

Une récente étude, présentée dans Pediatrics, a fait ressortir plusieurs liens entre l’hypertension et ses maladies sous-jacentes chez les Afro-Américains.

Elle a été menée par des chercheurs du centre Johns Hopkins consacré aux enfants. Les 184 participants de la recherche étaient traités pour hypertension primaire. Âgés de 3 à 20 ans, 45 d’entre eux avaient la peau noire.

Il en est ressorti que les troubles cardiaques étaient fortement plus fréquents chez les enfants noirs en bas de 13 ans souffrant d’hypertension que chez les autres petits du même âge.

De plus, ces enfants auraient beaucoup plus de risques de développer une hypertrophie ventriculaire gauche, qui consiste en un épaississement du muscle cardiaque. Il s’agit là de l’une des complications les plus courantes et les plus insidieuses de l’hypertension. La différence était nette et les enfants noirs de moins de 13 ans en seraient beaucoup plus touchés.

Il faudrait donc que les pédiatres portent une attention plus poussée pour les bébés et les enfants afro-américains montrant des signes et symptômes d’hypertension.

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Un médicament contre l’arthrite juvénile

Les parents d’enfants atteints d’arthrite juvénile peuvent enfin voir la lumière au bout du tunnel. L’entreprise pharmaceutique Roche a déposé une demande d’homologation pour l’Actemra.

Ce traitement est une alternative à ce qui est déjà proposé pour la maladie. En effet, le traitement actuel consiste en l’administration de fortes doses de corticoïdes, qui peuvent entraîner des effets secondaires.

L’Actemra est utilisé en ce moment contre la polyarthrite rhumatoïde, mais il pourrait traiter une certaine forme d’arthrite juvénile.

L’entreprise suisse a donc fait une demande d’homologation aux agences américaine et européenne du médicament.

Dès l’âge de 18 mois, les bébés peuvent être atteints de ce mal qui consiste en une inflammation des articulations. D’autres symptômes peuvent s’y ajouter, comme de la fièvre, des rougeurs ou encore de l’anémie. De plus, un grossissement de la rate ou du foie peut survenir des suites de cette maladie.

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La pression sanguine des enfants obèses améliorée par une légère perte de poids

Des chercheurs de l’École de médecine de l’Université de l’Indiana viennent de démontrer que toute perte de poids fait baisser substantiellement la pression sanguine des enfants obèses.

Comme nous l’apprenons sur HealthDay News, cette équipe a recueilli des échantillons sanguins de 1 113 enfants pour arriver à cette conclusion.

Ils ont ensuite comparé l’indice de masse corporelle de ces enfants à des données de pression sanguine normale selon l’âge, le sexe et la taille.

Selon le chercheur en chef Wanzhu Tu, professeur de médecine, la variation de la pression est beaucoup plus marquée chez les enfants en surpoids que chez les autres enfants.

Pour les garçons en surpoids, l’indice de masse corporelle avait 4,6 fois plus d’impact sur leur pression sanguine que chez les garçons normaux. Les résultats étaient similaires chez les filles.

La haute pression observée chez les enfants peut se traduire à l’âge adulte par des maladies du coeur et du diabète, entre autres.

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Les mères choisissent le prénom du bébé

Ce sont les mamans qui ont le premier choix sur le prénom de leurs enfants, nous apprend une récente étude britannique.

En effet, pas moins de 40 % des mères ont eu le dernier mot quant au prénom du nouveau-né. L’étude a été menée auprès de 3 000 couples.

De plus, cette recherche a démontré que le tiers des couples aurait une dispute sur le sujet et que le quart ne trouverait un accord qu’à la naissance du bébé.

Par ailleurs, les parents se baseraient sur une liste d’une douzaine de prénoms en moyenne avant de prendre une décision définitive.

D’autres données ont aussi été relevées dans le cadre de cette étude. Il semble donc que 40 % des participants demandaient conseil à leurs parents et que le tiers recherchait avant tout un prénom original.

Finalement, 37 % des répondants avaient nommé leur enfant comme un membre de leur famille et le cinquième comme un ami ou un collègue.

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Le babillement en dit plus que l’on croit

Les tout-petits qui babillent devraient toujours être écoutés par leurs parents, comme nous l’apprend le New York Times.

Les premiers sons que fait un bébé seraient la clé de son développement du langage. Ses babillements sont non seulement un incontestable précurseur du langage, mais aussi un indicateur de son développement cognitif et socio-affectif.

Une récente étude de l’Université de Memphis a démontré que passé sept mois, l’enfant a dès lors un babillement canonique, comprenant des syllabes. C’est à ce moment que l’intervention du parent est importante, car il répond au son émis par le mot correspondant.

De plus, une autre étude, celle-là de l’Université de Washington, a aussi fait la lumière sur le sujet. Un bébé serait capable de reconnaître les différents sons avant même de pouvoir les reproduire.

Ainsi, lorsqu’un tout-petit commence à émettre des babillements, il s’entraîne à reproduire les sons avec sa langue et sa bouche, pour en écouter le résultat.

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Nouveaux cas d’intoxication au plomb

On dénombre plus de 1 260 nouveaux cas de saturnisme (intoxication aiguë au plomb) en France en trois ans, nous apprend Relaxnews.

Une étude présentée par l’Institut de veille sanitaire a démontré que l’intoxication au plomb demeure inquiétante pour les enfants de moins de 18 mois.

Couvrant de 2005 à 2007, ce dépistage fait tout de même état d’une diminution des cas, et ce, depuis 2004. Par contre, ils avaient augmenté les 3 années précédentes, soit en 2001, 2002 et 2003.

La plombémie, présence de plomb dans le sang, serait estimée à 100 microgrammes par litre ou plus chez 5 333 enfants âgés de 1 à 6 ans.

De plus, 80 % des cas de saturnisme ont été remarqués lors du premier dépistage et 20 % lors de plombémie de suivi chez des enfants de moins 18 ans exposés au plomb.

Cela mène donc à croire qu’il faudra poursuivre dans la voie du dépistage en bas âge.

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Lien entre l’autisme et la jaunisse

La probabilité d’autisme est beaucoup plus forte chez les nouveau-nés qui ont été atteints de la jaunisse, nous apprend Pediatrics.

En effet, une étude présentée dans le périodique démontre ce lien après que des enfants du Danemark, issus de différents échantillons de population, aient été observés sur une période de 10 ans.

Ceux-ci, nés entre 1994 et 2004, avaient 67 % plus de risques de développer ce trouble lorsqu’ils avaient eu la jaunisse.

À la naissance, 60 % des poupons en sont atteints. Ce phénomène se résorbe habituellement en quelques semaines. Il est dû à la production excessive de bilirubine.

Cette substance est produite au moment où l’organisme détruit des globules rouges. Il semble qu’une exposition prolongée à la bilirubine soit neurotoxique.

Donc, selon cette étude, cela pourrait engendrer des problèmes de développement plus tard pour les nouveau-nés qui ne se remettent pas rapidement de leur jaunisse.

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Prendre des décongestionnants durant la grossesse

Comme le rapporte Science Daily, une étude portant sur les femmes enceintes et les médicaments a pu faire ce lien surprenant.

Des épidémiologistes de la Boston University School of Public Health (BUSPH) ont analysé 3 271 naissances au Massachusetts, de septembre 1998 à janvier 2008. Au départ, cela faisait partie d’une recherche du Boston University’s Slone Epidemiology Center portant sur les problèmes liés à la naissance.

Ils ont découvert que les femmes qui avaient eu recours aux décongestionnants durant leur grossesse avaient ainsi diminué de 58 % leurs chances d’accoucher avant 37 semaines.

Au total, 6 % des participantes ont accouché prématurément. Sur ce nombre, 4,2 % avaient pris le médicament cité, contre 6,7 % qui s’en étaient abstenus.

Ces résultats corroborent ceux d’une précédente étude suisse de 2006 qui avait aussi vu le lien entre l’accouchement et les décongestionnants sous ordonnance.

Il reste maintenant à prouver ce lien hors de tout doute. Ensuite, il sera possible de cibler lequel des constituants du médicament est en cause.

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Les nausées du matin sont bon signe

D’après une étude, le mal de cœur bien connu des femmes enceintes ne devrait pas les inquiéter. Au contraire, il serait un signe que le fœtus se développe bien et que les risques de fausse couche sont moindres.

Comme nous pouvons le lire dans Reuters, des chercheurs de l’Université de la Caroline du Nord sont parvenus à cette conclusion après avoir observé 2 400 femmes enceintes de l’Amérique.

Parmi ces femmes, 89 % éprouvaient des désagréments, comme des nausées ou des vomissements, durant les 3 premiers mois de leur grossesse.

Celles aux prises avec ces symptômes avaient 3,2 moins de chances d’avoir une fausse couche, par rapport aux femmes qui n’en souffraient pas.

La Dre Ronna L. Chan, une chercheuse de cette étude, dit qu’il n’y a aucune théorie pouvant soutenir cette relation. Toutefois, les nausées seraient dues aux changements de certaines hormones qui font en sorte que le bébé se développe bien.

D’après elle, il ne faudrait pas s’emballer à la vue de ces résultats et paniquer si l’on est enceinte sans jamais avoir mal au cœur. Les symptômes vécus par chaque femme varient beaucoup.

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Une grossesse après une réduction de poids

Les adolescentes qui subissent une opération de réduction de poids exposent leur futur enfant à des dangers, nous apprend BabyCenter.

En effet, les bébés dont la mère a vécu une telle intervention auraient plus de chances de naître avec des malformations au cerveau et à la colonne vertébrale.

L’étude a été présentée récemment à l’Association américaine de pédiatrie. Diana Farmer, chef des chirurgies infantiles au Benioff Children’s Hospital de l’Université de la Californie à San Francisco, en a expliqué les détails.

C’est que ce type d’opération limite la quantité de nourriture que peut ingérer une personne. Cela faisant, elle peut se retrouver plus facilement avec une carence en vitamine B9, l’acide folique.

Cette vitamine joue un très grand rôle dans la prévention de la spina-bifida et d’autres maladies liées au tube neural. Seulement 14 % des adolescents qui subissent une réduction de poids reçoivent des suppléments en acide folique.